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https://doi.org/10.11588/diglit.1304#0157
PEINTURE.
TABLE DES PLANCHES,
CONTENANT
L'INDICATION SOMMAIRE DES MOMIMENS QU'ELLES PRÉSENTENT,
Et QUELQUES NOTICES QUI NE POUVAIENT ENTRER DANS LE COUPS DE L'OUVRAGE.
PREMIÈRE PARTIE.
DECADENCE DE LA PEINTURE, DEPUIS LE II' JUSQU'AU XIV SIECLE.
PEINTURE A FRESQUE.
PLANCHE I.
Choix de quelques unes des meilleures peintures antiques
qui soient parvenues jusqu'à nous.
i. v._-ASSA_\nnF prédisant les uni I Leurs de Truie, en présence d'iléenbc qui est .issise, de deux de ses I il les,
et de son frère Ilelenus ; peinture d'un vase trouvé dans une ïsle de l'Archipel ( Collection des f oses
étrusques »ln chevalier Hamilton; LVapIes, 1766, tom. 1, pi. 71, et 10m. II, pag. iQ\ ). L'auteur observe
que Wînckelmann croyaii \ reconnaître Hercule près d'Omphale, reine de Lydie.
1. Cérémonie relative au culte mystique de lïacchns, représenté sons la l'orme d'un jeune taureau (Ibtd.,
loin. II, N* '{7. et 11 un. III , pag. i3l-l3a ). Passeri, qui donne aussi celle peinture, est d'opinion qu'elle
1. jHv-i'ute les inH'e> d'Hereiile et. d'flclu' ■ l'ietunv lilruseuiutn in vusculis, tom. 1, pi. vin, pag. ç>).
3. Combat d'un Arimaspe ou Scythe contre deux grillons (f'ases étrusques d'Hamilton, tom. 11, pi. 56, et
tom. IV, pag. 4.3 et 58).
4. Danse de l'Amour et des Grâces. Passeri ne voit dans cette peinture qu'un sacrifice domestique {Pictwœ
Etruscorum, etc., tom. I, pi. lux, pag. 76 ). D'Hancon ille, donl l'opinion nous paraît plus ingénieuse
et mieux l'ondée, y reconnaît l'union de l'Amour et des Grâce- ( / uses e/rusques d'Hamilton, tom. I\ ,
pi. Si, pag. 57).
:".. Danseuse exécutant une danse mystérieuse (//»/</., tom. I, pi. 117, et tom. 11, pag. 166).
(i. Peinture antique à fresque, vulgairenieni appelée la notX ItdidiraniUne, et représentant . suivant V\ inekel-
liiann, les noees de IliétU et de l'élée : elle a été déi uu\ crie sous le pontificat de Clément Vlll, près
l'are de Gai lien à S1* Marie majeure, cl dans le voisinage des thermes deTilc ( Monument i mitu/ii mediti,
part. I, cap. 19, pag. 60 ).
7. Tète du jeune époux couronné de [ïampn s, que l'on voit assis au pied du lit nuptial, dans la ROCS .lldo-
hrundine ; e.dquée sur L'original.
5. Tête, calquée sur l'original, de l'épouse de la noce Aldobrandinc.
9. Oresic reconnu par sa sœur [phigénie ( l'ittuie d'Ercolanoi Napotf, 1757, tom. I. pi. xi, pag. 55).
TABLE DES PLANCHES,
CONTENANT
L'INDICATION SOMMAIRE DES MOMIMENS QU'ELLES PRÉSENTENT,
Et QUELQUES NOTICES QUI NE POUVAIENT ENTRER DANS LE COUPS DE L'OUVRAGE.
PREMIÈRE PARTIE.
DECADENCE DE LA PEINTURE, DEPUIS LE II' JUSQU'AU XIV SIECLE.
PEINTURE A FRESQUE.
PLANCHE I.
Choix de quelques unes des meilleures peintures antiques
qui soient parvenues jusqu'à nous.
i. v._-ASSA_\nnF prédisant les uni I Leurs de Truie, en présence d'iléenbc qui est .issise, de deux de ses I il les,
et de son frère Ilelenus ; peinture d'un vase trouvé dans une ïsle de l'Archipel ( Collection des f oses
étrusques »ln chevalier Hamilton; LVapIes, 1766, tom. 1, pi. 71, et 10m. II, pag. iQ\ ). L'auteur observe
que Wînckelmann croyaii \ reconnaître Hercule près d'Omphale, reine de Lydie.
1. Cérémonie relative au culte mystique de lïacchns, représenté sons la l'orme d'un jeune taureau (Ibtd.,
loin. II, N* '{7. et 11 un. III , pag. i3l-l3a ). Passeri, qui donne aussi celle peinture, est d'opinion qu'elle
1. jHv-i'ute les inH'e> d'Hereiile et. d'flclu' ■ l'ietunv lilruseuiutn in vusculis, tom. 1, pi. vin, pag. ç>).
3. Combat d'un Arimaspe ou Scythe contre deux grillons (f'ases étrusques d'Hamilton, tom. 11, pi. 56, et
tom. IV, pag. 4.3 et 58).
4. Danse de l'Amour et des Grâces. Passeri ne voit dans cette peinture qu'un sacrifice domestique {Pictwœ
Etruscorum, etc., tom. I, pi. lux, pag. 76 ). D'Hancon ille, donl l'opinion nous paraît plus ingénieuse
et mieux l'ondée, y reconnaît l'union de l'Amour et des Grâce- ( / uses e/rusques d'Hamilton, tom. I\ ,
pi. Si, pag. 57).
:".. Danseuse exécutant une danse mystérieuse (//»/</., tom. I, pi. 117, et tom. 11, pag. 166).
(i. Peinture antique à fresque, vulgairenieni appelée la notX ItdidiraniUne, et représentant . suivant V\ inekel-
liiann, les noees de IliétU et de l'élée : elle a été déi uu\ crie sous le pontificat de Clément Vlll, près
l'are de Gai lien à S1* Marie majeure, cl dans le voisinage des thermes deTilc ( Monument i mitu/ii mediti,
part. I, cap. 19, pag. 60 ).
7. Tète du jeune époux couronné de [ïampn s, que l'on voit assis au pied du lit nuptial, dans la ROCS .lldo-
hrundine ; e.dquée sur L'original.
5. Tête, calquée sur l'original, de l'épouse de la noce Aldobrandinc.
9. Oresic reconnu par sa sœur [phigénie ( l'ittuie d'Ercolanoi Napotf, 1757, tom. I. pi. xi, pag. 55).