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Comb'maifons de marche pour la Cavalerie. 223
Ct^^Ki sans rigueur, mais avec exactitude, &i sur-tout de grade à grade ;
ïïpjjç enfin en accordant aux Troupes, pour leur subsistance, ce qui leur
est essentiellement nécessaire, avec de pareils soins, on fera des
^ nôtres tout ce que l'on voudra, sur-tout si l'œil du Maître, à l'exem-
pie des rayons du Soleil qui vivifient la Nature, se plaît à jetter
sur elles ces regards paternels, que méritent si bien des hommes
ierc garni
■
dcpcnlcc?
qui portent le titre de défenseurs de la Patrie.
^pulado-v1 '
COMBINAISONS DE MARCHE
POUR LA CAVALERIE.
VAN T d'entrer dans les détails du Service de campagne de
la Cavalerie , j'ai une proportion à faire, dont le résultat
peut devenir un jour infiniment intendant pour les Généraux d'ar-
mée , tant parce que leurs combinaisons sur les marches, ou mou-
vements quelconques de corps plus, ou moins considérables de
Cavalerie pourroient porter sur des bases plus solides, que parce
, que l'étude dont il va être question pourroit les mettre à même
de former des entreprises plus hardies év plus sûtes, si une fois la
enS2V0Ï|U Cavalerie étoit familiarisée aux recherches que je vais détailler.
On observera, peut-être, que comme ce que je vais traiter est
encore un objet d'instru&ion pour elle, j'aurois du l'insérer dans la
séconde Partie j mais comme la chose en question a trait aux com-
binaisons du Général d'armée, j'ai pensé qu'elle seroit mieux placée
au commencement de celle qui traite essentiellement de la guerre,
d'autant que rien n'empêche qu'on n'en tranipose les détails dans
une ordonnance, si on le juge à propos : i'essentiel est que le prin-
,,.....< j... cipe soit goûté ; on en fera après l'usage qu'on voudra.
Toutes les opérations de la guerre étant soumises à des calculs,
je ne vois pas pourquoi jusqu'ici on ne s'en: pas plus occupé de
combiner les différentes allures du cheval.
^l ccPenc^ant » Par approximation, l'on pou voit, à quelques mi-
nutes près, s'assurer du temps que pourroit mettre une colonne à
. parcourir un espace déterminé, de même qu'une ligne marchant
en bataille au pas, au trot, ou au galop j il me semble qu'un Géné-
ral pourroit retirer de cette connoissance, ausiî approfondie qu'elle
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Comb'maifons de marche pour la Cavalerie. 223
Ct^^Ki sans rigueur, mais avec exactitude, &i sur-tout de grade à grade ;
ïïpjjç enfin en accordant aux Troupes, pour leur subsistance, ce qui leur
est essentiellement nécessaire, avec de pareils soins, on fera des
^ nôtres tout ce que l'on voudra, sur-tout si l'œil du Maître, à l'exem-
pie des rayons du Soleil qui vivifient la Nature, se plaît à jetter
sur elles ces regards paternels, que méritent si bien des hommes
ierc garni
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qui portent le titre de défenseurs de la Patrie.
^pulado-v1 '
COMBINAISONS DE MARCHE
POUR LA CAVALERIE.
VAN T d'entrer dans les détails du Service de campagne de
la Cavalerie , j'ai une proportion à faire, dont le résultat
peut devenir un jour infiniment intendant pour les Généraux d'ar-
mée , tant parce que leurs combinaisons sur les marches, ou mou-
vements quelconques de corps plus, ou moins considérables de
Cavalerie pourroient porter sur des bases plus solides, que parce
, que l'étude dont il va être question pourroit les mettre à même
de former des entreprises plus hardies év plus sûtes, si une fois la
enS2V0Ï|U Cavalerie étoit familiarisée aux recherches que je vais détailler.
On observera, peut-être, que comme ce que je vais traiter est
encore un objet d'instru&ion pour elle, j'aurois du l'insérer dans la
séconde Partie j mais comme la chose en question a trait aux com-
binaisons du Général d'armée, j'ai pensé qu'elle seroit mieux placée
au commencement de celle qui traite essentiellement de la guerre,
d'autant que rien n'empêche qu'on n'en tranipose les détails dans
une ordonnance, si on le juge à propos : i'essentiel est que le prin-
,,.....< j... cipe soit goûté ; on en fera après l'usage qu'on voudra.
Toutes les opérations de la guerre étant soumises à des calculs,
je ne vois pas pourquoi jusqu'ici on ne s'en: pas plus occupé de
combiner les différentes allures du cheval.
^l ccPenc^ant » Par approximation, l'on pou voit, à quelques mi-
nutes près, s'assurer du temps que pourroit mettre une colonne à
. parcourir un espace déterminé, de même qu'une ligne marchant
en bataille au pas, au trot, ou au galop j il me semble qu'un Géné-
ral pourroit retirer de cette connoissance, ausiî approfondie qu'elle
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