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Ch. Wessely. Lettre a M. Bevlllout, etc.
Voilà les autres abréviations :
TCpoy,etpi,|[Ai (le double [x signifie le pluriel) = Tcpoxeifx'evo'.
7upo/./ = 7îp6y,£[Tai
aupi = Aùpv^Xtoç
air — aiixûv
Tcap/ = îtapovTUW
a^paji,^ == à^pa^^ccTtov
OVTW = OVTtoV
Papykus XXXIX.
Haut. llcm, larg. 10cm (n° 6498 du Louvre),
u
zapio [jl . . . pi
y] £<; ocuttg ) Trspt . . . . nzokX
ouïe sysi 7uapa x
to)v TcttVCOV o/tîgXaodv odx s/si
.... o arspi aOTrœv ircpt xoa
svgç vojuajj^ oppoC xgo sv aypa) sv
_ (sic)
otco6y]xy]ç xXYjpo yaipïj|jLO)Voc
oioq {jiYjva. 7Tc%oacG [xspiaGvjvat
aozoo s£ aurcov s£ logo [xepooç
tptTou g jjlsv arcoXXa) jjtsp/ y %at
g |xen:£,x,oaL [i£p ootooç yap ô
scpaVY] oaatGV sypa<p/ piïj <paa)<p
TpeioxatSsîtaxTjc tv_j "j* 0/ s|j.g apwcopi/
« (On a fait des stipulations) sur les parts des fils d'Apollo . . . aussi sur le 1 écu d'or
»pur déposé hypothécairement au champ héritier de Chairémon, fils de Ménas Pekusios; il
»le faut donc partager en trois parts égales; 2 tiers sont à Apollo et le 3e tiers à Pekusios;
» aussi on l'a reconnu juste.
«Ecrit au mois de Phaophi de la 13e indiction, écrit par moi Aristomaque.»
Ce compromis est aussi très difficile à interpréter, mais il s'agit évidemment d'une parti-
tion d'un héritage; nous y trouvons le signe y = 2/3 et ^ = '/3. On a également les abré-
viations ffî = [âyjvoç, £YPa?/ = ^ÏP^?7!? apiGTOf/./ = ApiaTo^a/ou.
La formule oikwç yàp e<pavY] 8-âaiov est aussi déjà connue par le papyrus XXXVII. 'Ev
u7ro6^y.y]ç est peut-être simplement dit pour èv 6tuo8^x,ïjç jjiipet.
Ici nous avons au lieu de b \ih — ô oé, une autre conjonction 6 [ûv — 6 \jâv; mais au
lieu d'écrire 6 jàèv Iïçwicnoç, l'écrivain a suivi la prononciation vulgaire qui réprime et assimile
la nasale avant le [3, tc, ç, par exemple vuçyj = v6[aç*j; ^ujâjâaXXeaSat = £ufx(iJflÉXXeç9ac; avnXa[3avo-
[j.evou — àvTiXa(jt,(3avo[AÉvou.
Agréez, etc. Charles Wessely.
Ch. Wessely. Lettre a M. Bevlllout, etc.
Voilà les autres abréviations :
TCpoy,etpi,|[Ai (le double [x signifie le pluriel) = Tcpoxeifx'evo'.
7upo/./ = 7îp6y,£[Tai
aupi = Aùpv^Xtoç
air — aiixûv
Tcap/ = îtapovTUW
a^paji,^ == à^pa^^ccTtov
OVTW = OVTtoV
Papykus XXXIX.
Haut. llcm, larg. 10cm (n° 6498 du Louvre),
u
zapio [jl . . . pi
y] £<; ocuttg ) Trspt . . . . nzokX
ouïe sysi 7uapa x
to)v TcttVCOV o/tîgXaodv odx s/si
.... o arspi aOTrœv ircpt xoa
svgç vojuajj^ oppoC xgo sv aypa) sv
_ (sic)
otco6y]xy]ç xXYjpo yaipïj|jLO)Voc
oioq {jiYjva. 7Tc%oacG [xspiaGvjvat
aozoo s£ aurcov s£ logo [xepooç
tptTou g jjlsv arcoXXa) jjtsp/ y %at
g |xen:£,x,oaL [i£p ootooç yap ô
scpaVY] oaatGV sypa<p/ piïj <paa)<p
TpeioxatSsîtaxTjc tv_j "j* 0/ s|j.g apwcopi/
« (On a fait des stipulations) sur les parts des fils d'Apollo . . . aussi sur le 1 écu d'or
»pur déposé hypothécairement au champ héritier de Chairémon, fils de Ménas Pekusios; il
»le faut donc partager en trois parts égales; 2 tiers sont à Apollo et le 3e tiers à Pekusios;
» aussi on l'a reconnu juste.
«Ecrit au mois de Phaophi de la 13e indiction, écrit par moi Aristomaque.»
Ce compromis est aussi très difficile à interpréter, mais il s'agit évidemment d'une parti-
tion d'un héritage; nous y trouvons le signe y = 2/3 et ^ = '/3. On a également les abré-
viations ffî = [âyjvoç, £YPa?/ = ^ÏP^?7!? apiGTOf/./ = ApiaTo^a/ou.
La formule oikwç yàp e<pavY] 8-âaiov est aussi déjà connue par le papyrus XXXVII. 'Ev
u7ro6^y.y]ç est peut-être simplement dit pour èv 6tuo8^x,ïjç jjiipet.
Ici nous avons au lieu de b \ih — ô oé, une autre conjonction 6 [ûv — 6 \jâv; mais au
lieu d'écrire 6 jàèv Iïçwicnoç, l'écrivain a suivi la prononciation vulgaire qui réprime et assimile
la nasale avant le [3, tc, ç, par exemple vuçyj = v6[aç*j; ^ujâjâaXXeaSat = £ufx(iJflÉXXeç9ac; avnXa[3avo-
[j.evou — àvTiXa(jt,(3avo[AÉvou.
Agréez, etc. Charles Wessely.