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Arnauld, Antoine; Barcos, Martin de
Instructions Sur la Grace Selon L'Ecriture Et Les Peres — Köln, 1700 [VD17 16:724239V]

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https://doi.org/10.11588/diglit.17596#0065

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SUR LA GRACE. Lvij[a] llloî
lut, ce seroit ruiner toute la arace, comme a autem, lui
' <3 y prxccden™
excellemment remarqué le Pape Boniface te fide cx-
second, 3 Que de ne pets attribuer au don de la
Crace^ celle sans laquelle on ne peut rit n saire volunc gra-
de bon sélon Dieu: tout ce qui ne se sait point^^^'
par la soy étant péché sélon Vuipotre. prosessione
Mais l'Ecriture nous enseigne G. claire- mus^'ïc"
ment que la foy est un don de Dieu, que ""'J
l'Egide n'a pu souffrir ceux qui pour éluder sranaTe-
ces oracles du S. Ésprit, ont voulu seule- wtnfidém
ment donner aux forces naturelles du libre aseribere,
arbitre ces premiers commencemens de l*^mîukii
foy,b afin que toutpussent au moins desirer la vue- est boni,
■ r , , f, , , \ ° a quod se-
njon 5 leur orgueil ayant de la peine a reconnût- Cundum
tre que la soy dépendant toute de Dieu* Dieu la P,eum s""
, 1 „ ' i 3 . hbet valeat
donnât aux uns 5 cependant que les autres qui ne operari; si-
sont pat plus coupables qu'eux, n'ont aucune part ApQbstoius
k ce don, lesquels neantmoms pourvoient eftre àiciz-.Om*
délivrez, de la servitude du péché, aussi bien que "o^e^fi.
les premiers j si ceite volonté de croire, qui a été de > Pe?a-
donnée auxpremiers, quoiqu ilsn enju\\entpM Quod cum
meins indignes queux, leur avait ausft e/eIta,sic' aut
, à> l 5 JJ nullum
donnée. benum
Saint Auguilin a le premier refuté cette Jjjaj^g
heresie par un livre entier , qui a mérité ei sidem
une particulière approbation duPapeHor- ™iiuntur,
aut si quid
' quod bo-
num eft di-
eunt de gratia, ipsa necefîario sides cric gratia deputanda. "Btnisacitis IL
ipist. qçL Cefarium, -
sb^Narailla teftimonia ut est illuj : Sicut ut icuique partitus eft men-
suram fidei & fimilia , ad id volunt valere ( Maffilienfes) ut adju«
ystur qui eœperit velle , non ut etiam donetur ut velit , rejeûis ab
hoc dono aliis partiter reis, & qui poflent similiter libeiari, si ea qujg
pariter indignis prxstatur credendi voluntas etiam ipsis similiter prseii*-
«Mr. Hil/trins in epijl. ad AuguJ},
 
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