SÉANCE DU 15 NOVEMBRE 1861.
Présidence de M. SIM SCHM1TT SAOIHS.
Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté,
La correspondance manuscrite comprend :
Une lettre de M. Kœnig, Consul général de Prusse, en Egypte,
qui accuse réception de son brevet de membre honoraire de l'Ins-
titut Égyptien ;
Une lettre de notre honorable collègue, M. Figari-Bey, qui nous
annonce qu'il a entrepris des expériences à l'aide du blé de momies,
et qu'il se propose de nous faire part prochainement des résultats
auxquels il a été conduit.
Une lettre de M. le professeur Tischendorf, de Leipzig, qui croit
devoir entretenir l'Institut Égyptien de la notice qu'il a jointe à un
manuscrit Copte sur lequel M. Kabis nous a donné quelques rensei-
gnements, dans la séance du \ 1 janvier dernier, tendant à nous
démontrer que la traduction qu'il en a faite, pour l'usage d'un ami,
n'était pas destinée à la publication, surtout dans la forme qu'elle
est parue, sans explication ni commentaire. Dans cette séance, M.
Kabis a fait observer, dit M. Tischendorf, qu'il ne m'avait pas même
vu.....Cependant, le fait est que le vendeur du manuscrit m'a
cédé la traduction sur laquelle est écrit en toutes lettres : « Mario
Présidence de M. SIM SCHM1TT SAOIHS.
Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté,
La correspondance manuscrite comprend :
Une lettre de M. Kœnig, Consul général de Prusse, en Egypte,
qui accuse réception de son brevet de membre honoraire de l'Ins-
titut Égyptien ;
Une lettre de notre honorable collègue, M. Figari-Bey, qui nous
annonce qu'il a entrepris des expériences à l'aide du blé de momies,
et qu'il se propose de nous faire part prochainement des résultats
auxquels il a été conduit.
Une lettre de M. le professeur Tischendorf, de Leipzig, qui croit
devoir entretenir l'Institut Égyptien de la notice qu'il a jointe à un
manuscrit Copte sur lequel M. Kabis nous a donné quelques rensei-
gnements, dans la séance du \ 1 janvier dernier, tendant à nous
démontrer que la traduction qu'il en a faite, pour l'usage d'un ami,
n'était pas destinée à la publication, surtout dans la forme qu'elle
est parue, sans explication ni commentaire. Dans cette séance, M.
Kabis a fait observer, dit M. Tischendorf, qu'il ne m'avait pas même
vu.....Cependant, le fait est que le vendeur du manuscrit m'a
cédé la traduction sur laquelle est écrit en toutes lettres : « Mario