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https://doi.org/10.11588/diglit.30361#0006
AVIS
Dans ce fascicule, écrit il y a trois ans, j'avais, p. LXVi à Lxxxm, com-
mencé, sur quelques points de détail, une polémique courtoise avec
M. Brugsch-Bey, l'illustre auteur de la Grammaire démotivé, qui, disait-on,
s'apprêtait à m'attaquer. La nouvelle était fausse et M. Brugsch m'a depuis
comblé des marques de son affectueuse sympathie. D'ailleurs les erreurs
que je puis me reprocher à moi-même sont aussi fortes que celles que je
reprochais à M. Brugsch. Dias diam docaf, surtout quand il s'agit de déchiftre-
ments nouveaux. Je déclare donc que ces pages (que je voulais recommencer)
doivent être considérées comme nulles et non avenues, en tout ce qui
concerne du moins la susdite polémique. Pour les autres modifications à
faire au texte, on les verra dans la préface qui paraîtra en tête d'un prochain
fascicule.
E. RÉVILLOUT.
Dans ce fascicule, écrit il y a trois ans, j'avais, p. LXVi à Lxxxm, com-
mencé, sur quelques points de détail, une polémique courtoise avec
M. Brugsch-Bey, l'illustre auteur de la Grammaire démotivé, qui, disait-on,
s'apprêtait à m'attaquer. La nouvelle était fausse et M. Brugsch m'a depuis
comblé des marques de son affectueuse sympathie. D'ailleurs les erreurs
que je puis me reprocher à moi-même sont aussi fortes que celles que je
reprochais à M. Brugsch. Dias diam docaf, surtout quand il s'agit de déchiftre-
ments nouveaux. Je déclare donc que ces pages (que je voulais recommencer)
doivent être considérées comme nulles et non avenues, en tout ce qui
concerne du moins la susdite polémique. Pour les autres modifications à
faire au texte, on les verra dans la préface qui paraîtra en tête d'un prochain
fascicule.
E. RÉVILLOUT.