NOTE ADDITIONNELLE A LA LETTRE DE M. J. LEY
199
33. — cresson. LEPIDIUM SATIVUM L.1
Une vingtaine de graines de Cresson alénois (Lepidium sativum L.). — Jusqu'à
présent, on ne connaissait cette espèce, pour l'Egypte antique, que par quelques graines
qui s'en trouvent exposées au Musée égyptien de Florence2.
34. — lotus blanc. NYMPHEA LOTUS L.3
Cinq fleurs et un fragment de pédoncule, le tout en assez mauvais état de conser-
vation. — L'examen attentif des diverses parties de ces fleurs nous a montré qu'elles
appartiennent au Lotus blanc (Nymphœa Lotus L.) et non pas au Lotus bleu (N. cœrulea
Sav.), également commun dans les tombes antiques de l'Egypte.
Victor Loret et Jules Poisson.
Paris-Lyon, 21 mai 1895.
NOTE ADDITIONNELLE A LA LETTRE DE M. J. LEY
La planche qui accompagne la lettre de M. J. Ley sur deux monuments assyriens
de Lyon, et qui a paru dans le dernier numéro du Recueil, porte la représentation de
deux monuments. Le texte n'en décrit qu'un seul, par suite d'une erreur de mise en
pages le post-scriptum de cette lettre a été supprimé. Ce post-scriptum indiquait
simplement que le second monument, conservé dans le même musée que le premier,
est de même matière et, vraisemblablement, de même provenance.
M. J. Ley a bien voulu faire lui-même, en faveur du Recueil, les frais de photo-
typie et de tirage de la planche qui illustre sa notice. Nous profitons de l'occasion qui
nous est donnée d'en reparler pour remercier M. J. Ley de son intéressante communica-
tion et de sa générosité scientifique. G. M.
1. Sans étiquette.
2. V. Loret, Flore pharaonique, 2e édit., p. 110, n° 189.
3. N. 1409. — Champ., Catal., L. 176.
199
33. — cresson. LEPIDIUM SATIVUM L.1
Une vingtaine de graines de Cresson alénois (Lepidium sativum L.). — Jusqu'à
présent, on ne connaissait cette espèce, pour l'Egypte antique, que par quelques graines
qui s'en trouvent exposées au Musée égyptien de Florence2.
34. — lotus blanc. NYMPHEA LOTUS L.3
Cinq fleurs et un fragment de pédoncule, le tout en assez mauvais état de conser-
vation. — L'examen attentif des diverses parties de ces fleurs nous a montré qu'elles
appartiennent au Lotus blanc (Nymphœa Lotus L.) et non pas au Lotus bleu (N. cœrulea
Sav.), également commun dans les tombes antiques de l'Egypte.
Victor Loret et Jules Poisson.
Paris-Lyon, 21 mai 1895.
NOTE ADDITIONNELLE A LA LETTRE DE M. J. LEY
La planche qui accompagne la lettre de M. J. Ley sur deux monuments assyriens
de Lyon, et qui a paru dans le dernier numéro du Recueil, porte la représentation de
deux monuments. Le texte n'en décrit qu'un seul, par suite d'une erreur de mise en
pages le post-scriptum de cette lettre a été supprimé. Ce post-scriptum indiquait
simplement que le second monument, conservé dans le même musée que le premier,
est de même matière et, vraisemblablement, de même provenance.
M. J. Ley a bien voulu faire lui-même, en faveur du Recueil, les frais de photo-
typie et de tirage de la planche qui illustre sa notice. Nous profitons de l'occasion qui
nous est donnée d'en reparler pour remercier M. J. Ley de son intéressante communica-
tion et de sa générosité scientifique. G. M.
1. Sans étiquette.
2. V. Loret, Flore pharaonique, 2e édit., p. 110, n° 189.
3. N. 1409. — Champ., Catal., L. 176.