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Boeswillwald, E.; Cagnat, René; Ballu, Albert
Timgad: une cité africaine sous l'Empire Romain — Paris, 1905

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https://doi.org/10.11588/diglit.16949#0022
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VIII

INTRODUCTION
ITINÉRAIRE D'ANTON^

Tébessa.

Henchir Metkidès.
Ksar-bou-Saïd.
Khenchela.
Henchir Maâmra.
Timgad.
Lambèse.

Des deux tableaux qui précèdent, il résulte, en admettant du
moins les corrections apportées par Tissot, que Thamugadi était
séparée de Lambaese par la distance de 14 milles, ce qui correspond
à la distance de 21 kilomètres qui se compte aujourd'hui entre les
ruines de Lambèse et celles de Timgad, en passant par Henchir
Touchin. Nous donnons à la page suivante un croquis de la région qui
avoisine Timgad d'après la nouvelle carte, encore inédite, de PÉtat-
major ; nous en sommes redevables à la bienveillance de M. le
général Derrécagaix, directeur du service géographique de l'armée.

Ainsi qu'on le voit, et que l'on s'en convaincra mieux encore en
se reportant au plan qui forme la planche I, Timgad avait été
bâti, sur les pentes extrêmes de l'Aurès, dans un renfoncement de
la montagne, que M. Masqueray a fort justement comparé à un
golfe dont le fond regarde le sud, tandis que l'ouverture, tournée au
nord, se prolonge en une large plaine, sillonnée de l'ouest à l'est
par un torrent, l'Oued-Stoutz. Dans sa plus grande dimension, la
ville ne mesure pas plus de 800 mètres en tout sens, si on laisse
de côté la forteresse byzantine, construite sur un mamelon qui
domine la ville et les constructions suburbaines. Au centre, sur un
petit plateau allongé dont la longueur n'atteint pas 400 mètres, sont

THEVESTE

TINFADI

VEGESELA

MASCULA

CLAUDI

TAMUGADI

LAMBAESE

| XXII (corr. XVIII)

XX

XVIII (corr. XXVIII)
XXII

XXII (corr. XIX)
XVIII (corr. XIV)
 
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