?io L'ART.
L'Attaque par te feu d'une maison barricadée et crénelée; — armée de l'Est; Villersexel, le g jan-
vier 1871 (n° 1 $19), est une œuvre d'une extrême animation, moins d'ensemble cependant que Une
Surprise aux environs de Met\; — août 1870 (n° 1^8).
Citons la Fin du combat, décembre 1870 (n° 1841), de M. L. P. Sergent, et un autre épisode du
Siège de Paris (n° 583), par M. Decaen, et arrivons à M. Edouard Détaille, le peintre du Régiment qui
passe;— Paris, décembre 1874 (n° 662), ce régiment qui nous est familier à tous, à qui les gamins font
la conduite lorsqu'il défile le long des boulevards, qui force les uns à tourner la tête pour le saluer
d'un coup d'œil, les autres à s'arrêter instinctivement et, parmi ceux-ci, l'artiste lui-même et son
maître, M. Meissonier, tous deux d'une ressemblance frappante. Le régiment m'a toujours paru
plus varié de types que ne nous le montre M. Détaille à qui j'ai hâte de dire, après cette critique, que
son fond neigeux du boulevard est excellent; impossible d'être plus vrai; c'est d'une observation
étonnamment juste.
Paul Leroi.
(La suite au prochain numéro.)
L'Attaque par te feu d'une maison barricadée et crénelée; — armée de l'Est; Villersexel, le g jan-
vier 1871 (n° 1 $19), est une œuvre d'une extrême animation, moins d'ensemble cependant que Une
Surprise aux environs de Met\; — août 1870 (n° 1^8).
Citons la Fin du combat, décembre 1870 (n° 1841), de M. L. P. Sergent, et un autre épisode du
Siège de Paris (n° 583), par M. Decaen, et arrivons à M. Edouard Détaille, le peintre du Régiment qui
passe;— Paris, décembre 1874 (n° 662), ce régiment qui nous est familier à tous, à qui les gamins font
la conduite lorsqu'il défile le long des boulevards, qui force les uns à tourner la tête pour le saluer
d'un coup d'œil, les autres à s'arrêter instinctivement et, parmi ceux-ci, l'artiste lui-même et son
maître, M. Meissonier, tous deux d'une ressemblance frappante. Le régiment m'a toujours paru
plus varié de types que ne nous le montre M. Détaille à qui j'ai hâte de dire, après cette critique, que
son fond neigeux du boulevard est excellent; impossible d'être plus vrai; c'est d'une observation
étonnamment juste.
Paul Leroi.
(La suite au prochain numéro.)