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Schwartze, Moritz Gotthilf
Das alte Aegypten oder Sprache, Geschichte, Religion und Verfassung des alten Aegyptens: nach den altägyptischen Original-Schriften und den Mittheilungen der nichtägyptischen alten Schriftsteller (Band 1) — Leipzig, 1843

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https://doi.org/10.11588/diglit.17156#0334
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280

System der Hieroglyphik

Als einfache Pronomina seien zu betrachten *):

' zweite Person, masc. K, r . . . *me>, du-, NK

<\....."^-v v W iTT , ^Z. , ihm;

r<I.....^—v v Nq ihm;

dritte Person, masc. jq oder Y • ^ _ J er; pq ^ , ihm, zu ihm;

kNTq, NToq

dritte Person, fem. c.....—o-, -+\-, sie; NC

Dieselben Formen bezeichnen in Verbindung mit einem Nomen dessen Possessivverhältnisse,
nämlich :

In ihrer Stellung zu dem Nomen weichen: sie jedoch dadurch von den Regeln der Koptischen
Grammatik ab, dass sie dem Nomen nicht mit dem Artikel als Präfixe voran gesetzt, sondern,

2) Champollion Tabl. gen. I. et II. e'd. no. 13. K ou V, pronom simple dela deuxieme personne, masculin singulier;

no. 14. q, pronom simple de la troisieme personne, masculin singulier; copte q, lui, affixe. no. 15.
q ou Y? s'gne homophone du precedent et ayaut la meme valeur. no. 16. C, pronom simple de la troisieme personne,
feminin singulier; copte C, affixe. «*. 17. NTq, NTOq, pronom compose de la troisieme personne, masculin singulier;
copte NTOq, NTAq. no. l8- NK, n toi, pronom de la deuxieme personne, masculin singulier; copte NAK, NEK.
no. 19. Nq, « UH, pronom de la troisieme personne, masculin singulier; copte NAq, NEq. no. 20. NC, « eile, pronom
de la troisieme personne, feminin singulier; copte NAC, NEC no. 21. pq , ä lui, vers lui: ce groupe dont le premier
Clement n'est point encore connu, est employe dans la cinquieme Iigne de l'inscription de Rosette, ou il repond au copte
Epoq ou gApOq. (Vergl. uus. B. p. 241. no. 2.)

Pre'cis du Syst. liier. I. e'd. p. 76. II. e'd. p. 129. Je n'ai encore bien reconnu, dans les textes hieroglyphiques,
qu'un seul groupe representant un pronom sajet de la proposition. C'est le pronom isole de la troisieme personne du
masculin. II est forme de quatre caracteres, la ligne horizontale ou la ligne brise'e N, le segment de sph'ere T, le lituus 0
et le ce'raste q; c'est, lettre pour lettre, le pronom copte NTOq, lui. (Tabl. gen. no. 17. — In der zweiten Ausgabe
des Pre'cis setzt Champollion folgende Anmerkung hinzu: J'ai retrouve depuis cette epö'qüe les autres prononis isoles sujets
de la proposition, prononis dont ceux qui sout propres a In laugue copte ne sont aussi que des transcriptions [182G]. —
War diess seit 182G der Fall, warum Hess Champollion im J. 1828 die Worte der ersten Ausgabe unverändert wieder
abdrucken, da doch die zweite Ausgabe keinesweges ein wörtlicher Abdruck der ersten Ausgabe ist noch sein soll?) J'ai
ete plus heureux dans la recherche des prononis complemens des prepositions ou des verbes; et cela devait etre en efiet;
car si l'on ne peut esperer de trouver beaucoup d'exemples de Pemploi des prononis isoles Sujets de la proposition, moii,
toi, dans les inscriptions monumentales, les meines textes ne peuvent qu'en oflrir de tres-multiplies des prononis de la
secoude et sur-tout de la troisieme personne, complemens dir'ects ou indirects, soit de verbes, soit de prepositions. —
L'inscription Merögiyphique de Kosette et tous les autres textes presentent, tout aussi souvent que les textes coptes, le
pronom prefixe et affixe de la troisieme personne; sa forme hieroglyphique la plus ordinaire est le ce'raste (\ y ), dont
la forme hieratique et demotiqne est absolument la meme que celle du q copte, qui lui-meme est ce pronom affixe ou pre-
fixe de la troisieme personne. Nons avous deja vu que cette forme antique a du passer dans l'alphabet copte en meme
temps que les formes antiques du ü), du g, du ]o, du X et du 6, parce que l'alphabet grec qu'adopterent les Egyptiens
deveuus chretieus, ne presentait point de soiis equivalens. J'ajouterai meme que la decouverte de ce fait tres-curieux a
beaucoup contribue ä me convaincre de la hature veritablemeut phonelique d'une tres-grande partie des signes qui com-
posent les inscriptions hieroglyphiques. — Dans ces meines inscriptions, le pronom de la troisieme personne masculine,
complement indirect, est exprime par la liijne brise'e ou horizontale N, et le ce'raste q: cela produit Nq, q»i est juste-
ment le copte NEq ou NAq j (1, lui- (.'Tabl. gen. no. 19.) — Dans les lextes qui se rapportent a des femmes, le ce'raste
disparait, pour faire place aux deux sceptres aßrontes, forme tres-ordinaire du S; c'est le copte NEC, NAC, « eile.
(Tabl. gen. no. 20.) — Le pronom, complement iudirect, de la secoude personne masculine, est rendu par deux hiero-
glyphes, la liyne brise'e ou la liyne horizontale N, et le bassin ä, anneau K ou T, ce qui produit NK, le pronom copte
NAK. CTubl. ye'n. no. 16.)

Dans la langue copte, les prononis simples et isoles K, q et C, que nous avous aussi retrouves dans les textes hiero-
glyphiques, sont places entre l'article deterniinatif et le nom, et forment ainsi une espece d'article deterniinatif possessif,
qui tient la place de nos mots son, sa, ses, notre, votre, leur, etc. On emploie, par exeraple, la forme TTEqCON, le de
 
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