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Cherbonneau, ...: Explication des objets antiques dessinés par M. L. Féraud
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mninlcuue par un anneau du même métal. On sait que
les romains avaient l'habitude de mettre des colliers de
ce genre à quelques animaux domestiques. — Donné au
musée parsM. Cordonnier.
N° 9. — Petite clé en cuivre sans gorge el fixée à une
bague. Cel insjrument. n'était propre qu'à lever des loquets
ou à ouvrir des serrures petites et faciles; il a été ra-
massé dans les Touilles d'Aïn-el-bey (ras publica Saddari-
tanorum) et donné au musée par le caporal Beun.
Planche XXV. — Les amphores dessinées à droite et
à gauche de la planche gisaient dans le sable de la source
du Bou-Merzoug, à une profondeur de 0m50 ; elles en
ont été extraites par M. Lebiez, ingénieur des Ponls-el-
Ghaussées, qui en a fait hommage au musée de Cons-
lantinc. La plus grande mesure lm27.
Le milieu de la planche est occupé par un masque
monstrueux en terre cuite ayant servi de gargouille à
une fontaine. Hauteur 0in25; largeur 0m2/t. Un mas-
caron en pierre, presque identique à cette image, est
encastré dans la paroi du grand escalier de la Place Né-
grier : seulement, il y manque tout le bas de la figure.
Fragment de lampe en lerre cuite, portant le n° 68
dans la vitrine de M. Cordonnier. Dans le champ, lutte
au pugilat.
Planche XXVI. —Les pierres funéraires ornées d'ins-
criptions et de bas-reliefs représentant des scènes reli-
gieuses ou des traits de mœurs se rencontrent assez fré-
quemment dans les ruines de la Numidie. La collection
de Lambèsc n'en compte pas moins de quarante. On en
a recueilli un certain nombre à Rusicada, à Calama, à
Thagaste et à Aïn-Beidha. Nous en possédons ici une
mninlcuue par un anneau du même métal. On sait que
les romains avaient l'habitude de mettre des colliers de
ce genre à quelques animaux domestiques. — Donné au
musée parsM. Cordonnier.
N° 9. — Petite clé en cuivre sans gorge el fixée à une
bague. Cel insjrument. n'était propre qu'à lever des loquets
ou à ouvrir des serrures petites et faciles; il a été ra-
massé dans les Touilles d'Aïn-el-bey (ras publica Saddari-
tanorum) et donné au musée par le caporal Beun.
Planche XXV. — Les amphores dessinées à droite et
à gauche de la planche gisaient dans le sable de la source
du Bou-Merzoug, à une profondeur de 0m50 ; elles en
ont été extraites par M. Lebiez, ingénieur des Ponls-el-
Ghaussées, qui en a fait hommage au musée de Cons-
lantinc. La plus grande mesure lm27.
Le milieu de la planche est occupé par un masque
monstrueux en terre cuite ayant servi de gargouille à
une fontaine. Hauteur 0in25; largeur 0m2/t. Un mas-
caron en pierre, presque identique à cette image, est
encastré dans la paroi du grand escalier de la Place Né-
grier : seulement, il y manque tout le bas de la figure.
Fragment de lampe en lerre cuite, portant le n° 68
dans la vitrine de M. Cordonnier. Dans le champ, lutte
au pugilat.
Planche XXVI. —Les pierres funéraires ornées d'ins-
criptions et de bas-reliefs représentant des scènes reli-
gieuses ou des traits de mœurs se rencontrent assez fré-
quemment dans les ruines de la Numidie. La collection
de Lambèsc n'en compte pas moins de quarante. On en
a recueilli un certain nombre à Rusicada, à Calama, à
Thagaste et à Aïn-Beidha. Nous en possédons ici une