LANCKORONA
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żyjących ludzi kulturalnych a zarazem wpływowych, mogących wywrzeć w tym
kierunku presję na powołane do tego ,,czynniki".
RESUME
LE PROBLEME DES RACCORDEMENTS DES MAISONS
A PIGNON
Les petites viłles polonaises, la ou elles ont encore conserve leur caractere
primitif, sont composees de maisons sans etages, generalement en bois, a pignon
sur rue (fig.214—219). Ges maisons aux faęades relativement etroites, sont develop-
pees en profondeur, et separees par des intervalles de 1—1.5 m de largeur, qui
reęoivent l’eau decoulant des toits; ces intervalles assurent en outre Tacces
de l’air et de la lumiere aux pieces interieures, servant generalement des cui-
sines, situćes entre les chambres d’habitation, a mi-chemin entre la rue et la
cour (voir les plans fig. 221).
Au cours des dernieres dizaines d’annees ces maisons tres belles et tres carac-
teristiąues, mais parfois aussi tres delabrees, sont de plus en plus souvent demolies
et remplacees par des maisons neuves d’un type tout a fait different et depourvu
de tout caractere (fig. 220). Les proprietaires tendent a utiliser les intervalles
libres entre les maisons; ils donnent aux toits des pentes vers la rue et vers la
cour, et reduisent la profondeur des maisons de 15—20 (et parfois d’avantage !)
a 10—12 m; ils se dedommagent de la surface batie ainsi reduite en construisant
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żyjących ludzi kulturalnych a zarazem wpływowych, mogących wywrzeć w tym
kierunku presję na powołane do tego ,,czynniki".
RESUME
LE PROBLEME DES RACCORDEMENTS DES MAISONS
A PIGNON
Les petites viłles polonaises, la ou elles ont encore conserve leur caractere
primitif, sont composees de maisons sans etages, generalement en bois, a pignon
sur rue (fig.214—219). Ges maisons aux faęades relativement etroites, sont develop-
pees en profondeur, et separees par des intervalles de 1—1.5 m de largeur, qui
reęoivent l’eau decoulant des toits; ces intervalles assurent en outre Tacces
de l’air et de la lumiere aux pieces interieures, servant generalement des cui-
sines, situćes entre les chambres d’habitation, a mi-chemin entre la rue et la
cour (voir les plans fig. 221).
Au cours des dernieres dizaines d’annees ces maisons tres belles et tres carac-
teristiąues, mais parfois aussi tres delabrees, sont de plus en plus souvent demolies
et remplacees par des maisons neuves d’un type tout a fait different et depourvu
de tout caractere (fig. 220). Les proprietaires tendent a utiliser les intervalles
libres entre les maisons; ils donnent aux toits des pentes vers la rue et vers la
cour, et reduisent la profondeur des maisons de 15—20 (et parfois d’avantage !)
a 10—12 m; ils se dedommagent de la surface batie ainsi reduite en construisant