COMMUNICATION FAITE
AU
CONGRÈS I3ES SOCIÉTÉS SAVANTES
(Alger 1905)
LANTERNE DE BRONZE
PROVENANT
du Cimetière païen d'Aïn-el-Hout
(douar des Aïcida. — Environs de Souk-Ahras )
PAR
M. ROUQUETTE,
Médecin-Chef à l'Hôpital militaire de Souk-Ahras
Dans le Bulletin de la Société archéologique de Sousse
(2e semestre 1903), nous avions consacré quelques
notes à la description d'un cimetière païen que nous
avons découvert aux environs de Souk-Ahras et
qui présente la particularité de ne renfermer que des
tombes à incinération.
Nous avions décrit, dans cette étude, la constitu-
tion des quelques tombes mises à jour l'an dernier,
en faisant ressortir surtout qu'aucun signe n'en révé-
lait la moindre trace à la surface du sol et que les
recherches devaient être faites un peu au hasard.
Si la pioche, disions-nous, rencontrait à une pro-
fondeur de 40 centimètres environ une couche de
AU
CONGRÈS I3ES SOCIÉTÉS SAVANTES
(Alger 1905)
LANTERNE DE BRONZE
PROVENANT
du Cimetière païen d'Aïn-el-Hout
(douar des Aïcida. — Environs de Souk-Ahras )
PAR
M. ROUQUETTE,
Médecin-Chef à l'Hôpital militaire de Souk-Ahras
Dans le Bulletin de la Société archéologique de Sousse
(2e semestre 1903), nous avions consacré quelques
notes à la description d'un cimetière païen que nous
avons découvert aux environs de Souk-Ahras et
qui présente la particularité de ne renfermer que des
tombes à incinération.
Nous avions décrit, dans cette étude, la constitu-
tion des quelques tombes mises à jour l'an dernier,
en faisant ressortir surtout qu'aucun signe n'en révé-
lait la moindre trace à la surface du sol et que les
recherches devaient être faites un peu au hasard.
Si la pioche, disions-nous, rencontrait à une pro-
fondeur de 40 centimètres environ une couche de