FRANCESCO GUICCIARDINI. 331
en est devenu la risée. Mais je ne désespère pas non plus de l’avenir. La
léthargie de l’Italie n’est pas l’éternel sommeil de Juliette : et il vien-
dra un jour, j’en ai la ferme conviction, que la belle endormie se lèvera
de la couche sépulcrale où l’a étendue le triple poison de l’envie, de
l’inertie et de l’ignorance.
en est devenu la risée. Mais je ne désespère pas non plus de l’avenir. La
léthargie de l’Italie n’est pas l’éternel sommeil de Juliette : et il vien-
dra un jour, j’en ai la ferme conviction, que la belle endormie se lèvera
de la couche sépulcrale où l’a étendue le triple poison de l’envie, de
l’inertie et de l’ignorance.