MONUMENTS HISTORIQUES
(Photo Hainaux.)
-La Salle du retable de Van der Weyden, après le remaniement du Musée.
L’INAUGURATION DU MUSÉE
DE L’HÔTEL-DIEU DE BEAUNE
Dans notre dernier numéro (voir page 295) nous avons — à l’occasion de la nouvelle
présentation du Musée de l’Hôtel-Dieu de Beaune qui était en préparation — rappelé l’im-
portance des collections qui y étaient conservées. Nous sommes heureux aujourd’hui de
publier deux photographies des nouvelles salles que nos lecteurs pourront comparer avec
une vue de l’ancienne disposition.
En effet, M. Hautecœur, Conseiller d’Etat, Secrétaire Général des Beaux-Arts, a
inauguré le 21 juillet les deux salles où sont présentées les plus précieuses tapisseries de
l’Hôtel-Dieu et le retable de Van der Weyden exécuté pour la grande salle des malades.
Ce dernier est présenté sur une draperie rouge de même ton que les célèbres couver-
tures où des tourterelles alternent avec la devise « Seule » accrochées au mur. Le rustique dallage
de carreaux, les murs bis, les vieux coffres de chêne poli, quelques sculptures non sans mérite,
tout cela baigné d’une lumière diffuse incite à jouir du retable sans disperser l’attention.
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(Photo Hainaux.)
-La Salle du retable de Van der Weyden, après le remaniement du Musée.
L’INAUGURATION DU MUSÉE
DE L’HÔTEL-DIEU DE BEAUNE
Dans notre dernier numéro (voir page 295) nous avons — à l’occasion de la nouvelle
présentation du Musée de l’Hôtel-Dieu de Beaune qui était en préparation — rappelé l’im-
portance des collections qui y étaient conservées. Nous sommes heureux aujourd’hui de
publier deux photographies des nouvelles salles que nos lecteurs pourront comparer avec
une vue de l’ancienne disposition.
En effet, M. Hautecœur, Conseiller d’Etat, Secrétaire Général des Beaux-Arts, a
inauguré le 21 juillet les deux salles où sont présentées les plus précieuses tapisseries de
l’Hôtel-Dieu et le retable de Van der Weyden exécuté pour la grande salle des malades.
Ce dernier est présenté sur une draperie rouge de même ton que les célèbres couver-
tures où des tourterelles alternent avec la devise « Seule » accrochées au mur. Le rustique dallage
de carreaux, les murs bis, les vieux coffres de chêne poli, quelques sculptures non sans mérite,
tout cela baigné d’une lumière diffuse incite à jouir du retable sans disperser l’attention.
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