Le charivari (11.1842)

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n impôt onéreuv
ie c'est souventr,['
temps d'arrêt r0Je C|:
mn, de tirer 'ss lda»i
et d'à. tendre |e -S
«uf sous pour'sS
:he de son élégant-,*
ont des Arts, h«
i des ruines' >(i

"8 où '» barrière en'l
^ultat lavoffl

ous tairons Ie Bo

rassa-gia

tes abondaient c£î;

us pa< vu scintiller 1
-ance.'Puis left»
toujours sous Un n *
'it arriver la temn?I!f
' butin. Ouvrir Ta :
«j on perd, toujoa ®J|
est la morale h» ''
financier se leva
•étirerai des affîfe
•ucher du soleil il !1
eie par les réclama?
®t si ridisules! ,r
lonner l'éveil sur se
e déjà on commença,!

Sïïi

".d'un gJ
d autrefois, simple n
lysterieux asile réservi
ajournée tout entière|,
!t enfla son portefeuille
temps, ou bien fut-
ees? Le fait est J
de son ho el. il ne s\
son absence avail ieii
arrivait de toutes part.'
-raient chez lui, il D>e[,
in escalier dérobé.

■ D... battait en retrait
t a sa poursuite, mais il
e savait pas de quel côli
banqueroutier, soit qu'i
>on chemin, soit qj'jig
ombre du soir, s'en a],
faubourg Saint-Germain
■norme portefeuille place
et qui contenait un mil-
ous un réverbère de li
an nom crié de loin pu

ie ; on est sur ses traces,
Eperon né par la peut,
irse, il tourne à droite,
rrive au pont des Arts,
tera plus, car il lui «en
îs étroites du fauta;
i ne connaissent pas a

■ le pont, que l'invalide
irrête pas au bureau, lui

ayer. »

:nd sa eourse, il deme®
liez de payer !... » P
routier !

êtes-vous pour me pari®
reprenant ses esprits t
îlateur sourit dédaigneu-
tience succède à un
3che de son gilet, et »:

dra, répond le buraliste
. Ce sera pour une aulfl

pas crédit,
ts d'argent sur moi?
euf. . ,

■as mon chemin, et je s»

at pas; je ne connaisq"

i iastans sont précieux.!'

ne! Et c'est pour tins®

ie? Un sou! Laissez*1

i je vous donnerai

cit!

SALON DE 1842.


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CHAMBELLAN

de ces marchés-là. J
mturier; je ne vouai»

ùte à la 4e page.)