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MÉLANGES D'ARCHÉOLOGIE.
ànourrir lafoi. Ce devient pure affaire de musée historique (qui se parcourra un livretà
la main), plus apte à distraire dans le saint lieu, qu'à porter ies cœurs vers l'éternité.
Ce n'ëtait évidemment pas avec une trentaine de pages que j'auraispu prétendre épuiser
la matière dont les applications pourraient être si vastes. Un gros voiume suftirait à peine
pour donner une idée lar^e des modihcations qu'a srdDies ce g*enre de monuments, même
dans l'Eg'iise. Je serai trop heureux si j'ai réussi à éveiiler l'attention de quelque iecteur sur
un ohjet si sérieux, et auquei ii n'avait peut-être pas song*é beaucoup avant ce petit essai que
je fais passer sous ses yeux.
rait des volumes. Le de rarcM^we /WmçcMse.,
par M. VioHet-le-Duc, peut combler queiques-uus des vides
auxqueis je dois me résigner. Puis je n'ai pas laissé d'en dire
quelque chose dans ie tome précédent de ces JVou'ueaMæ Me-
hmpes, p. 146, svv. En outre ie P. A. Martin s'en est occupë
à deux reprises dans notre première série, en décrivant la
chàsse des grandes reiiques de Notre-Dame à Aix-la-Cha-
pelie (t. I, pl. i-ix), et ceüe de saint Taurin à Évreux (t. Ii,
pi. 1-111). 11 en aurait présenté bien d'autres à nos lecteurs,
si Dieu lui eùt prolongé ia vie.
MÉLANGES D'ARCHÉOLOGIE.
ànourrir lafoi. Ce devient pure affaire de musée historique (qui se parcourra un livretà
la main), plus apte à distraire dans le saint lieu, qu'à porter ies cœurs vers l'éternité.
Ce n'ëtait évidemment pas avec une trentaine de pages que j'auraispu prétendre épuiser
la matière dont les applications pourraient être si vastes. Un gros voiume suftirait à peine
pour donner une idée lar^e des modihcations qu'a srdDies ce g*enre de monuments, même
dans l'Eg'iise. Je serai trop heureux si j'ai réussi à éveiiler l'attention de quelque iecteur sur
un ohjet si sérieux, et auquei ii n'avait peut-être pas song*é beaucoup avant ce petit essai que
je fais passer sous ses yeux.
rait des volumes. Le de rarcM^we /WmçcMse.,
par M. VioHet-le-Duc, peut combler queiques-uus des vides
auxqueis je dois me résigner. Puis je n'ai pas laissé d'en dire
quelque chose dans ie tome précédent de ces JVou'ueaMæ Me-
hmpes, p. 146, svv. En outre ie P. A. Martin s'en est occupë
à deux reprises dans notre première série, en décrivant la
chàsse des grandes reiiques de Notre-Dame à Aix-la-Cha-
pelie (t. I, pl. i-ix), et ceüe de saint Taurin à Évreux (t. Ii,
pi. 1-111). 11 en aurait présenté bien d'autres à nos lecteurs,
si Dieu lui eùt prolongé ia vie.