DOI article:
Villot, ...: Études algériennes
DOI Page / Citation link: https://doi.org/10.11588/diglit.14824#0386
la vie de chacune des autres. Nous démontrerons cette
vérité, en parlant du commerce et de l'industrie.
Les mœurs des habitants des kçours, à part quelques
différences sans importance générale, sont celles de la
majorité des indigènes cultivateurs ou pasteurs. Ils sont
musulmans fanatiques. Ils portent le même costume, se
nourrissent comme eux, et pratiquent le vol, le men-
songe, la paresse, la luxure et tous les vices qui en
découlent, comme leurs frères de la plaine ou de la
montagne.
Quelques-uns d'entre eux, comme les Beni-M'zab, se
distinguent de la grande famille indigène par des cou-
tumes bizarres que nous décrirons.
Les femmes jouissent d'une assez grande liberté dans
les oasis et les kçours; elles remplissent les mêmes
fondions que sous la tente.
Elles sont de mœurs dissolues.
vérité, en parlant du commerce et de l'industrie.
Les mœurs des habitants des kçours, à part quelques
différences sans importance générale, sont celles de la
majorité des indigènes cultivateurs ou pasteurs. Ils sont
musulmans fanatiques. Ils portent le même costume, se
nourrissent comme eux, et pratiquent le vol, le men-
songe, la paresse, la luxure et tous les vices qui en
découlent, comme leurs frères de la plaine ou de la
montagne.
Quelques-uns d'entre eux, comme les Beni-M'zab, se
distinguent de la grande famille indigène par des cou-
tumes bizarres que nous décrirons.
Les femmes jouissent d'une assez grande liberté dans
les oasis et les kçours; elles remplissent les mêmes
fondions que sous la tente.
Elles sont de mœurs dissolues.