SÉANCE DU 12 JUILLET 1861.
Présidence de M. PENSA, Vice-Président
Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté.
La correspondance comprend :
Une lettre de M. Habib-Bey, attaché au ministère des affaires
étrangères d'Egypte, qui accompagne une note qui sera lue ci-
après ;
La suite des Annales du commerce extérieur, n" 1328 à 1336.
qui se publient au ministère de l'Agriculture, du Commerce et des
Travaux publics de France. — Remercîments ;
Un numéro du Bulletin de la Société d'acclimatation ;
La Presse scientifique des Deux-Mondes, leJoiwnal de l'Isthme
de Suez, plusieurs numéros du Journal Arabe de Beyrouth, la
Médecine contemporaine, etc., etc.
M. le Secrétaire donne ensuite lecture de la note de M. Habib-Bey,
laquelle est relative à l'état actuel de la race chevaline en Egypte.
L'auteur rappelle la vaillante cavalerie des Mamelouks qui ne se ser-
vaient que de chevaux égyptiens; ceux-ci étaient de taille moyenne
en général, mais il y en avait aussi qui dépassaient la taille des che-
vaux de pure race, et ils étaient surtout bien proportionnés dans leur
stature, d'un naturel ardent, vif et fougueux. Cette race de chevaux
est presque disparue avec leurs maîtres; on en rencontre encore à
peine dans quelques tribus d'Arabes, notamment dans celle des Ha-
Présidence de M. PENSA, Vice-Président
Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté.
La correspondance comprend :
Une lettre de M. Habib-Bey, attaché au ministère des affaires
étrangères d'Egypte, qui accompagne une note qui sera lue ci-
après ;
La suite des Annales du commerce extérieur, n" 1328 à 1336.
qui se publient au ministère de l'Agriculture, du Commerce et des
Travaux publics de France. — Remercîments ;
Un numéro du Bulletin de la Société d'acclimatation ;
La Presse scientifique des Deux-Mondes, leJoiwnal de l'Isthme
de Suez, plusieurs numéros du Journal Arabe de Beyrouth, la
Médecine contemporaine, etc., etc.
M. le Secrétaire donne ensuite lecture de la note de M. Habib-Bey,
laquelle est relative à l'état actuel de la race chevaline en Egypte.
L'auteur rappelle la vaillante cavalerie des Mamelouks qui ne se ser-
vaient que de chevaux égyptiens; ceux-ci étaient de taille moyenne
en général, mais il y en avait aussi qui dépassaient la taille des che-
vaux de pure race, et ils étaient surtout bien proportionnés dans leur
stature, d'un naturel ardent, vif et fougueux. Cette race de chevaux
est presque disparue avec leurs maîtres; on en rencontre encore à
peine dans quelques tribus d'Arabes, notamment dans celle des Ha-