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https://doi.org/10.11588/diglit.8638#0158
4
LE SIFFLET
E35BZaawa«ffiffi»SEBBgtL«fl«NNro ' M IHMfHI—MMBBg-3
Avez-vous un enfant difficile à sevrer ? Abonnez-vous au
Pays et placez ce journal sur les seins de la nourrice : l’en-
fant ne voudra plus têter.
*
¥ ¥
Quand votre Dulcinée sera enceinte, si vous voulez qu’elle
accouche d’nn enfant aussi noir que l’ilme d’Hortense, qu’elle
lise du Cochinat; si, au contraire, la pensée criminelle de
l’avortement germe dans votre esprit, faites lire à votre
bonne amie Y Univers, et montrez-lui la photographie de
Louis Veuillot.
★
¥ ¥
Tenez-vous à vous débarrasser de vos ennemis ? Prenez le
Moniteur de VArmée : ce journal donne la nomenclature des
engins les plus meurtriers ; vous n’aurez que l’embarras du
choix.
¥
★ ★
Peut-être êtes-vous sujet à la dyssenterie. Dans ce cas,
achetez Paris-Journal, imprimé sur papier de luxe. (Si ce
journal eût vécu du temps de Gargantua, Rabelais n’aurait
pas eu besoin de tout un chapitre pour raconter les nom-
breuses recherches que fit son héros pour se mettre en
possession du meilleur système de torche...)
¥
★ +
Vouîez-vous vous établir marchand de légumes ! Deman-
dez la Liberté : vous ne manquerez jamais de carottes.
★
, ★ ★
Commettez-vous parfois des exploits cynégétiques? Payez-
vous le Tam-Tam (10 fr. par an) : Les rédacteurs de ce jour-
nal sont de fameux lapins.
*
¥ ¥
Vous savez que les êtres animés sont divisés en trois sexes:
celui des mâles, celui des femelles et celui auquel le journal
des gens bien élevés doit le moins français de ses chroni-
queurs. Si vous aimez ce troisième sexe, abonnez-vous au
Figaro.
¥ ¥
Voulez -vous que votre petite cousine retrouve sa virgi-
nité ? Adressez-vous au Monde, qui vous indiquera le pèleri-
nage où les miracles de cette espèce s’accomplissent.
¥■
¥ *
Aimez-vous les huîtres .? ‘ Humez les articles de l’Union.
^4'*’ ’ • '
¥. ¥
Voulez-vous devenir la proie du délirium tremens, être
aplati par le plus épouvantable des cauchemars ? Abonnez-
vous au Français -fcé journal devient chaque jour de plus
en plus renversant.
¥ *
Par exemple, si vous avez des fonds déposés chez un ban-
quier bonapartiste, vous n’avez qu’à lire la Gazette des
Tribunaux. Comme ça, quand votre dépositaire filera sur
la frontière avec armes et bagages, vous serez informé de
première main. •
* ¥
. ; • ? ,* v. ¥ ★
Quant à votre question sur l’article 47 de la Constitution
de 1830, elle est plus facile à résoudre que la fusion :
L'Article 47, ça se joue tous les soirs à l’Ambigu.
Maintenant, si quelqu’un vous dit qu’il n’y a aucun rapport
entre l’article d’Adolphe Belot et celui de la Constitution de
1830, dites-lui qu’il ment.
.En effet, les pièces de théâtre et les constitutions se res-
semblent en ce sens que, pour les faire sombrer, il suffit
■ d’une bordée de sifflets. '
Je vous fais observer, en terminant, que je pourrais vous
demander un louis pour ma consultation (c’est le prix que
paient les clients du docteur Ricord) ; mais, au Sifflet, nous
sommes au-dessus de pareilles misères, et je ne vous de-
mande pas un centime. Bornez-vous à m’envoyer une mèche
de vos cheveux. Seulement, enveloppez cette mèche dans
un billet de banque. De cette manière, le facteur ne l’éga-
rera pas en route.
Je mets ma main dans la vôtre.
Cléophas.
SIFFLET-FINANCE
Vivienne-House, 15 septembre 1873.
Petit poisson deviendra grand,
Fourvu que Dieu lui prête vie.
Voici ce dont il s’agit :
Les Compagnies nouvelles de chemins de fer, en ajoutant
chaque année un petit tronçon à leurs lignes, menaçaient de
se faire une petite place au soleil, Leurs aînées viennent
de s’apercevoir de la chose. Elles ont surpris l’Orléans-
Rouen, le Nord-Central, le Lille-Valenciennes et| d’autres
au beau milieu de ce travail d’expansion et de raccordement
qui devait assurer l’indépendance d’un nouveau réseau.
Inde iræ.
Voilà qu’aujourd’hui tous les tonnerres sont en mouve-
ment.
Msieu! cette petite me marche sur les pieds. J’ai l’orteil
en marmelade... Msieu! vous ne voyez donc pas, la petite
Chose qui enfile des perles avec ma soie... Les récrimina-
tions n’en finissent plus. Paix ! mes enfants, si cette comédie
ne finit pas bientôt, Sifflet vous donne à copier trois cents
fois le dernier bilan du Crédit rural.
Voyez comme ils sont sages, aux Halles et Marchés de
Naples. Ils avaient fait un pâté sur leur paged’essai. C’était
des larmes, des lamentations. Aujourd’hui, on a tourné le
feuillet gâté et ces petits brouillons s’appliquent si bien
qu’ils vont vous remporter le prix d’écriture.
Savez-vous que la maman leur paie déjà une prime de 7
francs pour leur nouvelle copie.
Par exemple, de vrais diables ce sont les Gaz réunis;
mais ils savent si bien pétrir un dividende!..
Le Foncier suisse vient de se confesser et de recevoir
l’absolution. Demain vous le verrez agenouillé à la Sainte-
Table de l’Epargne.
Les obligations du Foncier russe sont d’honnêtes créatures
que nous recommandons à ceux qui veulent, sur leurs
vieux jours, défricher le potager traditionnel où l’on cul-
tive les choux de l’aisance et de la tranquillité.
Mobilier fait remettre un fond à sa hotte. Les vendanges
turques vont commencer.
Gobseck.
La romance du jour, musique de M. Bcn-Tayoux,
paroles de M. Florian Pharaon, est le grand succès du mo-
ment.
On la chante dans tous les concerts, et on la trouve sur
tous les pianos.
LA MIGNONNE est la meilleure et le meilleur marché
des Machines à coudre à navette, point indécousable, pour
familles, lingères, couturières, prix 150 fr. — Machine
à main, silencieuse, garantie 2 ans, 50 fr. — ESCANDE, 3,
rue Greneta, PARIS. — Dépôt central des Machines BRAD-
BURY et Ce. Envoi prospectus. Demande Agents.
THÉÂTRES
CLUNY
Le Roman d'un père, de M. Léopold ou Bernard Sta-
pleaux, j’hésite, je fais comme l’affiche ; enfin le Roman
d'un père a été très bien accueilli par le public de Cluny.
Cette comédie n’est pas d’une gaieté folle, mais elle est
proprement écrite, et malgré la ressemblance qu’elle peut
avoir avec Térésa d’Alexandre Dumas, son succès n’a pas
été contesté.
Ariste est un charmant comédien, qui reprendra bientôt
le chemin de la Comédie-Française.
Mademoiselle Reynard pourrait être la plus délicieuse
ingénue en perfectionnant sa diction.
MENUS-PLAISIRS.
J’ai oublié de vous dire, dans mon dernier numéro, que
j’ai assisté... sans invitation naturellement, à la répétitios
générale de Y Eléphant blanc.
Ah ! je m’y suis bien amusé — ce n’était pas absolument
une répétition générale — c’était une représentation gra-
tuite que le nouveau directeur des Menus-Plaisirs offrait à
tous ses confrères les marchands de lorgnettes de Paris.
Jamais je n’ai vu de types plus curieux...
— J’ai vendu six jumelles aujourd’hui, disait l’un. Moi
j’ai fait une facture de deux longues-vues et d’une douzaine
de stéréoscopes.
— Croyez-vous que M. Merklein a fait une bonne affaire en
prenant les Menus-Plaisirs?
— Vous verrez qu’il regrettera le commerce des lor-
gnettes.
— Mais il peut le continuer en exploitant son théâtre.
— Sans doute, et c’est peut-être pour en louer qu’il a eu
l’idée de se faire directeur.
Pendant toute la répétition générale, c’était ainsi, et
naturellement les braves gens ont fait ce soir-là un succès
immense à l’opérette de MM Frebault, Chabrillat et Grisy.
Michel Anézo.
FOLIES-BERGÈRE
Les Folies-Bergère ont réouvert lundi par un spectacle
éclatant.
Deux ballets nouveaux : Cest la mère Angot et Cigarette-
ballet, nous ont procuré le plaisir de braquer nos jumelles
sur vingt danseuses plus jolies les unes que les autres. Le
eontortionniste Lixtillian est extraordinaire.
Des deux petites opérettes qu’on nous a jouées, c’est as-
surément Bataille de cartes, de M. Buguet, musique de M.
Ménard, qui est la plus originale. — La Carte postale, la
Carte à payer, la Carte à jouer et le Cartel sont très joli-
ment personnifiés.
SALLE SAINT-LAURENT
Ce théâtre ne connaît que le succès.
La composition de son nouveau spectacle est des plus at-
trayantes: les Domestiques, vaudeville, et Garçon de cabi-
net sont deux charmantes pièces, rondement jouées par
MM. Stanislas, Matrot, Ometz, Mmes Alphonsine et Sansse.
Mlle Alphonsine faisait sa rentrée ; elle a été charmante
dans les Domestiques ; charmante encore, autant que gra-
cieuse, dans Garçon de cabinet. N’oublions pas M. Gabriel,
qui s’est révélé presque aussi bon chanteur qu’intelligent
comédien.
Léopold Laurens.
Le gérant : Le Guillois.
Paris. — Typ. Alcan-Lévy, rus Lafayetts, «1
CRÉPIN AÎNÉ
de VIDOUVILLE (Man-
che), demeur. à Paris,
15, boulevard Ornano, vend à crédit par
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joux, Voitures d’enfants et de malades, ensei-
gnant la coupe. Fourneau et Lessiveuse
Michel, 50 p. 100 d’économie. 200 magasins
reçoivent ses bons. Envoi f° la brochure ex-
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cours. Meilleur marché que
tous les autres systèmes;
prenant peu de place, pas
d’installation; arrivant tou-
tes montées, prêtes à fonc-
tionner; brûlant toute espè-
de combustible; conduites
et entretenues par le pre-
mier venu; s’appliquant par
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Tenez-vous à vous débarrasser de vos ennemis ? Prenez le
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engins les plus meurtriers ; vous n’aurez que l’embarras du
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¥
★ ★
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pas eu besoin de tout un chapitre pour raconter les nom-
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★ +
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¥■
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Tribunaux. Comme ça, quand votre dépositaire filera sur
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* ¥
. ; • ? ,* v. ¥ ★
Quant à votre question sur l’article 47 de la Constitution
de 1830, elle est plus facile à résoudre que la fusion :
L'Article 47, ça se joue tous les soirs à l’Ambigu.
Maintenant, si quelqu’un vous dit qu’il n’y a aucun rapport
entre l’article d’Adolphe Belot et celui de la Constitution de
1830, dites-lui qu’il ment.
.En effet, les pièces de théâtre et les constitutions se res-
semblent en ce sens que, pour les faire sombrer, il suffit
■ d’une bordée de sifflets. '
Je vous fais observer, en terminant, que je pourrais vous
demander un louis pour ma consultation (c’est le prix que
paient les clients du docteur Ricord) ; mais, au Sifflet, nous
sommes au-dessus de pareilles misères, et je ne vous de-
mande pas un centime. Bornez-vous à m’envoyer une mèche
de vos cheveux. Seulement, enveloppez cette mèche dans
un billet de banque. De cette manière, le facteur ne l’éga-
rera pas en route.
Je mets ma main dans la vôtre.
Cléophas.
SIFFLET-FINANCE
Vivienne-House, 15 septembre 1873.
Petit poisson deviendra grand,
Fourvu que Dieu lui prête vie.
Voici ce dont il s’agit :
Les Compagnies nouvelles de chemins de fer, en ajoutant
chaque année un petit tronçon à leurs lignes, menaçaient de
se faire une petite place au soleil, Leurs aînées viennent
de s’apercevoir de la chose. Elles ont surpris l’Orléans-
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Voilà qu’aujourd’hui tous les tonnerres sont en mouve-
ment.
Msieu! cette petite me marche sur les pieds. J’ai l’orteil
en marmelade... Msieu! vous ne voyez donc pas, la petite
Chose qui enfile des perles avec ma soie... Les récrimina-
tions n’en finissent plus. Paix ! mes enfants, si cette comédie
ne finit pas bientôt, Sifflet vous donne à copier trois cents
fois le dernier bilan du Crédit rural.
Voyez comme ils sont sages, aux Halles et Marchés de
Naples. Ils avaient fait un pâté sur leur paged’essai. C’était
des larmes, des lamentations. Aujourd’hui, on a tourné le
feuillet gâté et ces petits brouillons s’appliquent si bien
qu’ils vont vous remporter le prix d’écriture.
Savez-vous que la maman leur paie déjà une prime de 7
francs pour leur nouvelle copie.
Par exemple, de vrais diables ce sont les Gaz réunis;
mais ils savent si bien pétrir un dividende!..
Le Foncier suisse vient de se confesser et de recevoir
l’absolution. Demain vous le verrez agenouillé à la Sainte-
Table de l’Epargne.
Les obligations du Foncier russe sont d’honnêtes créatures
que nous recommandons à ceux qui veulent, sur leurs
vieux jours, défricher le potager traditionnel où l’on cul-
tive les choux de l’aisance et de la tranquillité.
Mobilier fait remettre un fond à sa hotte. Les vendanges
turques vont commencer.
Gobseck.
La romance du jour, musique de M. Bcn-Tayoux,
paroles de M. Florian Pharaon, est le grand succès du mo-
ment.
On la chante dans tous les concerts, et on la trouve sur
tous les pianos.
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THÉÂTRES
CLUNY
Le Roman d'un père, de M. Léopold ou Bernard Sta-
pleaux, j’hésite, je fais comme l’affiche ; enfin le Roman
d'un père a été très bien accueilli par le public de Cluny.
Cette comédie n’est pas d’une gaieté folle, mais elle est
proprement écrite, et malgré la ressemblance qu’elle peut
avoir avec Térésa d’Alexandre Dumas, son succès n’a pas
été contesté.
Ariste est un charmant comédien, qui reprendra bientôt
le chemin de la Comédie-Française.
Mademoiselle Reynard pourrait être la plus délicieuse
ingénue en perfectionnant sa diction.
MENUS-PLAISIRS.
J’ai oublié de vous dire, dans mon dernier numéro, que
j’ai assisté... sans invitation naturellement, à la répétitios
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Ah ! je m’y suis bien amusé — ce n’était pas absolument
une répétition générale — c’était une représentation gra-
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Jamais je n’ai vu de types plus curieux...
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— Mais il peut le continuer en exploitant son théâtre.
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ment personnifiés.
SALLE SAINT-LAURENT
Ce théâtre ne connaît que le succès.
La composition de son nouveau spectacle est des plus at-
trayantes: les Domestiques, vaudeville, et Garçon de cabi-
net sont deux charmantes pièces, rondement jouées par
MM. Stanislas, Matrot, Ometz, Mmes Alphonsine et Sansse.
Mlle Alphonsine faisait sa rentrée ; elle a été charmante
dans les Domestiques ; charmante encore, autant que gra-
cieuse, dans Garçon de cabinet. N’oublions pas M. Gabriel,
qui s’est révélé presque aussi bon chanteur qu’intelligent
comédien.
Léopold Laurens.
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MÉDAILLE D’ARGENT
Par la méthode secrète de la famille Gla-
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On a pour 39 Francs
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«>J. HEBHlIN:LACHAPELLEc
|44. aua du rAvaova«-Poiaa(HQuàM. A PARIS
Chaudières
lnexploslbles.
Nette note facile.
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k V^^LE EST SI ACTIVE* „
qu’elle guérit en une moyenne
de six jours les maladies anciennes et récente*,
sans naussées, coliques ni maux d’estomacs; 4et5f.
la boîte. Dépôt général à Paris, 151, r. Montmartre,
CLERET, pharmacien.
MALADIES CONTAGIEUSES
Ecoulenents récents ou invétérées, rétention
d'urines, catarrhes de vessie, sont guéris
par les Dragées Foucher (d’Orléans). La
grande supériorité de cette préparation a été
constatée officiellement à l'hôpital maritime
de Rochefort. (Lettre de M. le ministre de la
marine à M. Foucher.) Boîte de cent dra-
gées, 5 francs ; Gros, 69, rue de Rambuteau,
chez tous les pharmaciens.
GHABLE
MEDECIN SPECIAL
36, rue Vivienne, à Paris
40,000 malades guéris
de Dartres, Boutons,
Virus et XJlcêres, par le
_________________ Sirop Dépuratif du Dr
Chable, ses Bains minéraux, et PommaM
Anti-Dartreuse.
DEPURATIF
du SANG
Le Sirop au CitraU
de Fer de Chablk gué-
rit immédiatement Sé-
_________ crétions, et relâche-
ment du canal, ainsi que les affections blan-
ches, Demander la notice du traitement. En*
voi franco. Consultations par lettres.
PLUS DE
CO PA H U