ET DES ARTS. Liv. VI.
jamais le gay ‘Printemps à nos yeux ne propofe
L’aiur du Lin fleuri, l’incarnat de la Ppfe ,
Le pourpre rougijjant de ïOeillet a maints plis,
Le fln or de Clitie , &• la neige du Lis ;
Que ton admire en eux le Peintre qui colore
Les champs de plus de teints que lefront de l’Aurore.
Et encore par ceux-cy.
Ces Fleurs ainsi de tous cùjleZ^
jfljms eslallent tant de beaute%
Et de l’Art y O- de la Ufature,
Que l'œil étonne de plaijtr
üfe ss aurait en cette Peinture
Cf y que laijflr, ny que choijtr.
Sls 3
TA-
jamais le gay ‘Printemps à nos yeux ne propofe
L’aiur du Lin fleuri, l’incarnat de la Ppfe ,
Le pourpre rougijjant de ïOeillet a maints plis,
Le fln or de Clitie , &• la neige du Lis ;
Que ton admire en eux le Peintre qui colore
Les champs de plus de teints que lefront de l’Aurore.
Et encore par ceux-cy.
Ces Fleurs ainsi de tous cùjleZ^
jfljms eslallent tant de beaute%
Et de l’Art y O- de la Ufature,
Que l'œil étonne de plaijtr
üfe ss aurait en cette Peinture
Cf y que laijflr, ny que choijtr.
Sls 3
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