t U L h H K h A U 1 K 1 G &
1 7 30.
U u E vois-je ! quel objet ! quoi ! ces lèvres charmantes,
Ouoi ! ces yeux d’où partaient ces ssammes éloquentes,
Eprouvent du trépas les livides horreurs !
Mutes , Grâces , Amours , dont elle fut l’image,
O mes dieux et les siens, tecourez votre ouvrage.
Que vois-je! c’en est fait, j-e t’embrasse , et tu meurs!
Tu meurs; on sait déjà cette affreuse nouvelle;
Tous les cœurs sont émus de ma douleur mortelle.
J’entends de tous côtés les beaux arts éperdus ,
S’écrier en pleurant, Melpomène n’est plus.
Que direz-vous, race future,
Lorsque vous apprendrez la ssétriisante injure
Qu'à ces arts dételés font des hommes cruels ?
Ils privent de la tepulture
Celle qui dans la Grèce aurait eu des autels-»
1 7 30.
U u E vois-je ! quel objet ! quoi ! ces lèvres charmantes,
Ouoi ! ces yeux d’où partaient ces ssammes éloquentes,
Eprouvent du trépas les livides horreurs !
Mutes , Grâces , Amours , dont elle fut l’image,
O mes dieux et les siens, tecourez votre ouvrage.
Que vois-je! c’en est fait, j-e t’embrasse , et tu meurs!
Tu meurs; on sait déjà cette affreuse nouvelle;
Tous les cœurs sont émus de ma douleur mortelle.
J’entends de tous côtés les beaux arts éperdus ,
S’écrier en pleurant, Melpomène n’est plus.
Que direz-vous, race future,
Lorsque vous apprendrez la ssétriisante injure
Qu'à ces arts dételés font des hommes cruels ?
Ils privent de la tepulture
Celle qui dans la Grèce aurait eu des autels-»