NECROLOGIE
La Société archéologique a été durement frappée
en la personne de deux de nos confrères, M. Paul
Marchand, membre titulaire, décédé dans les pre-
miers jours du mois d'août 1890, et M. Sergent,
membre correspondant, décédé le 11 septembre 1891.
Nous reproduisons ci-dessous les paroles pronon-
cées à leurs obsèques, au nom de la Société, par
M . Mercier, vice-président :
I.
M. Paul MARCHAND
En l'absence de M. Poulie, notre président, j'ai le triste de-
voir d'adresser, au nom de la Société archéologique de Cons-
tantine, le dernier adieu à notre regretté confrère Paul Mar-
chand.
Celui que nous avons conduit à sa dernière demeure élait
presque un nouveau venu parmi nous. Et cependant, son nom
était ancien dans nos annales. Un M. Marchand a été, de 1858 à
1868, archiviste-bibliothécaire Je notre Société et a fourni à
nos Recueils un certain nombre d'articles.
C'est du père de Paul Marchand qu'il s'agit, enlevé prématu-
rément, comme lui, à l'affection de ses amis et aux intérêts de
l'archéologie et de l'histoire algérienne. Le père et le fils vont
se trouver réunis dans ce tombeau et il sera plus facile encore
de les confondre à l'avenir, leur individualité ayant cessé pour
nous.
La Société archéologique a été durement frappée
en la personne de deux de nos confrères, M. Paul
Marchand, membre titulaire, décédé dans les pre-
miers jours du mois d'août 1890, et M. Sergent,
membre correspondant, décédé le 11 septembre 1891.
Nous reproduisons ci-dessous les paroles pronon-
cées à leurs obsèques, au nom de la Société, par
M . Mercier, vice-président :
I.
M. Paul MARCHAND
En l'absence de M. Poulie, notre président, j'ai le triste de-
voir d'adresser, au nom de la Société archéologique de Cons-
tantine, le dernier adieu à notre regretté confrère Paul Mar-
chand.
Celui que nous avons conduit à sa dernière demeure élait
presque un nouveau venu parmi nous. Et cependant, son nom
était ancien dans nos annales. Un M. Marchand a été, de 1858 à
1868, archiviste-bibliothécaire Je notre Société et a fourni à
nos Recueils un certain nombre d'articles.
C'est du père de Paul Marchand qu'il s'agit, enlevé prématu-
rément, comme lui, à l'affection de ses amis et aux intérêts de
l'archéologie et de l'histoire algérienne. Le père et le fils vont
se trouver réunis dans ce tombeau et il sera plus facile encore
de les confondre à l'avenir, leur individualité ayant cessé pour
nous.