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Schwartze, Moritz Gotthilf
Das alte Aegypten oder Sprache, Geschichte, Religion und Verfassung des alten Aegyptens: nach den altägyptischen Original-Schriften und den Mittheilungen der nichtägyptischen alten Schriftsteller (Band 1) — Leipzig, 1843

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https://doi.org/10.11588/diglit.17156#0588
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53-t

System der Hieroglyphik

Bezug auf Aegypten eine gar bedeutende Veränderung erleiden lässt. Nämlich der Leide-

bornee. Cette classe, c'est-ä-dire, la partie qni en existe ä Leide, (et Ia seule partie sur laquclle je puisse maintenant
douuer des details), cousisle en im seul papyrus. C'est le iVo. 72. dont j'ai deja fait nienlion, parceqn'il coutient au recto
la quittanee delivree par Ptolemee a Demetrius pour les arrerages de Ia 18e et de Ia lOe annee. (Zum Versländniss diene
Folgeudes: Zwei Hierodulenschwestern des Sarapistempels zu Memphis, Thdyes und Taous, werden bei dem Kg. Piole-
mäos (Philometor I.) im 18t. oder 19t. Iahre seiner Regierung (s. IIeuv. I. I. p. 89.) klagbar gegen den Tempelvorsteher
Psilliaes wegen nicht verabfolgten Einkommens, und zwar durch iliren Curator Ptolemäos, der, weil er gleich den Hiero-
dulen den Tempel nicht verlassen durfte, die Saehe durch seinen Verwandten Demetrios betrieb. Die Originalklage ist in
dem Leiden. Papyr. no, 68. abgefasst und der günstige Bescheid des Königs so -wie einiger hohen Beamten ist ihr beige-
schriebeu. — Allein die Hierodulen bekommen noch nichts. Darum neue Klagen derselben gegen denselben, welche sich
nur als Copie in dem Leiden. Papyr, no. 69. erhallen haben. — Endlich scheinen die Hierodiileu zum Ziele zu gelangen.
Ihr Cnrator Ptolemäos stellt im 20t. Iahre des Ptolem. Philora. I. eine Quittung aus an Demetrios. Leiden. Papyr. no. 72.
Da jedoch diese Quittung wieder in den Sarapistempel zurückkehrt und liier nun auf der Kehrseite als Notizblatt für ge-
wisse Ausgaben und Einnahmen und für Traumerzählungen dient, so ist es höchst wahrscheinlich, dass die Schwestern
nicht das Ganze empfingen, wesslialb denn Demetrios die Quittung gegen eine andere an Ptolemäos zurückstellte. — Neue
Klagen des Ptolemäos, der um die Berichtigung des für das laufende 20s t. fahr gefälligen Einkommens bittet. Leiden. Pa-
pyr. no. 70. (anhängt ein obrigkeitlicher Befehl des Dorion, dem Gesuche zu entsprechen)! Copie davon Leiden. Papyr. no.
69. — Nichts desto weniger giebt ein Paris. Papyr. (s. Heuv. i. p. 103.) eine zweite Klage des Ptolem. an den Kg.
Philometor, Wie denn überhaupt zehn bis zwölf Paris. Papyr. theils Dubletten theils Ergänzungen dieser Documente enthalten).
II est probable qne le papyrus de cette quittanee n'a ete employe a d'autres fins, que posterieurement a la date de la quit-
tanee, parce que les autres notes qui s'y trouvent sont ecrites au hasard et avec negligence, tandis que la quittanee est
tracee d'une nianiere tres-reguliere, et comme si eile avait du servir de piece originale. Celte circonstance donne en meine
tems la date des Premiers songes qui y sont marques, tandis que l'emploi des meines morceaux de papyrus par les per-
sonnages portaut les meines noms et remplissant les meines fouetions que ceux qui figurent dans la quittanee, est uue
preuve convaiueante de l'identite de ces individtis.' Le verso du papyrus contient non-seulement des songes, mais eueore
des etats de recettes et de depenses {troisieme classe de nos series), et on y trouve les noms de Ptole'me'e, et de Tages
avec Taous, les jumelles. On peut considerer comme constant que Tages, nom que I'une des didymes porte dans cette
piece, est le meme que Thayes, ainsi qu'elle est appelee dans les petitious. Kien n'est plus frequent que de pareilles va-
riations dans les noms propres egyptiens. On lit d'abord au recto du papyrus, sous la quittanee, les mots: ÜToXtfiaio) ro>
aäe).<p<ii, yaiQciv, Ceci ne peut etre autre chose que le commencement d'une lettre adressee par notre Ptolemee ä son fröre
aine qui portait le meme nom, et qui etait, comme Inf, er xaroxy dans le temple de Sarapis. Ce personnage ue m'est connu
ri'ailleurs que par un fragmeut de Petition ajoute apres coup sur le papyrus de Paris, cote: petitious des didymes: D. En-
suite on lit au bas de cette meme page du papyrus, en fietits caracteres: a eidov negei t>/? . . • (ou xrpi • . . ) evvnvia,
peut-etre neqi rijq Taytjroq. Ces souges se trouvent au verso: ils sont ecrits, comme tonte Ia partie des etats de recettes
et de depenses, que Ton rencontre sur la meme feuille, dans une direction contraire ä celle de l'ecriture du recto, c'est-
a-dire dans la direction de Ia bauteur, et non de la largeur du papyrus. Presque tous les articles diflerent pour l'ecriture
et Ia couleur de l'encre, ce qui atteste, si non qu'ils sont 1'ouvrage de plusieurs ecrivains, du moins qu'ils ont ete ecrits
i'i des epoques difterentes. — II est probable que ces songes commencent dans la 20e annee, qiii est celle de la quittanee.
Iis sont au nombre de six; plusieurs ne sont pas acheves. Le quatrieme, qui n'est qu'un fragmeut, cousisle dans le recit
d'un ealcul fait en reve, commencant par: „au premier mois de Pan 20, jusqu'au 20e de . . ]e reste man que. Le 5e
songe est de l'an 23, dont il porte la date expresse. Ce qu'il y a de singulier, c'est quo tous les songes sont dates du

niois Packon, mais les uombres indiquaut le quantieme jour ne se suivent pas regulierement.---L'uu de ceux que rap-

pnrte notre papyrus on question a ele obtenu aelijreirjoiq (sie) na/mv xe: lors de la fete de la lune, le 25e Pachon. Au
reste ces re'cits sont tons de Ptolemee parlant a la premiere personne: le commencement seul est un songe de Tages,
I'une des jumelles, raconte ä Ia 3e personue, et tous sont relatifs a Tages elle-nieme, ou ä sa soeur Taous. — Sur la
meme feuille de papyrus NO. 72. et ä cote de ces songes est ecrit un etat de recettes et de depenses (Man lese die nähere
Beschreibung dieser Ein- und Ausgaberegfster bei IIeuv. 1. I. p. 106. Sie tragen iür den Papyr. no. 72. das Dat. l'an 22.)
le croirais (sagt dann lt. P- WO assez volontier«, qu'il s'agit ici de fonds appartenanS au temple et de depenses faits au
woyen de ces fonds taut pour les divers desservans que pour le service maleriel du temple; mais qne ces j-egistres sont
tenus par Ptole'me'e, vu l'analogie de ces 110<es avec Celles relatives aux songes, lesquelles sont evidemment de lui. Plu-
sieurs colonnes commencent par les mots rotv StSvitotv i.oyoq, une autre par: Anol/Mnov Xnyoq tmv avrov yalvMV, uue troi-
sieme, qui commence aussi par AnoXXmyiov Xoyoq, se termine par ces mots: reXoq aryXo/tarow (sie) navimv avrov xai m/o-

viov (sie).--On me£ en ligne de eomte rti^v o&ovwv, — — . Quant aux chalques de quatre drachmes, je les trouve

dans un passage des souges de N°. 72.) que je transcris en entier, parce qu'il donne, en meine tems, uue idee de ces
notes: UToltfmiov tvvnvuov' naymv it' Ttaqearijaav not. övo avOQomoi Uyovreq 7TQ0q tft$' Hroktfiatoq, >-aße rovq ya).xovq roV
atfiaroq' aQei&fiovnei /l0i |- p,' Xai TayijTei rr; Sv$iii>i yalxovq OTaTijqeiijovq fiaqnatTtiov nXTiQijq' Xeyovoei avTy eidov rovq xa^'
xovq tov aifiatoq. E).tyOV avroiq nX^Mv fiov eyei yaXxovq. On a conserve ici I'orthographe vicieuse du texte. EI pour l
y figure presque constamment: arat>jqiii]ovq correspond avec la mauiere d'orthographier oeX?jrciTiovq (v. oben).
 
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