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https://doi.org/10.11588/diglit.8638#0178
4
LE SIFFLET
Montholon, un dîner de trois cents couverts auquel sera
conviée la France entière.
Ceux qui, faute d’arriver assez tôt, ne pourront y
trouver une place, pourront aller dîner dans le quartier,
s’ils ont vingt-cinq sous dans leur poche. 11 y a beaucoup
de Bouillons dans les environs.
Après le dîner, il y aura grand bal dans les bureaux
du Sifflet.
Ils sont assez spacieux pour que six personnes puis-
sent y exécuter le quadrille de la Monarchie et la valse
du Trône.
Pendant ce temps, Sa Majesté se procurera une
agréable digestion en fumant une pipe avec Las souche,
tandis qn’Anézo enlacera, dans un coin, la taille de la
reine.
Au dehors, la foule attendra inutilement que S. M.
Kildèric IV lui fasse distribuer des pièces de vingt
francs comme don de joyeux avènement.
En revanche, elle recevra des billets pour l’Ambigu
et des pétards d^ns les jambes.
Les dits pétards concorderont, du reste, avec la diges-
tion du roi et le feu d’artifice qui sera tiré non au pied
du Trocadéro comme cela s’est fait jusqu’ici, mais
dans la plaine Saint-Denis, afin que les arbres des
Champs-Elysées ne le cachent pas au concierge de
V Obélisque,
Le bouquet représentera S. M. Kildèric IV une
coupe à la main et dansant le cancan de la Monar-
chie.
Au-dessus de sa tête brillera en lettres de feu cette
phrase toute de circonstance :
Nunc est bibendum, nunc pede libero pulsanda
tellus.
Cette invitation à la bouteille et à la gaieté sera le
dernier mot du feu d’artifice.
La foule se répandra chez les marchands de vin.
Les concierges ayant tous ce soir-là la permission de
la nuit, ceux qui n’auront pas le sou pour boire et qui
n’auront pas envie de danser se coucheront sur les trot-
toirs.
Si le sommeil est long à venir, Albert Millaud leur
récitera des vers qu’il a composés pour la circonstance.
Arrivé à ce point de mon discours, je supposai que c’en
était assez pour une fois.
Je donnai à mon vélocipède une suite de vigoureux
coups de jarret et me dérobai rapidement aux démonstra-
tions enthousiastes des masses.
Un quart d’heure après je sonnais rue Rochechouart.
Comme toujours. Lassouche vint m’ouvrir.
La répétition n’était pas terminée.
On était arrivé au moment où le roi distribue les
décorations.
Je reçus la mienne.
Firmin Berdoulet.
SIFFLET-FINANCE
Vivienne-House, 20 octobre 1873.
Pendant que les Espagnols s’amusent à causer de cara-
bine, nos boursiers se prennent au collet. On tripote les
primes à des cours fantastiques et on parie pour l’ar-
BmgBBB35gm^Efrei»tiiMitastB8gmmammmK!aKBBsaaBg»g8a8aaBmni«aagaBM
rivée de Kildèric 1Y fin prochain. Le Parricide est of-
fert, le 3 OjO demandé, Marie Tudor reste ferme, l’em-
prunt est à 94 et l’on ne trouve toujours pas des billets
pour la Mère Angot.
Le Foncier d’Autriche dégringole sans désemparer;
la fameuse réserve n’existe plus ou plutôt se trouve con-
vertie en actions des domaines de Montrichio qui, lui
aussi, du reste, a cessé d’exister.
Les capitalistes se disputent les actions et les obligations
des gaz réunis, ainsi que les bons des marchés de
Naples.
Ils ont joliment raison, les capitalistes! Les obligations
de l’Angevine en voient de dures; c’est aussi gênant dans
un portefeuille que dans la gorge, l’Angevine.
Bref, la situation du marché est favorable ; il n’en est
pas de même de notre situation financière. Pas d’émis-
sions à court délai depuis le four colossal de l'Ottoman.
Le pauvre baron est inconsolable ; il expie les bêtises
des distributeurs de publicité qui ne sont pas du bois
dont on fait les flûtes, mais du bois dont on fait les mau-
vais fagots. Enfin tout n’est pas Dréolle pour le Crédit
Mobilier et il n’y a guère que ce bon Girardin, — heu-
reux au jeu, — qui soit satisfait.
On dit qu’il se forme une société d’assurances : l’Acci-
dent. Les actionnaires du Crédit Mobilier et les voya-
geurs du’P. L. M. en auront bientôt mangé le capital.
La Territoriale a le ver solitaire. Du-Ver-Nois absorbe
tout. La Société sera bientôt rasée... Nous ne terminons
pas.
Gobsec.
FPLIES-MONTHOLON
La réouverture de ce joli théâtre, remis complètement
à neuf, a obtenu un immense succès.
M. Durécu n’a rien négligé non plus pour faire réus-
sir son entreprise...
Il a su composer avec intelligence une troupe parfaite
de jolies femmes et d’excellents comiques.
Le grand succès de la réouverture a été pour le pres-
tidigitateur Cordelier... qui a étonné tout le monde par
ses tours merveilleux.
Les Folies-Montholon auront la vogue des Folies-Ber-
gère.
Le Prologue, de MM. Hermil et Moniot, est plein de
désinvolture et d’esprit.
La dernière pièce : Du bruit dans Landernau, est
un grand succès pour Guyot, Mlle Rose Mignon et M.
Bellot. Qn a nommé, avec acclamation, l’auteur : Bou-
quin de Lassouche.
Bouquin, je sais qu’il en achète beaucoup.
13e, c’est à crever de rire.
Lassouche, c’est un joyeux compère !
VIENT DE PARAITRE
chez Heymann, libraire, 16, rue du Croissant,
LË DRAME DË LA RUE DES POISSONNIERS
Compte rendu complet
affaire Castelli
Brochure de 16 pages, 20 centimes, franco 25 centimes.
L’HOM M E-CH I EN
AU TIVOLI-WAUXHALL
Barnum est dépassé : le directeur d’un de nos grands bals
vient de faire une véritable trouvaille.
L’homme-femme est dans le sixième dessous; nous possé-
dons dans nos murs l’homme-chien, veuf de la femme-
chienne et père de l’enfant petit-chien.
Opinion générale sur ce phénomène : l’homme-chien est
laid, les cheveux qui lui couvrent entièrement la figure
ont un aspect repoussant.
Malgré cela, il obtient un succès colossal.
Mais dans son exhibition, nous ne voyons pas assez de
couleur locale: l’homme»cnien ne sait pas aboyer, il marche
sur ses deux jambes dans un des salons de l’établissement.
Il est habillé de soie ! Allons, monsieur Maugé, de la cou-
leur locale, ou bien votre homme-chien est perdu de répu-
tation.
Tout est curieux dans l’homme-chien jusqu’à son inter-
prète qui est nègre. Une mauvaise langue a fait observer
qu’il n’y avait pas de nègre en Russie.
Détail qui nous a plongé dans la plus grande stupéfac-
tion : l’homme-chien fume dans l’intimité un affreux brûle-
gueule : sept ans de service dans l’armée ne le lui auraient
pasmieux appris.
Il est vrai qu’il ne manque pas de chiens savants. Celui-
ci a poussé avec nous l’intelligence jusqu’à choisir dans un
porte-cigare que nous lui présentions le seul londrès qui
s’y trouvait, en ayant bien soin de laisser les autres qui
étaient de qualité inférieure.
A. Lévv.
La marque minet jeune de reims, qui a obtenu à
l’exposition de Vienne la médaille de mérite, est une
des plus appréciée de toute la Champagne.
Le minet... est le plus délicieux nectar qu’on puisse
sabler...
C’est l’ambroisie de notre temps.
L’histoire d’Alcibiade et de la république athénienne, de-
puis la mort de Périclès jusqu’à l’avénement des trente ty-
rans, par M. Henry Houssage, est un ouvrage extrêmement
intéressant que tous les amateurs de bonne littérature
voudront avoir dans leur bibliothèque.
En vente à la librairie Didier et Ce, 35, quai des Augus-
tins.
PRIME EXTRAORDINAIRE
AUX NOUVEAUX ABONNÉS
Toutes les personnes qui s’abonneront ou se
réabonneront au Sifflet pour un an recevront^
GRATUITEMENT et FRANCO, la COLLECTION COM-
PLÈTE, brochée avec couverture, de la première
année du Sifflet.
Adresser les demandes à l’Administration,
7, rue Rochechouart.
Le gérant : Le Guillois.
Pari*. — Typ. Alcan-Lévy, rue Lafayette, 61
gênêr, Clehet, ph
Londres DCrôt
ST SI ACTIVE
qu’elle guérit en une moyenne
de six jours les maladies anciennes et récentes*
sans naussées, coliques ni maux d’estomacs; 4 et5 f.
la boîte. Dépôt généra.1 à Paris, 151, r. Montmartre,
CLERET, pharmacien.
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Maison fondée en 1830.
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NOUETTE, 24, rue de Bondy.
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AuiMJllJji ris par les Tubes-Levasseur,
3 fr., rue de la Monnaie, 19, Paris.
M fi 9 I Fl S Pi? de la Peau et des voies urinaires.
III £4 LA U IL© Consult. gratuites du D*-. Th.
DUMONT, de 9 à 10 h. matin, r. de Châteaudun,
10 bis et r. Rochechonart, 84, de midi à 8 h.
LA POUDRE DIVINE lement les can-
1©©,©^© Attestations cers, ulcères,
varices ulcérées, teignes, panaries et plaies
de toute nature, 2 fr. 50 la boîte franco.
Seule et unique maison de vente. Magnant-
Bourdel, 9 et 11, rue Ventimille, Paris.
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Vivienne, 47 (Paris).
MIS, 4rne de Rivoli (an cem de la rae Sainl-Beius), PARIS
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Guérit en 3 jours les maladies contagieuses récentes
ou invétérées. 3 fr. le fl.; Pharmacie FOURQUET,
29, rue des Lombards. A la Barbe d’Or. Expédi.
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Par la méthode secrète de la famille Gla-
ser, applicable aux deux sexes. Brochure
explicative contenant des preuves, envoyée
franco sur demande affranchie à M. B. GLA-
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36, rue Vivienne, à Paris
40,000 malades guéris
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Virus et Ulcères, par le
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Chable, ses Bains minéraux, et Pommade
Anti-Dartreuse.
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Le Sirop au Citrate
de Fer de Chable gué-
rit immédiatement Sé-
crétions, et relâche-
ment du canal, ainsi que les affections blan-
ches, Demander la notice du traitement. En-
voi franco. Consultations par lettres.
pnûnill & viril de VIDOUVILLE (Man-
hnm lit iillvïl che), demeur. à Paris,
15, boulevard Ornano, vend à crédit par
abonnements. Machines à coudre, Ménages,
Toilettes, Pianos, Orgues, Horlogerie, Bi-
joux, Voitures d’enfants et de malades, ensei-
gnant la coupe. Fourneau et Lessiveuse
Michel, 50 p. 1®0 d’économie. 200 magasins
reçoivent ses bons. Envoi f° la brochure ex-
plicative pour Paris et environs.
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les, de 1 à 20 chevaux. Supé-
rieures par leur construc-
tion, elles ont seules obtenu
les plus hautes récompenses
dans les expositions et la mé-
daille d’ordans tous les con-
cours. Meilleur marché que
tous les autres systèmes;
prenant peu de place, pas
d'installation; arrivant tou-
tes montées, prêtes à fonc-
tionner; brûlant toute espè-
ce de combustible; conduites
et entretenues par le pre-
mier venu; s’appliquant par
la régularité de leur marche
kkvoi franco du pitos-à toutes les industries, au
pkcti» dûtailuc. commerce et à l'agriculture
Ckaatfires
lnexplOAtblc*.
Nettofepe facile.
"I. lERiUlVlV-LACHAPXbiiE»
144, um DB rAUBOUM-POIâSORMiWI • A tAMJi
LE SIFFLET
Montholon, un dîner de trois cents couverts auquel sera
conviée la France entière.
Ceux qui, faute d’arriver assez tôt, ne pourront y
trouver une place, pourront aller dîner dans le quartier,
s’ils ont vingt-cinq sous dans leur poche. 11 y a beaucoup
de Bouillons dans les environs.
Après le dîner, il y aura grand bal dans les bureaux
du Sifflet.
Ils sont assez spacieux pour que six personnes puis-
sent y exécuter le quadrille de la Monarchie et la valse
du Trône.
Pendant ce temps, Sa Majesté se procurera une
agréable digestion en fumant une pipe avec Las souche,
tandis qn’Anézo enlacera, dans un coin, la taille de la
reine.
Au dehors, la foule attendra inutilement que S. M.
Kildèric IV lui fasse distribuer des pièces de vingt
francs comme don de joyeux avènement.
En revanche, elle recevra des billets pour l’Ambigu
et des pétards d^ns les jambes.
Les dits pétards concorderont, du reste, avec la diges-
tion du roi et le feu d’artifice qui sera tiré non au pied
du Trocadéro comme cela s’est fait jusqu’ici, mais
dans la plaine Saint-Denis, afin que les arbres des
Champs-Elysées ne le cachent pas au concierge de
V Obélisque,
Le bouquet représentera S. M. Kildèric IV une
coupe à la main et dansant le cancan de la Monar-
chie.
Au-dessus de sa tête brillera en lettres de feu cette
phrase toute de circonstance :
Nunc est bibendum, nunc pede libero pulsanda
tellus.
Cette invitation à la bouteille et à la gaieté sera le
dernier mot du feu d’artifice.
La foule se répandra chez les marchands de vin.
Les concierges ayant tous ce soir-là la permission de
la nuit, ceux qui n’auront pas le sou pour boire et qui
n’auront pas envie de danser se coucheront sur les trot-
toirs.
Si le sommeil est long à venir, Albert Millaud leur
récitera des vers qu’il a composés pour la circonstance.
Arrivé à ce point de mon discours, je supposai que c’en
était assez pour une fois.
Je donnai à mon vélocipède une suite de vigoureux
coups de jarret et me dérobai rapidement aux démonstra-
tions enthousiastes des masses.
Un quart d’heure après je sonnais rue Rochechouart.
Comme toujours. Lassouche vint m’ouvrir.
La répétition n’était pas terminée.
On était arrivé au moment où le roi distribue les
décorations.
Je reçus la mienne.
Firmin Berdoulet.
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Vivienne-House, 20 octobre 1873.
Pendant que les Espagnols s’amusent à causer de cara-
bine, nos boursiers se prennent au collet. On tripote les
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pour la Mère Angot.
Le Foncier d’Autriche dégringole sans désemparer;
la fameuse réserve n’existe plus ou plutôt se trouve con-
vertie en actions des domaines de Montrichio qui, lui
aussi, du reste, a cessé d’exister.
Les capitalistes se disputent les actions et les obligations
des gaz réunis, ainsi que les bons des marchés de
Naples.
Ils ont joliment raison, les capitalistes! Les obligations
de l’Angevine en voient de dures; c’est aussi gênant dans
un portefeuille que dans la gorge, l’Angevine.
Bref, la situation du marché est favorable ; il n’en est
pas de même de notre situation financière. Pas d’émis-
sions à court délai depuis le four colossal de l'Ottoman.
Le pauvre baron est inconsolable ; il expie les bêtises
des distributeurs de publicité qui ne sont pas du bois
dont on fait les flûtes, mais du bois dont on fait les mau-
vais fagots. Enfin tout n’est pas Dréolle pour le Crédit
Mobilier et il n’y a guère que ce bon Girardin, — heu-
reux au jeu, — qui soit satisfait.
On dit qu’il se forme une société d’assurances : l’Acci-
dent. Les actionnaires du Crédit Mobilier et les voya-
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tout. La Société sera bientôt rasée... Nous ne terminons
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à neuf, a obtenu un immense succès.
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de jolies femmes et d’excellents comiques.
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ses tours merveilleux.
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gère.
Le Prologue, de MM. Hermil et Moniot, est plein de
désinvolture et d’esprit.
La dernière pièce : Du bruit dans Landernau, est
un grand succès pour Guyot, Mlle Rose Mignon et M.
Bellot. Qn a nommé, avec acclamation, l’auteur : Bou-
quin de Lassouche.
Bouquin, je sais qu’il en achète beaucoup.
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ont un aspect repoussant.
Malgré cela, il obtient un succès colossal.
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rans, par M. Henry Houssage, est un ouvrage extrêmement
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DUMONT, de 9 à 10 h. matin, r. de Châteaudun,
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40,000 malades guéris
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Anti-Dartreuse.
DÉPURATIF
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de Fer de Chable gué-
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ment du canal, ainsi que les affections blan-
ches, Demander la notice du traitement. En-
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15, boulevard Ornano, vend à crédit par
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