Le Koupi.
3
VIII, 25. Bast,1 celui qu'on amène avant la conception,2 pour qu'ils enfantent3 (sic) dans le séjour
où leur mère les a amenés
VIII, 26. encore.4 c'est la déesse de la chair,5 qui est la divinité qu'on invoquera, (elle epoc,)6
pour la faire tomber7 (la femme),
VIII, 27. pour qu'elle (se) fasse être un maître par devant et par derrière8 dans la peh het (derrière
devant),9 en sorte qu'on dise cela comme nom à la part réservée,10 qui est dans
VIII, 28. les temples11 d'Egypte. c'est le mystère18 de la déesse, celui-là encore!
— Elle dit : Je suis
VIII, 29. celle-là (cette déesse) en sa main à lui!
B. La peinture de l'image de Bast.
— c'est-là la peinture13 qu'on explique14 ainsi sur le ventre de Bast.
I Mil il i/m 4 A
vni,2,Tj,eJ^e:ST^i^Si^T^|-^i-¥
raûK
VIII, 27. ^^P^ll^-^le^l^^^f'
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VIII, 29. J (â \k (I ©
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«an
1 Le déterminatif du feu est souvent intercalé avant le ^ au nom de Bast — la Ténus égyptienne, la déesse chatte, forme
adoucie de la déesse lionne «c/emf ou se/et, conf. Koufl, VI, 7. 1 <&^S\ wu, OirûJ* 3 Voir une des notes précédentes.
^ /wvw! ^ 0ïl' 3 = Î S° IW ^ ah* aM^ f| ^ ) COpt0 *^ ôk^'
5 Koufi XI, 4. Conf. 0^J"':^^|| la chair divine ou céleste, qui est adjurée comme une divinité, Koufl IX, 23. Ici le signe ^
intervient deux fois : d'abord comme syllabîque ah avec le complément phonétique 6, puis comme déterminatif du mot ^fi ou ahi chair,
cette fois un peu déformé. Dans le facsïmile viennent enfin les déterminatifs des déesses, le t et l'œuf et le ^j.
,J Le mot ^ ^ c± ou ^ ^ ° est une variante de □ ^ ° (Torf*. 140, 21, 22), désignant un rédoit
mystérieux et sacré (voir Levi). Kn définitive, on fait jouer ainsi à ^, simple lettre complémentaire du syllabique peh, un rôle qu'il n'a
pas. Il n'en est pas moins vrai que dans les temples do basse époque une des salles était en l'honneur de l'accouchement de la déesse.
10 -ôt> ou TO, part qu'on emploie sans cesse dans les contrats de partage démotiques, a ici le déterminatif du bois se rapportant
ii un sacellum ou chapelle. » pue est traduit par tspov dans les décrets trilingues.
12 ' " S \ o Q mystère. 13 q modeler, figurer comme fl Bitnel 102, 129, Naville, Litanie de
soleil 23. Conf. k"jiH j^joj Rte. IV, 82 et 94, 16. ' tretare, macinare ; Levi : «poudre» et engins colorants. !4
expliquer, énoncer.
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VIII, 25. Bast,1 celui qu'on amène avant la conception,2 pour qu'ils enfantent3 (sic) dans le séjour
où leur mère les a amenés
VIII, 26. encore.4 c'est la déesse de la chair,5 qui est la divinité qu'on invoquera, (elle epoc,)6
pour la faire tomber7 (la femme),
VIII, 27. pour qu'elle (se) fasse être un maître par devant et par derrière8 dans la peh het (derrière
devant),9 en sorte qu'on dise cela comme nom à la part réservée,10 qui est dans
VIII, 28. les temples11 d'Egypte. c'est le mystère18 de la déesse, celui-là encore!
— Elle dit : Je suis
VIII, 29. celle-là (cette déesse) en sa main à lui!
B. La peinture de l'image de Bast.
— c'est-là la peinture13 qu'on explique14 ainsi sur le ventre de Bast.
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1 Le déterminatif du feu est souvent intercalé avant le ^ au nom de Bast — la Ténus égyptienne, la déesse chatte, forme
adoucie de la déesse lionne «c/emf ou se/et, conf. Koufl, VI, 7. 1 <&^S\ wu, OirûJ* 3 Voir une des notes précédentes.
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5 Koufi XI, 4. Conf. 0^J"':^^|| la chair divine ou céleste, qui est adjurée comme une divinité, Koufl IX, 23. Ici le signe ^
intervient deux fois : d'abord comme syllabîque ah avec le complément phonétique 6, puis comme déterminatif du mot ^fi ou ahi chair,
cette fois un peu déformé. Dans le facsïmile viennent enfin les déterminatifs des déesses, le t et l'œuf et le ^j.
,J Le mot ^ ^ c± ou ^ ^ ° est une variante de □ ^ ° (Torf*. 140, 21, 22), désignant un rédoit
mystérieux et sacré (voir Levi). Kn définitive, on fait jouer ainsi à ^, simple lettre complémentaire du syllabique peh, un rôle qu'il n'a
pas. Il n'en est pas moins vrai que dans les temples do basse époque une des salles était en l'honneur de l'accouchement de la déesse.
10 -ôt> ou TO, part qu'on emploie sans cesse dans les contrats de partage démotiques, a ici le déterminatif du bois se rapportant
ii un sacellum ou chapelle. » pue est traduit par tspov dans les décrets trilingues.
12 ' " S \ o Q mystère. 13 q modeler, figurer comme fl Bitnel 102, 129, Naville, Litanie de
soleil 23. Conf. k"jiH j^joj Rte. IV, 82 et 94, 16. ' tretare, macinare ; Levi : «poudre» et engins colorants. !4
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