SÉANCE DU 26 JUILLET 1861.
Présidence de H. DI CHAIUl, Vice-Président.
Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté.
La correspondance comprend :
Une lettre de notre collègue, M. Espinassy-Bey, qui nous informe
qu'il se décide à rester en France, et que, suivant nos statuts, il
demande que son titre de membre résidant soit changé en celui de
membre correspondant de l'Institut Egyptien — Accordé ;
Une lettre de la librairie Didier, de Paris, nous annonçant que
la Direction de la Bévue archéologique ne peut faire d'exception
aux conditions ordinaires d'abonnement à cette publication en faveur
d'aucune société.
M. le Secrétaire fait remarquer, à cette occasion, qu'il n'est pas
question, dans cette lettre, des conditions d'acquisition de la collec-
tion complète de cette publication, quoique cependant la demande
en ait été faite ; il faut croire que la librairie n'en a pas de dispo-
nible. M. le Secrétaire pense, d'ailleurs, qu'avant de faire de sem-
blables achats, il faudrait se procurer les principaux ouvrages des
Arabes, ceux des historiens principalement qui ont été traduits et
publiés par de Sacy, M. J. Reinaud, M. Jomard-Bey, etc.
M. Pereyra croit que ces ouvrages se trouveront parmi les livres
que nous attendons encore du Caire, et qui, par ordre de S. A,
le Vice-Roi, doivent être déposés dans notre Bibliothèque ; il est
s
Présidence de H. DI CHAIUl, Vice-Président.
Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté.
La correspondance comprend :
Une lettre de notre collègue, M. Espinassy-Bey, qui nous informe
qu'il se décide à rester en France, et que, suivant nos statuts, il
demande que son titre de membre résidant soit changé en celui de
membre correspondant de l'Institut Egyptien — Accordé ;
Une lettre de la librairie Didier, de Paris, nous annonçant que
la Direction de la Bévue archéologique ne peut faire d'exception
aux conditions ordinaires d'abonnement à cette publication en faveur
d'aucune société.
M. le Secrétaire fait remarquer, à cette occasion, qu'il n'est pas
question, dans cette lettre, des conditions d'acquisition de la collec-
tion complète de cette publication, quoique cependant la demande
en ait été faite ; il faut croire que la librairie n'en a pas de dispo-
nible. M. le Secrétaire pense, d'ailleurs, qu'avant de faire de sem-
blables achats, il faudrait se procurer les principaux ouvrages des
Arabes, ceux des historiens principalement qui ont été traduits et
publiés par de Sacy, M. J. Reinaud, M. Jomard-Bey, etc.
M. Pereyra croit que ces ouvrages se trouveront parmi les livres
que nous attendons encore du Caire, et qui, par ordre de S. A,
le Vice-Roi, doivent être déposés dans notre Bibliothèque ; il est
s