130 NOUVELLES NOTES D'ÉPIGRAPHIE ET D'ARCHÉOLOGIE ASSYRIENNES
A-bil-la-tum ni-ku mu-us-sa Si-mu-ru-um(ki)
itu U-nê-kù Lu-lu-bu(ki) a-du 10-1 kam as ba-gul.
3 udu sam mu-tum {an) Dun-gi zi-im-tum
1 mas gai A-bil-la-tum ni-ku
1 sil sag (al. lib) Uru(ki)-ma
I-ti Gir-ra itu Ezen mah
x udu sam 1 sil mu Si-mu-ru-um-(ki) Lu-lu-bu(ki)
[Ab]-ba-sag a-du 9-1 kam as ba-gul.
1 mas I-mi-id ilu
Puis, encore en l'an 55, ce sont vaches, bœufs, chevreaux que Dungi-zimti pro-
cure à l'intention de la femme d'un haut fonctionnaire, le sakkanak Dungi-ili.
1 ab mu-tum {an) Dun-gi zi-im-tum
1 ab sam Ur (an) Lugal edin-ka ni-ku
10 udu sam itu Su-es-sa
10 mas gai mu Ur-bïl-lum(kï) ba-gul.
dam (an) Dun-gi i-li sakkanak (al. gir-
nita ou ug-ge).
En l'an 56, dans les mêmes conditions, apport de volaille, à l'intention de Nir-ni-
da-gal (Legrain, loc. cit., n° 78). De la même col- /
lection, un texte non daté, n° 76, fait allusion à des fftf^i ^ ttff
chevreaux et agneaux octroyés par Dungi-zimti, à ^fc" lltFTf^5$^
l'intention de la sœur de Silus-Dagan. ugç t^j7 i$ b^pk
Ces dons gracieux ou ces libéralités, très sou- ^
vent destinés à des femmes auxquelles Dungi-zimti
s'intéresse, laissent deviner, — à défaut d'un déter-
minatif, qui, à cette époque, est sous-entendu et
dont les contemporains n'avaient pas besoin, — que
ce dernier personnage est lui-même une femme et
non des moindres, du monde familial ou officiel de
l'entourage du roi Dungi \ A ^
Et, en effet, sur une tablette inédite de la collée- \t 111 7J
tion Kelekian Khan, datée de l'an 42 du règne, on fcf j^TO^^^ïM'
lit sur l'enveloppe (qui est restée fermée) ces mots :
1^ & J
1. A la même époque, à Umma-Djokha, sur diverses tablettes de comptabilité, on ne soupçonnerait pas
le rôle qu'y joue une femme de patési, sans le cachet qui y est quelquefois empreint de surcroît et qui révèle
pour nous son identité :
Nin-hi-ni-a
dam A-a kal-la
patesi
GIS-UH-ki-ka.
A-bil-la-tum ni-ku mu-us-sa Si-mu-ru-um(ki)
itu U-nê-kù Lu-lu-bu(ki) a-du 10-1 kam as ba-gul.
3 udu sam mu-tum {an) Dun-gi zi-im-tum
1 mas gai A-bil-la-tum ni-ku
1 sil sag (al. lib) Uru(ki)-ma
I-ti Gir-ra itu Ezen mah
x udu sam 1 sil mu Si-mu-ru-um-(ki) Lu-lu-bu(ki)
[Ab]-ba-sag a-du 9-1 kam as ba-gul.
1 mas I-mi-id ilu
Puis, encore en l'an 55, ce sont vaches, bœufs, chevreaux que Dungi-zimti pro-
cure à l'intention de la femme d'un haut fonctionnaire, le sakkanak Dungi-ili.
1 ab mu-tum {an) Dun-gi zi-im-tum
1 ab sam Ur (an) Lugal edin-ka ni-ku
10 udu sam itu Su-es-sa
10 mas gai mu Ur-bïl-lum(kï) ba-gul.
dam (an) Dun-gi i-li sakkanak (al. gir-
nita ou ug-ge).
En l'an 56, dans les mêmes conditions, apport de volaille, à l'intention de Nir-ni-
da-gal (Legrain, loc. cit., n° 78). De la même col- /
lection, un texte non daté, n° 76, fait allusion à des fftf^i ^ ttff
chevreaux et agneaux octroyés par Dungi-zimti, à ^fc" lltFTf^5$^
l'intention de la sœur de Silus-Dagan. ugç t^j7 i$ b^pk
Ces dons gracieux ou ces libéralités, très sou- ^
vent destinés à des femmes auxquelles Dungi-zimti
s'intéresse, laissent deviner, — à défaut d'un déter-
minatif, qui, à cette époque, est sous-entendu et
dont les contemporains n'avaient pas besoin, — que
ce dernier personnage est lui-même une femme et
non des moindres, du monde familial ou officiel de
l'entourage du roi Dungi \ A ^
Et, en effet, sur une tablette inédite de la collée- \t 111 7J
tion Kelekian Khan, datée de l'an 42 du règne, on fcf j^TO^^^ïM'
lit sur l'enveloppe (qui est restée fermée) ces mots :
1^ & J
1. A la même époque, à Umma-Djokha, sur diverses tablettes de comptabilité, on ne soupçonnerait pas
le rôle qu'y joue une femme de patési, sans le cachet qui y est quelquefois empreint de surcroît et qui révèle
pour nous son identité :
Nin-hi-ni-a
dam A-a kal-la
patesi
GIS-UH-ki-ka.