caractérisés par un rendu calme et conventionnel de motifs pris de Fra Bartolomeo et
d’Albertinelli.
Bibl. : Malarstivo do 1600, n° 119.
K. M.
Giovanni Paolo SPADINO (actif dans la seconde moitié du XVII' et le début
du XVIIIe siècle)
Peintre peu connu de natures mortes, représentant surtout des fleurs. Actif à Florence
puis à Rome.
66. Fleurs fig. 49
Huile sur toile; 66,5x50,5; inv. n° 216 Tc/70
Legs d’Eugenia Maria Kierbedziowa, 1943; entré au Musée, 1970.
Tableau traditionnellement défini comme un ouvrage de Spadino. Néanmoins les rares
ouvrages de ce peintre, surtout Nature morte signeê par artiste dans la Galerie Capitoline
à Rome (G. De Logu, Natura morta italiana, Bergamo, 1962, fig. 55) et d’autres natures
mortes avec fruits des galeries Spada et Pallavicini (<;/’. les catalogues de ces collections par F.
Zeri), ne présentent pas de nettes ressemblances avec notre tableau. En restant pour le mo-
ment, faute de preuves convaincantes, à l’attribution traditionnelle, on pourrait en général
le définir comme un ouvrage de ’Técole romaine du XVIIe siècle”. C’est la définition de
48. Giovanni Antonio Sogliani, Madone à l’Enfant et St Jean Gualbert, cat. n° 65
81
d’Albertinelli.
Bibl. : Malarstivo do 1600, n° 119.
K. M.
Giovanni Paolo SPADINO (actif dans la seconde moitié du XVII' et le début
du XVIIIe siècle)
Peintre peu connu de natures mortes, représentant surtout des fleurs. Actif à Florence
puis à Rome.
66. Fleurs fig. 49
Huile sur toile; 66,5x50,5; inv. n° 216 Tc/70
Legs d’Eugenia Maria Kierbedziowa, 1943; entré au Musée, 1970.
Tableau traditionnellement défini comme un ouvrage de Spadino. Néanmoins les rares
ouvrages de ce peintre, surtout Nature morte signeê par artiste dans la Galerie Capitoline
à Rome (G. De Logu, Natura morta italiana, Bergamo, 1962, fig. 55) et d’autres natures
mortes avec fruits des galeries Spada et Pallavicini (<;/’. les catalogues de ces collections par F.
Zeri), ne présentent pas de nettes ressemblances avec notre tableau. En restant pour le mo-
ment, faute de preuves convaincantes, à l’attribution traditionnelle, on pourrait en général
le définir comme un ouvrage de ’Técole romaine du XVIIe siècle”. C’est la définition de
48. Giovanni Antonio Sogliani, Madone à l’Enfant et St Jean Gualbert, cat. n° 65
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