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Rosanbo, ...: Notice sur les douze dames de rhétorique
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.33710#0011
NO TIGE
SUR
LES DOUZE DAMES DE RHÉTORIQUE
//74 de /?fû/7o//ièyi7e Aût/io/id/e r/e /A77A3)
L'amour de l'allégorie, représentée par des monuments littéraires ou figurés, est
comme toute passion intrinsèquement individuel. En effet, en tout temps et en tout
lieu, certains esprits imaginatifs ont aimé la parabole, la fable, la fiction, alors que
d'autres plus positifs n'ont compris que les narrations ou figurations de faits réellement
historiques. Toutefois, il faut reconnaître qu'à certaines époques plus particulièrement
a fleuri cet amour de l'allégorie. Le xv° siècle, entre autres, a été favorable à Uépa-
nouissement de cette tendance.
Un exemple frappant peut en être fourni par l'étude du manuscrit des Don^e f/77777^
de 7'Aé/o7dyue.
Florence, Rouen et La Haye possèdent des copies dè cet ouvrage ; mais c'est, sans
conteste, la Bibliothèque nationale à Paris qui, sous le numéro 1174 (anciennement
7392 i), conserve le texte le plus ancien et le plus sûr.
DESCRIPTION MATÉRIELLE.
Ce manuscrit du xv^ siècle, sur vélin, est un petit in-folio, dont les feuillets, au nombre
de 47, mesurent 390 millim. de hauteur sur 220 de largeur. (Justification du texte,
écrit à longues lignes : 186 millim. sur 116). On compte 33 lignes par page. L'écriture
ronde, de forme, est une ancienne bâtarde, sur réglage rouge. Les titres sont aussi à
l'encre rouge.
1. On trouve aussi en haut du 1^* feuillet la cote 1124, qui est certainement encore plus ancienne.
L'impression intégrale de ce manuscrit, avec toutes les miniatures reproduites en gravure au trait, a été
donnée par Louis Bàtissier, ddo/d/erranU* Les dou^e dames de rAé7o/dyue. Moulins, 1838, in-fol. Mais il faut
avouer que le meilleur dessin ne saurait égaler en précision une reproduction photographique.
SUR
LES DOUZE DAMES DE RHÉTORIQUE
//74 de /?fû/7o//ièyi7e Aût/io/id/e r/e /A77A3)
L'amour de l'allégorie, représentée par des monuments littéraires ou figurés, est
comme toute passion intrinsèquement individuel. En effet, en tout temps et en tout
lieu, certains esprits imaginatifs ont aimé la parabole, la fable, la fiction, alors que
d'autres plus positifs n'ont compris que les narrations ou figurations de faits réellement
historiques. Toutefois, il faut reconnaître qu'à certaines époques plus particulièrement
a fleuri cet amour de l'allégorie. Le xv° siècle, entre autres, a été favorable à Uépa-
nouissement de cette tendance.
Un exemple frappant peut en être fourni par l'étude du manuscrit des Don^e f/77777^
de 7'Aé/o7dyue.
Florence, Rouen et La Haye possèdent des copies dè cet ouvrage ; mais c'est, sans
conteste, la Bibliothèque nationale à Paris qui, sous le numéro 1174 (anciennement
7392 i), conserve le texte le plus ancien et le plus sûr.
DESCRIPTION MATÉRIELLE.
Ce manuscrit du xv^ siècle, sur vélin, est un petit in-folio, dont les feuillets, au nombre
de 47, mesurent 390 millim. de hauteur sur 220 de largeur. (Justification du texte,
écrit à longues lignes : 186 millim. sur 116). On compte 33 lignes par page. L'écriture
ronde, de forme, est une ancienne bâtarde, sur réglage rouge. Les titres sont aussi à
l'encre rouge.
1. On trouve aussi en haut du 1^* feuillet la cote 1124, qui est certainement encore plus ancienne.
L'impression intégrale de ce manuscrit, avec toutes les miniatures reproduites en gravure au trait, a été
donnée par Louis Bàtissier, ddo/d/erranU* Les dou^e dames de rAé7o/dyue. Moulins, 1838, in-fol. Mais il faut
avouer que le meilleur dessin ne saurait égaler en précision une reproduction photographique.