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7. Józef Simmler, Les adieux de Wacław et Maria, 1847, dessin, Wrocław, Bibliotheąue

de 1'Institut National Ossoliński

avec des femmes dans les róles principaux. Ce sera donc l'emprisonnement de Catherine Ja-
gellon, la reine Jadwiga assurant son innocence, Barbara Radziwiłł mourant ou les femmes
craintives entourant le dauphin Sigismond Augustę. La tendance a eliminer 1'element heroique,
1'absence de jugement morał et la limitation a l'anegdote sensationnelle ou sentimentale sont
justement caracteristiques pour la peinture historiąue franęaise ou la fidelite dans le rendu
du costume historiąue devient plus important que le fait represente21. Ce trait est en opposi-
tion virulente avec la direction d'evolution de la peinture historiąue polonaise qui, dans
l'oeuvre de Matejko, devait atteindre le rang d'un art prophetiąue et d'une conscience de la
nation. Matejko en etant conscient, plein de respect pour Delaroche, ił etait convaincu de la
superiorite de son art base sur ,,1'historiogophie"22. Meme ąuand il „pinęait la corde du senti-
ment familial et patriotique" comme dans la Mori de Barbara Radziwiłł, Simmler etait plus

21. Cf. deraierement sur ce sujet Lacambre, Rieshel, op. cii., p. 246.

22. Les paroles de Matejko en 1888 sont citćes par Porębski, op.cit., p. 138.

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