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La caricature: revue morale, judiciaire, littéraire, artistique, fashionable et scénique — 1834 (Nr. 165-216)

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Numéro 167 (16 Janvier 1834)
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https://doi.org/10.11588/diglit.26558#0024

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-1553

LA CARICATURE.

1356

fîacljatos.

lorsqu’il y a bal à la cour, parce que leurs salons ne désemplissent
pas de toute la nuit.

Y C’est surtout lorsqu’ils sortent des bals de l’ordre de Chose
que l’on peut appliquer avec justesse aux courtisans l’épithète d'af-
famés.

Y Nous apprenons que l’article du Journal des Judas où il était
question Au faste et de 1 abondance du dernier bal des Tuileries, a
été écrit dans la salle dite des rafraichissemens. Or, on sait que rien
ne rend visionnaire comme la fringale.

* Rien n excite 1 appétit comme la danse. Aussi, on a entendu le
père Lapoire fredonner à son dernier bal :

On trouve chez M. Aubert des collections complètes de la Cari-
cature (six volumes de six mois chacun), des collections du Charivari
(trois volumes), ainsi que des collections des dessins de l’association.

« La danse n’est pas ce que j’aime. »

Y La France nouvelle affirme qu’à ce même bal, le buffet était
servi avec une rare magnificence ; s’il y avait réellement magnifi-
cence, l’épithète de rare a été justement appliquée.

*f Les bals des Tuileries doivent, dit-on, se prolonger jusqu’au mi-
lieu du careme; ils neseront pas déplacés à cette époque d’abstinence.

Y Les restaurateurs des environs des Tuileries sont enchantés

Il sera rendu compte dans la Caricature et dans le Charivari, de
tous les ouvrages in-8° dont trois exemplaires seront déposés au Bu-
reau de rédaction du Charivari , rue du Croissant, hôtel Colbert,
n° 16, à l’adresse de M. Louis Desnoyers (Derville), Rédacteut en
chef des deux journaux.

LES QUATRE POIRES,

CROQUÉES

A l’audienee de la cour d’assises de Paris

Par Cl), pijilipcut,

Et vendues pour payer l’amende du Charivari.

Prix de la feuille : 2 SOUS.

Les marchands, les libraires et les propriétai-
res de cabineis littéraires qui voudront les ven-
dre à leurs habitués recevront quinze feuilles
pour douze.

AU BUREAU,

Chez AUBERT, galerie Véro-Dodat.



ASSOCIATION POUR LA LIBERTÉ DE LA PRESSE.

Un franc par mois donne droit à une Lithographie (chaque mois), tire'e seulement
pour les Souscripteurs. Cette Lithographie, exécutée par les principaux artistes du jour-
nal la Caricature, sera toujours, pour les amateurs, d’une valeur bien supérieure à un
fr., puisqu’elle n’est pas livrée au commerce.

Le produit de la souscription à la Lithographie riftînsuelle est destiné à former une
caisse de réserve, pour payer les frais des procès de ta Caricature. (Les éditeurs de ce
journal hebdomadaire ont été frappés de ving-deux saisies en un an - ils peuvent croire
qu’on ne s’en tiendra pas là.)

La Caricature, faite par des jeunes gens, s’adresse aux jeunes gens et les appelle à
une association qui a pour but de défendre la liberté de la pensée. L’aide des hommes
de notre âge ne saurait nous manquer, nous l’espérons.

On souscrit, en envoyant franco un bon sur la poste.

On ne souscrit pas pour moins de trois mois. Le premier mois de la souscription est le
mois d’août 1832. La première Lithographie a paru le 30 août.

On peut souscrire depuis le premier numéro, on seulement depuis le mois courant.

Les Lithographies parviendront franco à l’associé.

On souscrit au bureau de la Caricature, galerie Véro-Dodat, au-dessus du magasin
de nouveautés lithographiques d'Aubert.

NOTA. Le grand nombre de souscriptions pouvant seul nous faire atteindre le but
que nous nous proposons, nous prions les amis de la Caricature de recruter pour elle
parmi leurs connaissances.

CONDITIONS D’ABONNEMENT

La Caricature donne, par an, cent quatre Litographies exécutées par les Ar-
tistes les plus renommés. Chaque numéro, composé dune feuille de texte et de
deux Lithographies, paraît très-exactement le jeudi. . , ,

L’Administration ne met pas dans le commerce les Lithographies du journal. Les
Marchands ne pourront les obtenir qu’en s’abonnant.

Nota. Les personnes qui recevraient des exemplaires froisses peuvent, au moyen
de l’action d’une presse à papier, faire disparaître les plis, il faut avoir soin d ex-
poser préalablement la feuille à l’humidité.

pour trois mois, franc de port.i5 fr.

pour six mois , idem..28

•pour UN an , idem.5a

1 franc de plus par trimestre pour F étranger.

On souscrit à Paris : pour trois mois, en envoyant, franco, un bon de i3 fr., au
bureau de la Caricature, maison Aubert, galerie Véro-Dodat; MM. Guerm et Com-
pagnie, rue du Dragon, faubourg St-Germain, offrent de faire toucher a domicile
Itsans frais le montant des abomiemens; il suflira de leur écrire, de leur dire
quel abonnement on désire, et pour combien de temps. — On souscrit aussi chez
tous les libraires et les maîtres de poste de la France et de l Etranger.-,Cruchet.

IMPRIMERIE d’AUFFRAY, P.ASSAGE DU CAIRE.
 
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