EIX CENTIMES LE IsT TJ Ivï É R. O
PARIS : 33, avenue de l'Opéra. Paraissant tous les Samedis. BRUXELLES : A. N. Lebêgue et C".
TURIN: Mattirolo Luigi, io, Via Po. Directeur c! Rédacteur en chef : G. DARGENTY NEW-YORK : Brkntano Brothers.
Piris elDep. : Un tu, 5 fr. — Sii mois, 2 fr. 50 ON S'ABONNE SANS FRAIS DANS TOUS LES BUREAUX DE POSTE Union postile : Un id, 8 fr. — Six mois, 4 fr.
en email cloisonné à fond
EXPLICATION DES PLANCHES t clair;.ornen dc/etits desfs
réguliers. Des fleurettes et des
ornements d'un ton plus vif
t i w —t- 1 - ÏBM|Ji|P^5SfeiH'- . . • ■ sont jetés avec un certain
Armure de Nuremberg. \ 1
ordre sur toute la surface, ce
Cette armure appartient * ■■ U { '. ' ,\\ qui donne plus de fermeté à
à VArmoria reale de Turin. Srafï.' 'W&& 1 ensemble.
Nous avons, dans plusieurs La ceinture de bronze qui
de nos précédents numéros, '^^Slj». entoure le brûle-parfums à
donné une description corn- ^y^^O^^lJ f\ l'endroit où repose le cou-
plète et très détaillée des dif- o'' 1 ' vercle est d'un merveilleux
férentes pièces de l'armure. % travail. Le motif décoratif est,
Nous n'y reviendrons pas. - selon l'usage, un dragon qui
Nos lecteurs établiront, sans "' ■;. ; : .v ■ . 1 '■. .;. ' ■ des Ilots,
qu'il soit besoin d'y insister, é * ' -iSpÉl Chacun de ces petits panneaux
entre l'armure que nous don- | ^ xW-^^^%/, cst cisdli avcc un soin 'lui cn
nons aujourd'hui et les pièces ^^^^^^^HvÉMM vc'rit:lb,c 'ovau'
analogues que nous avons , V(!^' %: L° bouton de mtital qui
précédemment reproduites. ^^aËlmŒSSÈ^ififewrH^^^^^^^ surmonte la partie supérieure
une comparaison toute à J^f^?5S|BHHJ»K^ *K' • .• ' • figure également un dragon,
l'avantage de ces dernières. %~\ i^J\h0fMW WÊÊËÊÊÈÈÊÊÈtlÊÊÊËïk- v' L'exécution en est plus par-
faite encore.
Ai. -..■'■4>V^V.;: iM^MhïOP' i ' ' JSIISSÏ 'v. Les trois têtes d'éléphant
Etners a éperons. $OJîCj(X > •*1M wfflHËI fflfe:' ' ■ ,
qui supportent le tout sont
Ces étriers sont en argent V-* , \M - 1 ffifl^^^Ëil~ ' B^-"^.^0^^<^^ traitées sobrement, de façon à
dore. Ils ont appartenu au ■'-■ v,vv: ' "'''y.M^:.^1 ^'^-^^h^^.V-^'wl-" :-.' / ■ " " ' ■'. ; fl| ne pas attirer les regards et
duc Christophe de Bavière et 5??";'/-'; ' ' ,' ,t , ' ', A '' , ,i " '< :' restcr accessoires, malgré
font partie de la collection du >é ' ' 4f^ftH^^MHHHl( -X 'cur grande dimension.
Musée national de Munich. Ils
datent dc la dernière moitié gj| W^tflMBÈKÊÊÊÊÊÊSÈ " Lanterne et Potence,
du xv° siècle. Leur proprié-
taire était un type de valeur ^^^^^^^^^^^B^^^ir^^T'^^'^l^âiS fÊ^^S^iBS^S^'^^^'^' V"' Cette lanterne et cette
presque surnatu- y\' potence sont deux objets vé-
relles. Il a été célébré par tin -/v^M^^^^^^^^^^^^Sy ; /f^^^HBwKfÇ^ nitietis du xv'' siècle. Ils sont
grand ^nombre de^ légendes ^ ^''"^ ' I»^ ' Un 6t !'fUtr6 60 ^' ^orS^et
royal de Munich, un bloc de , ■ ',: 1 ■ ,'' .'' 1 '■t'' 1 quemart, à quelles complica-
marbre pesant environ i 5o lu- „ • ' !JI; ■■ lions ingénieuses parvinrent
los, qui aurait été soulevé et ■ '•^^f^jStSSEnw^.àll^ lcS tr:lv:ul;< du 1er
lancé à quinze pas par cet , , ' , nant quelques-unes des ensei-
Hercule ducal. ^^^^^^f^^^^^^^^^^^^B^^iWrTB^Bft-■•ffël~*'**& ..... .mies qu'on plaçait à la porte
des hôtelleries renommées, ou
Brûle-parfums. ^î^f^SBÊ^KSÊÊÊ mieux encore à la façade des
maisons ou hôtels.^ A cette
puisse voir. _ _ — — '~±— — wWttiiiE'1 ^ ^z—s^^ un autre moyen pour désigner
La partie principale est Armure de Nuremberg. (Armeriez realc de Turin.) la demeure de chacun, et
PARIS : 33, avenue de l'Opéra. Paraissant tous les Samedis. BRUXELLES : A. N. Lebêgue et C".
TURIN: Mattirolo Luigi, io, Via Po. Directeur c! Rédacteur en chef : G. DARGENTY NEW-YORK : Brkntano Brothers.
Piris elDep. : Un tu, 5 fr. — Sii mois, 2 fr. 50 ON S'ABONNE SANS FRAIS DANS TOUS LES BUREAUX DE POSTE Union postile : Un id, 8 fr. — Six mois, 4 fr.
en email cloisonné à fond
EXPLICATION DES PLANCHES t clair;.ornen dc/etits desfs
réguliers. Des fleurettes et des
ornements d'un ton plus vif
t i w —t- 1 - ÏBM|Ji|P^5SfeiH'- . . • ■ sont jetés avec un certain
Armure de Nuremberg. \ 1
ordre sur toute la surface, ce
Cette armure appartient * ■■ U { '. ' ,\\ qui donne plus de fermeté à
à VArmoria reale de Turin. Srafï.' 'W&& 1 ensemble.
Nous avons, dans plusieurs La ceinture de bronze qui
de nos précédents numéros, '^^Slj». entoure le brûle-parfums à
donné une description corn- ^y^^O^^lJ f\ l'endroit où repose le cou-
plète et très détaillée des dif- o'' 1 ' vercle est d'un merveilleux
férentes pièces de l'armure. % travail. Le motif décoratif est,
Nous n'y reviendrons pas. - selon l'usage, un dragon qui
Nos lecteurs établiront, sans "' ■;. ; : .v ■ . 1 '■. .;. ' ■ des Ilots,
qu'il soit besoin d'y insister, é * ' -iSpÉl Chacun de ces petits panneaux
entre l'armure que nous don- | ^ xW-^^^%/, cst cisdli avcc un soin 'lui cn
nons aujourd'hui et les pièces ^^^^^^^HvÉMM vc'rit:lb,c 'ovau'
analogues que nous avons , V(!^' %: L° bouton de mtital qui
précédemment reproduites. ^^aËlmŒSSÈ^ififewrH^^^^^^^ surmonte la partie supérieure
une comparaison toute à J^f^?5S|BHHJ»K^ *K' • .• ' • figure également un dragon,
l'avantage de ces dernières. %~\ i^J\h0fMW WÊÊËÊÊÈÈÊÊÈtlÊÊÊËïk- v' L'exécution en est plus par-
faite encore.
Ai. -..■'■4>V^V.;: iM^MhïOP' i ' ' JSIISSÏ 'v. Les trois têtes d'éléphant
Etners a éperons. $OJîCj(X > •*1M wfflHËI fflfe:' ' ■ ,
qui supportent le tout sont
Ces étriers sont en argent V-* , \M - 1 ffifl^^^Ëil~ ' B^-"^.^0^^<^^ traitées sobrement, de façon à
dore. Ils ont appartenu au ■'-■ v,vv: ' "'''y.M^:.^1 ^'^-^^h^^.V-^'wl-" :-.' / ■ " " ' ■'. ; fl| ne pas attirer les regards et
duc Christophe de Bavière et 5??";'/-'; ' ' ,' ,t , ' ', A '' , ,i " '< :' restcr accessoires, malgré
font partie de la collection du >é ' ' 4f^ftH^^MHHHl( -X 'cur grande dimension.
Musée national de Munich. Ils
datent dc la dernière moitié gj| W^tflMBÈKÊÊÊÊÊÊSÈ " Lanterne et Potence,
du xv° siècle. Leur proprié-
taire était un type de valeur ^^^^^^^^^^^B^^^ir^^T'^^'^l^âiS fÊ^^S^iBS^S^'^^^'^' V"' Cette lanterne et cette
presque surnatu- y\' potence sont deux objets vé-
relles. Il a été célébré par tin -/v^M^^^^^^^^^^^^Sy ; /f^^^HBwKfÇ^ nitietis du xv'' siècle. Ils sont
grand ^nombre de^ légendes ^ ^''"^ ' I»^ ' Un 6t !'fUtr6 60 ^' ^orS^et
royal de Munich, un bloc de , ■ ',: 1 ■ ,'' .'' 1 '■t'' 1 quemart, à quelles complica-
marbre pesant environ i 5o lu- „ • ' !JI; ■■ lions ingénieuses parvinrent
los, qui aurait été soulevé et ■ '•^^f^jStSSEnw^.àll^ lcS tr:lv:ul;< du 1er
lancé à quinze pas par cet , , ' , nant quelques-unes des ensei-
Hercule ducal. ^^^^^^f^^^^^^^^^^^^B^^iWrTB^Bft-■•ffël~*'**& ..... .mies qu'on plaçait à la porte
des hôtelleries renommées, ou
Brûle-parfums. ^î^f^SBÊ^KSÊÊÊ mieux encore à la façade des
maisons ou hôtels.^ A cette
puisse voir. _ _ — — '~±— — wWttiiiE'1 ^ ^z—s^^ un autre moyen pour désigner
La partie principale est Armure de Nuremberg. (Armeriez realc de Turin.) la demeure de chacun, et