202
MÉLANGES D'ARCHÉOLOGIE.
lui-même egalement concluantes. Je m'abstiendrai, comme je lai lait pour le reste, de repro-
duire ses raisonnements ; mais il me semble que je ne puis mieux terminer cette note ,
qu'en empruntant textuellement à ce grand numismatiste les réflexions suivantes, dont la
justesse m'a beaucoup frappé : « At quæ causa, cur Apamenses Phrygiæ, ncque recutiti, neque
" tum adhuc Christiani, peregrinutn et a sacris suis alienum typum arcesserent Aio, nemi-
" nem fore tantum sibi tribuentem, ut quæ privatim civitatibus fuere placita creditaque,
^ speret se causas et originem posse quocumque studio reperire, aut tam morosum, ut factum
quodp:am certum, et monumentorum auctoritate confirmatum credere nolit, propterea,
" quia causas ignorât. » D. N. t. Ht, p. i3y.
Cn. LENORMANT.
MÉLANGES D'ARCHÉOLOGIE.
lui-même egalement concluantes. Je m'abstiendrai, comme je lai lait pour le reste, de repro-
duire ses raisonnements ; mais il me semble que je ne puis mieux terminer cette note ,
qu'en empruntant textuellement à ce grand numismatiste les réflexions suivantes, dont la
justesse m'a beaucoup frappé : « At quæ causa, cur Apamenses Phrygiæ, ncque recutiti, neque
" tum adhuc Christiani, peregrinutn et a sacris suis alienum typum arcesserent Aio, nemi-
" nem fore tantum sibi tribuentem, ut quæ privatim civitatibus fuere placita creditaque,
^ speret se causas et originem posse quocumque studio reperire, aut tam morosum, ut factum
quodp:am certum, et monumentorum auctoritate confirmatum credere nolit, propterea,
" quia causas ignorât. » D. N. t. Ht, p. i3y.
Cn. LENORMANT.