4
LE SIFFLET
r-imunnn m iiimwim in muni—11—1111 pin
JE SUIS LE PERRUQUIER!
La scène se passe dans une auberge de province où
descendent forcément les voyageurs qui ne peuvent pas
poursuivre leur route le jour même.
Un monsieur arrive dans la salle aussi unique que
principale de l’auberge, remet ses bagages à la servante
et se fait indiquer sa chambre, qui donne sur la dite
salle.
— Ma fille, dit-il à haute voix, demain, à six heures
du matin, vous m’enverrez le perruquier.
— Oui, monsieur.
Sur ce, le voyageur, épuisé de fatigue, se hâte de s’en-
fermer pour se livrer aux douceurs du sommeil.
Tandis que Morphée lui versait complaisamment ses
pavots, une demi-douzaine de loustics de la localité
jouaient avec des cartes crasseuses une bouteille du crû
au piquet.
L’un d’eux eut une idée.
— Thibaut, dit-il au patron, nous ne nous couche-
rons pas cette nuit. Tu fermeras tes volets et nous joue-
rons jusqu’à l’aube. J’ai soif.
— Parfait ! dit Thibaut, qui ne demandait qu’à écou-
ler son liquide.
— Yous autres, dit le loustic, appelé Michonnet, vous
allez rire !
— Ça va! s’écrièrent-ils.
On joua ainsi sans le moindre incident jusqu’à deux
heures du matin.
Alors, Michonnet quitte sa partie et s’en va frapper à
tour de bras à la porte du voyageur fatigué.
— Qui est là? demande celui-ci, réveillé en sursaut.
— Monsieur, c’est le perruquier.
— Diable ! quelle heure est-il donc ?
— Monsieur, il est deux heures du matin.
— Mais, animal, je ne vous ai demandé que pour six
heures !
— Ah! pardon, on m’avait dit deux heures.
— Six heures.
— C’est bien, monsieur, je reviendrai.
Le dormeur se rendort, et Michonnet revient à sa
partie.
Une heure après :
— A ton tour ! dit Michonnet à Vermichon.
— A mon tour de quoi ?
— De faire ce que j’ai fait.
Et tous d’éclater de rire. Ces farces-là se devinent si
vite !
— Monsieur! dit Vermichon en frappant à la porte,
monsieur !
—- Qui est là ?
— C’est le perruquier.
— Déjà! quelle heure est-il ?
— Trois heures du matin.
— Mais, bourreau, c’est pour six heures que je t’ai
demandé !
— Non, monsieur, trois heures.
swsgîaeaM* ' ■■eagiiii ■■ iiihibo—wiii n limitai ««■■www
*
EN VENTE
— Va-t’en au diable ! je n’ouvrirai qu’à six heures.
A quatre heures, ce fut le tour de Painfumé.
Le voyageur se mit dans une colère bleue.
A cinq heures, Sacalard recommença la même comé-
die.
Cette fois, le voyageur faillit lui faire un mauvais
parti.
— C’est bon, c’est bon! dit tout bas Michonnet; nous
allons rire.
Et il s’en alla trouver le véritable perruquier delà
commune, qui commençait à ouvrir ses volets. On se
lève de bonne heure en province.
— Mon ami, lui dit-il, il y a dans l’auberge du père
Thibaut un riche voyageur qui vous attend à six heures
précises. Il m’a chargé de vous remettre ces cinq francs
comme pourboire anticipé.
— Cinq francs ! se dit le barbier, il me donnera au
moins vingt francs pour la barbe !
A l’heure fixée, il accourt et frappe.
— Qui est là?
— Monsieur, c’est le perruquier.
— Ah ! c’est le perruquier ?... Attends !
Il se fit une pause, pendant laquelle les compères, ca-
chés dans un coin, épiaient ce qui allait se passer.
Le voyageur prenait simplement le temps de passer un
pantalon.
Dès que cette opération fut faite, il ouvrit la porte et
tomba sur le coiffeur à coups de tire-botte.
Le malheureux poussait des cris de paon.
Plus il criait, plus l’autre frappait.
Et, aussi, plus les compères riaient à gorge déployée.
Oh! les provinciaux! Sont-ils forts quand ils s’y
mettent !
Louis Gille.
THÉÂTRES
VAUDEVILLE
MM. Albert Millaud et Gaston Jollivet, les auteurs
de Plutus, ont dérangé Aristophane assez agréable-
ment.
Leurs rimes et leurs vers dépassent la licence, je le
constate; —mais qu’importe ? la pièce estgaie, ^musante
et spirituelle.
Si M. Leconte de l’Isle avait traité ses jEry unies
d’une façon aussi plaisante, la vieille tragédie de So-
phocle aurait eu ses cent représentations assurées à
l’Odéon.
La reprise au même théâtre de la charmante comédie
de Lambert Thiboust et Théodore Barrière : aux Cro-
chets d'un gendre y a obtenu un succès fou.
Les débuts de Massin et son Train dans cette pièce ont
été très heureux.
un»
4
CHATELET
La reprise de Cartouche remplira encore la caisse
de l’heureux théâtre du Châtelet.
Cet excellent drame est monté avec un très grand
luxe de décors et de mise en scène.
Dumaine a été splendide dans le légendaire brigand.
Paul Deshayes s’est montré, comme toujours, excel-
lent comédien.
cluny
Quatre pièces nouvelles en une soirée. —Il ne faut pas
croire pour cela que ce soit un stock d'ours que le nou-
veau directeur de Cluny a voulu écouler.
Si toutes ces petites comédies ne sont pas des chefs-
d’œuvre, il y en a une que nous pouvons signaler comme
une perle. Elle est intulée : Du pain y s'il vous plaît y et a
pour auteurs MM. Oswald et Charles Dumay.
Ce bijou était digne du Théâtre-Français.
TERTULIA
A ta barbe ! à la barbe ! excentricité de notre ami
le marquis Le Guillois et Maxime (pas du Tinta-
marre), a obtenu un succès pyramidal...
Cette folie, d’une gaîté incomparable, est jouée ou plu-
tôt brûlée parles amusants artistes de ce théâtre.
Michel Anezo.
COPIES DRAMATIQUES
LEDUC
4, rue de l'Echiquier.
Copie jour et nuit.
NAPOLÉON Ier
Histoire tamtamarresque du grand homme
par
Amable Bapaume
Précédée d’une préface par Commerson.
Illustrations par Paul Bernay,
En vente chez tous les libraires, à partir du 19 mars.
10 centimes la livraison.
NOUVELLE LOI SUR LE JURY
ÎO centimes
EN VENTE CHEZ ALCAN-LÉVY
61, rue de Lafayette
Le gérant : Le Guillois.
Paris. — Typ. Alcan-Léxy, rue Lafayette, 61
RUE ROCHECHOUART
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De toutes les DÉPÊCHES OFFICIELLES reçues et envoyées pendant la GUERRE de 1870-71
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ments les plus rebelles (garantie) ,
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ARNICA DES VOSGES
De VIOEtAND, pharmacien.
Préparé avec la plante fraîche fleurie, c’est
le meilleure vulnéraire dans les coups, con-
tusions, blessures, morsures, brûlures, chu-
tes, et pour les personnes ayant éprouvé
une vive émotion. — Dans ce dernier cas
mettre 20 gouttes dans un verre d’eau et
boire par gorgée. — en flacons de 1, 2
et 3 francs.
Vente en gros : VIOLAND, Grand-Montrouge
(Paris).
dépôt dans toutes les pharmacies.
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De ’VIOIiAUD, pharmacien.
En ajoutant le contenu du flacon à un litre
d’aleool bon goût, on obtient une Eau de
mélisse supérieure à celle dite des Carmes.
LE FLACON : 5 FRANCS.
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THÉ PURGATIF RAFRAICHISSANT
De VIOLANtt, pharmacien
Ce Thé, composé de végétaux de première
fraîcheur, purge doucement et sans coliques.
la boite, avec prospectus, 1 fr. *0.
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Guérison rapide, traitement très doux et peu coû-
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