DOI issue:
Juillet (No. 182-212)
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.17625#0837
ïLtï CHAItlVAIM.
excellente comédie ; mais cela ne saurait prouver
qu'il n'eût eu grande raison aussi en ouvrant la porte
de la scène à une pièce qui est incontestablement, sous
le rapport du style, la plus remarquable qu'on ait
produite depuis longtemps.
Nous aurons du reste à revenir sur cette affaire.
Le Vaudeville s'est fait un succès avec Charlotte.
On y pleure à chaudes larmes, et ceux qui aiment à
pleurer sont nombreux. Nous avons loué le jeu des
acteurs ; il faut dire aussi que la mise en scène est
fort soignée : les costumes ont été établis d'après les
dessins faits par T. Johannot dans la belle édition
illustrée de Werther, traduction de Pierre Leroux,
qu'Hetzel a publiée.
Le Gymnase attend beaucoup de son côté de l'ex-
ploitation d'un autre roman célèbre, Clarisse Har-
lowe. L'exemple de Jules Janin devrait pourtant l'ef-
frayer ; mais pour faire valoir l'œuvre anglaise, le
théâtre a Rose Chéri, tandis que Jules Janin n'avait
que sa plume. C'est ce qui fait que l'un réussira là
où l'autre a échoué.
Le théâtre des Variétés lutte aussi contre la cha-
leur avec Sport et turf, le Domestique pour tout
faire et les Bœufs, bonne mélodie, si bien chantée
par Hoffman.
A propos des Variétés, nous profiterons de l'occa-
sion pour dire un mot, bien que ce ne soit guère ici la
place, d'une innovation que vient d'imaginer le ma-
chiniste de ce théâtre, M. Pierre Cuiller, dans la con-
fection des chemins de fer, innovation dont il a cons-
truit un modèle, visité tous les jours par les ingé-
nieurs et les hommes de la spécialité.
La simplicité et l'ingéniosité de cette nouvelle voie
de communication nous ont fortement impressionnés.
Ici, plus de déraillement, plus de rencontres possibles;
les locomotives sont supprimées. Un système particu-
lier met en mouvement sur toute la ligne des roues
fixées au chemin lui-môme, et les wagons coulent sur
ces roues comme ferait un bateau sur un fleuve ; le
wagon, dans sa longueur, porte sur quinze paires de
roues, de sorte qu'un essieu, trois essieux, vinssent-
ils à se briser, douze paires de roues soutiendraient
encore le wagon qui continuerait sa route, sans se-
cousse, sans mouvement sensible pour les voyageurs.
Et quand nous parlons d'essieux brisés, il est à re-
marquer que cet accident, si rare sur les chemins de
fer actuels, serait pour ainsi dire impossible sur ce
nouveau chemin, car les roues et les essieux ne sup-
portent que passagèrement la charge du convoi, tan-
dis que, dans le système actuel, ils supportent conti-
nuellement le poids énorme de la locomotive; ajou-
tons que par son invention, non seulement M. Cuil-
ler a considérablement augmenté la sécurité du voya-
ge, sans nuire à la rapidité, mais que, de plus, il
gravit des pentes huit fois plus fortes, et tourne dans
des courbes quatre fois plus petites que celles em-
ployées dans les voies actuelles.
Toutes ces qualités nous ont frappé sur le modèle
que montre l'inventeur. Il est impossible que ce sys-
tème ne soit pas prochainement apprécié par la scien-
ce et essayé sur un embranchement.
Revenons aux théâtres, pour constater que la
Garde malade réussit grandement au Palais-Royal.
Il y a encore quelques grossièretés, mais aussi bien
des situations comiques dans cette parade.
Le ministère de l'intérieur, au milieu des vaste
préoccupations électorales qui absorbent à la fois ^
tes ses hautes intelligences et toutes ses mains ha
biles, a eu le temps de s'attaquer à Fouyou; df
savez, Fouyou, l'illustre Fouyou des Variétés. \\ y
quelques jours, cet agréable môme, à qui le Muîtr
d'école a fait presque une renommée, devait chante
une chansonnette dans une représentation donnée à
la salle de l'Ecole lyrique, rue de la Tour-d'Auvei
gne. Le ministre de l'intérieur ne l'a pas voulu.,,
Querelle de petits hommes.
La représentation, du reste, a été brillante. Nous
y avons remarqué une jeune artiste, Mlle Mathilde
qui aparfatementjoué dans Margot et laPerruquièl
de Meudon.
rédaction et oe la
i,,*"!018-;:...............
>s..... .............
g££ ***desier
l"irR „e prix, *M les D»w
>*tm «°d foreig" '
Nous ne terminerons pas cette chronique sans'dé-
plorer la mort prématurée d'un homme qui honorait
à la fois les sciences et les arts. Le docteur îhibeït
qui vient de terminer à 36 ans une carrière vouée
tout entière au travail, avait, comme médecin, doté
l'école de ces admirables spécimens d'anatomie patho.
logique dont se sont enrichies toutes les collection!
publiques et privées, et il avait tout récemment ap.
pliqué son invention à des essais de peinture sculptu
raie, soumis au public, dans le musée de la rue G§
martin, n° 1, et dont le Charivari a parlé il y a qut[
que temps.
Le docteur Thibert est mort au moment où il cois,
mençait à recueillir le fruit de ses travaux. II laisse
de vifs et sincères regrets.
Le Gérant, iéopold pannier.
«fine
. Bi-i
Street
Slranil.
AGENCE ROYALE DE PUBLICITÉ DU PARIS.
ENTREPRISE SPECIALE l> \W0\0E
POUE TOUS I.ES JOURNAUX DE PARIS,
DES DÉPARTEMENS ET DE L'ÉTRANGER-S'ADRESSER AU SIÈGE DE L'ADMINISTRATION,
A M. NORBERT ESTIBAL,
Fermier des Annonces du Charivari, de la Gazette des Tribunaux, etc., rue Neuve-Vivienne, 53, à Paris.
m 1 nj p IVUnir' Très bien servie à 5 et 6 heures, rue des Deux-
J.iLljll£i il HUIJu Écus, 33. Prix: 1 fr. 50 c.
A LA SOURCE, H ■ *T W n f% Wt Wf Tl (1 Au dépôt à Paris,
encaissée, JJQ ][-]} 0 UNES T^^it
3i4 de litre 70 c. watobembs (Basses-Pyrénées.) 1 (2 < »
H2 » 60 n . , 7 v a, ' ([t » 75
i{4 - 50 BoiSSOn a la source, \ 0 tr. Bonbons d'Eaux-B.
Reconnues eificaees par MM. les Médecins, dans les maladies de poitrine, du
larinyx et de la peau.—L'usage des pectoraux et Mucilaglneux amuse les ma-
lades comme des eni'ans, au lieu de les guérir. (Bordeu.)—Les Eaux-Bonnes
modifient la disposition à devenir poitrinaire.—S'adresser directement au fer-
mier (CAZAUX aîné), rue Grenelle-Saint-Honoré, 44, et au passage des Panora-
mas, galerie Montmartre, to, la fraude ayant lieu au moyen d'une fausse cap
suie.—On trouve dans les mêmes maisons toutes les eaux minérales naturelles.
VINS DR CHATEAU HAUT-BRION.
M. J.-E. Larribtj, propriétaire du château haut-
bkion (l'un des quatre premiers grands crus de Bordeaux),
ayant été informé que des vins étrangers à sa propriété a-
vaient été vendus sous la dénomination de Château Haut-
Brion, prévient les consommateurs que le seul dépôt des
vin» de sa propriété est établi rue NEUVE-SAINT-AUGUSTIN, 59,fet que les
bouchons de «es bouteilles portent son nom et sont en outre revêtu» d'une
capsule en plomb sur laquelle ligure la même marque.
Le dépôt des vins en pièces est chez MM. J. Fonadeètcomp., port de Ber-
cy, 36.
se-A louer, plusieurs appartemens, rue
de Cliehy, 66.
Un rez-de-chaussée élevé, avec grand
jardin : 3,500 f.
Un autre appartement au premier é-
tage entre cour et jardin : 2,000 fr.
Un autre aux deuxième et troisième
étages, entre cour et j ardin. 1,800 fr.
Ecurie el remises.
Prix des Annonces :
60 censimes [la petite ligne.
k—ttMM^ejgmgaB 3-3=» «*
aladies g Secrètes.
G uérison prompte, radicale et peu coûteuse de ces Maladies par le
[traitement (iu DrCH. Midetl» de U Piwlti d« P»rli, mahra en ph»f
ètlo. fi-pluiMii.iden de* hàpttlax da U rille de Pwii, prefotM«r de médealft* et de botanique ,
•autk île >iiMalllei »t r>*coii!f>en..ea nationale*, etc., etc.
R.^MoilîOrgUeil; 21/ Consultations gratuites tous les jours.
Les fftiérisons nombreuaet et authentiques obtenues à l'aide de ce traitement sur
I ui»e loule de maladet abandonnés comme incurables, sont des preuves non équi-
1 vaille;) de sa supériorité sur tous les moyens employés jusqu'à ce jour.
Nutu C* traitement oit facile k mitre en tecret ou en voyage, et inni aucun dérangement.
TRAITEMENT PAR correspondance. (affranchir.)
Imprimerie LANGE LÉVYet O, rue du Croissant, 16.
£2*
ipit
te
Le numéro 421 du journal l'Office de publicité contient d'excellen! joué le plus grand rôle d
es sur l'industrie. Voici le sommaire des principaux : . . ,
PARIS? SI
|ombie nous l'avio
"jour se fait, l'év
binon de sa grav
"lest aujourd'hui bien
Que les armes tirées éi
(k, dits vulgairement co-
udre qu'à bout portai
Que le coupable a tiré i
qui dépasse de plus den-
te meilleurs pistolets, e'
slaquelle un bon tireur (
peine à atteindre le roï7
p fiefiïv a tiré des u
riser,
Que cet homme, absor
les chagrins domestiques
n'avait pas d'opinion pol
les conservateurs,
e donc à croii
(criminel a voulu tout si
«ment la vie du roi,
» capitale un moyen di
la cour des pairs est S£
««t heureuse de constat
*ge, ne devait poui
•«Heur, ni dans le far
H
u ■
a " :
0) ~-
. c _
a 3 D3 <y ^ u-«! v
u n t~) O G ■_
s m u oo3 « « 5
articles sur l'industrie. Voici le sommaire des principaux
Institution des assurances sua la vie (6e article).— Les maisons encon|
mandite, Michel, gérant industriel de la compagnie de mobilisation clriffl
—Les actîonoaires insurgés de l'entrepôt du Nord, du chemin de Dieppe'
de la société des desséchemens. — Chronique des chemins de fer: actioi
des chemins anglais ; commission des accidens; communauté de gare;chi
mins d'Orléans, de Vierzon, Fampoux, Saint-Etienne. — Adjudication il
travaux.—Paris à Caen.—Produits des mines en 1845.—Administration u
nicipale de Paris.—REVUK DE LA SEMAINE : Bruits de Bourse ; Compa
gnie d'éclairage minéral au capital de 2,600,000 fr., MM.de Lorgues,il
Boissy, etc. ; la Fortune, assurance sur la vie à 2,100,000 fr. de Gardu
Aigoin en expectative d'une ordonnance royale ; la Publicité gratuite de Jl
Lepage moyennant 500,000 f r.; Chemin de fer de Sceaux, sa convocaiij) victime
extraordinaire, plaintes contre son service; Citadines, fin de lasociétéJF"
quidation; Entrepôt du Nord, commandite avortée; le Neptune, YAceA
la Néréide, convoquant les actionnaires. — Bourse.—Faillites.—Faits jodl
ciaires : Papetei ie Brise trois fois incendiée.—Accident sur le chemin de fo
de Montpellier à Cette, condamnation. — Conseils des prudhommes.-I» PARIS
ventions , découvertes : moyens de maîtriser les chevaux ; révolution m
la cravate, le Prompt-Col.—Incendie de l'Hippodrome.—Faits divers: BU
pidation deRochefort; sinistre a Lisieux; journal le Commerce changent
de mains; bœuf mort du charbon! vente de viande corrompue.—Lettre
M. Richard.—Avis de M. Langlois.
(1) Organe officiel des compagnies et sociétés d'assurances de toute naa
re, renseignemens officieux sur toutes les entreprises industrielles, et pm
cipalement sur les tontines mixtes parisiennes. — On s'abonne boulevai
Montmartre, 9, où on reçoit des insertions à faire à toutes les feuilles pf1"1
quesdes différens pays.—17 fr. par an pour Paris, et 19 fr. pour les aeP8
temens et l'étranger.—C'est le seul journal qui s'occupe d'industrie
France, et qui soit admis en Sardaigne , en Italie, en Prusse, en Autriw ^
en Hollande, en Russie, etc.—On ne reçoit que les lettres affranchies.-"'1 jj j^. ■ .
bureau des insertions, on délivre la nomenclature du tarif des Annonce U |ji
toutes les feuilles publiques, de quelque nation qu'elles soient, accorap ll«pons~nous senior,
gnée du tableau de toutes les entreprises industrielles. j to fr^ , cuitmen
- - - ---- CTa a l'œuvre.
^SlelMarrondisser
i aedironsi
lus
.gS Approuvée» et reconnue» à Unanimité par l'ACADEMIE DE MpEONE^oraro^
S Sa %B nimeit supérieure» aux capmle» Mothe» et à ton» le^autres.remèdes qurfiJ^^d
S» <*Z powi» Prompte «ûre guériion de» maladie» secrète», éconlemenu réwntti ou
* Saee9uneur»WaDCbe*)etc: APjari»,raeMipion,n.ï,etdaMtonte»lesbonnespn»™
i pas que
aux nôtres-
I
excellente comédie ; mais cela ne saurait prouver
qu'il n'eût eu grande raison aussi en ouvrant la porte
de la scène à une pièce qui est incontestablement, sous
le rapport du style, la plus remarquable qu'on ait
produite depuis longtemps.
Nous aurons du reste à revenir sur cette affaire.
Le Vaudeville s'est fait un succès avec Charlotte.
On y pleure à chaudes larmes, et ceux qui aiment à
pleurer sont nombreux. Nous avons loué le jeu des
acteurs ; il faut dire aussi que la mise en scène est
fort soignée : les costumes ont été établis d'après les
dessins faits par T. Johannot dans la belle édition
illustrée de Werther, traduction de Pierre Leroux,
qu'Hetzel a publiée.
Le Gymnase attend beaucoup de son côté de l'ex-
ploitation d'un autre roman célèbre, Clarisse Har-
lowe. L'exemple de Jules Janin devrait pourtant l'ef-
frayer ; mais pour faire valoir l'œuvre anglaise, le
théâtre a Rose Chéri, tandis que Jules Janin n'avait
que sa plume. C'est ce qui fait que l'un réussira là
où l'autre a échoué.
Le théâtre des Variétés lutte aussi contre la cha-
leur avec Sport et turf, le Domestique pour tout
faire et les Bœufs, bonne mélodie, si bien chantée
par Hoffman.
A propos des Variétés, nous profiterons de l'occa-
sion pour dire un mot, bien que ce ne soit guère ici la
place, d'une innovation que vient d'imaginer le ma-
chiniste de ce théâtre, M. Pierre Cuiller, dans la con-
fection des chemins de fer, innovation dont il a cons-
truit un modèle, visité tous les jours par les ingé-
nieurs et les hommes de la spécialité.
La simplicité et l'ingéniosité de cette nouvelle voie
de communication nous ont fortement impressionnés.
Ici, plus de déraillement, plus de rencontres possibles;
les locomotives sont supprimées. Un système particu-
lier met en mouvement sur toute la ligne des roues
fixées au chemin lui-môme, et les wagons coulent sur
ces roues comme ferait un bateau sur un fleuve ; le
wagon, dans sa longueur, porte sur quinze paires de
roues, de sorte qu'un essieu, trois essieux, vinssent-
ils à se briser, douze paires de roues soutiendraient
encore le wagon qui continuerait sa route, sans se-
cousse, sans mouvement sensible pour les voyageurs.
Et quand nous parlons d'essieux brisés, il est à re-
marquer que cet accident, si rare sur les chemins de
fer actuels, serait pour ainsi dire impossible sur ce
nouveau chemin, car les roues et les essieux ne sup-
portent que passagèrement la charge du convoi, tan-
dis que, dans le système actuel, ils supportent conti-
nuellement le poids énorme de la locomotive; ajou-
tons que par son invention, non seulement M. Cuil-
ler a considérablement augmenté la sécurité du voya-
ge, sans nuire à la rapidité, mais que, de plus, il
gravit des pentes huit fois plus fortes, et tourne dans
des courbes quatre fois plus petites que celles em-
ployées dans les voies actuelles.
Toutes ces qualités nous ont frappé sur le modèle
que montre l'inventeur. Il est impossible que ce sys-
tème ne soit pas prochainement apprécié par la scien-
ce et essayé sur un embranchement.
Revenons aux théâtres, pour constater que la
Garde malade réussit grandement au Palais-Royal.
Il y a encore quelques grossièretés, mais aussi bien
des situations comiques dans cette parade.
Le ministère de l'intérieur, au milieu des vaste
préoccupations électorales qui absorbent à la fois ^
tes ses hautes intelligences et toutes ses mains ha
biles, a eu le temps de s'attaquer à Fouyou; df
savez, Fouyou, l'illustre Fouyou des Variétés. \\ y
quelques jours, cet agréable môme, à qui le Muîtr
d'école a fait presque une renommée, devait chante
une chansonnette dans une représentation donnée à
la salle de l'Ecole lyrique, rue de la Tour-d'Auvei
gne. Le ministre de l'intérieur ne l'a pas voulu.,,
Querelle de petits hommes.
La représentation, du reste, a été brillante. Nous
y avons remarqué une jeune artiste, Mlle Mathilde
qui aparfatementjoué dans Margot et laPerruquièl
de Meudon.
rédaction et oe la
i,,*"!018-;:...............
>s..... .............
g££ ***desier
l"irR „e prix, *M les D»w
>*tm «°d foreig" '
Nous ne terminerons pas cette chronique sans'dé-
plorer la mort prématurée d'un homme qui honorait
à la fois les sciences et les arts. Le docteur îhibeït
qui vient de terminer à 36 ans une carrière vouée
tout entière au travail, avait, comme médecin, doté
l'école de ces admirables spécimens d'anatomie patho.
logique dont se sont enrichies toutes les collection!
publiques et privées, et il avait tout récemment ap.
pliqué son invention à des essais de peinture sculptu
raie, soumis au public, dans le musée de la rue G§
martin, n° 1, et dont le Charivari a parlé il y a qut[
que temps.
Le docteur Thibert est mort au moment où il cois,
mençait à recueillir le fruit de ses travaux. II laisse
de vifs et sincères regrets.
Le Gérant, iéopold pannier.
«fine
. Bi-i
Street
Slranil.
AGENCE ROYALE DE PUBLICITÉ DU PARIS.
ENTREPRISE SPECIALE l> \W0\0E
POUE TOUS I.ES JOURNAUX DE PARIS,
DES DÉPARTEMENS ET DE L'ÉTRANGER-S'ADRESSER AU SIÈGE DE L'ADMINISTRATION,
A M. NORBERT ESTIBAL,
Fermier des Annonces du Charivari, de la Gazette des Tribunaux, etc., rue Neuve-Vivienne, 53, à Paris.
m 1 nj p IVUnir' Très bien servie à 5 et 6 heures, rue des Deux-
J.iLljll£i il HUIJu Écus, 33. Prix: 1 fr. 50 c.
A LA SOURCE, H ■ *T W n f% Wt Wf Tl (1 Au dépôt à Paris,
encaissée, JJQ ][-]} 0 UNES T^^it
3i4 de litre 70 c. watobembs (Basses-Pyrénées.) 1 (2 < »
H2 » 60 n . , 7 v a, ' ([t » 75
i{4 - 50 BoiSSOn a la source, \ 0 tr. Bonbons d'Eaux-B.
Reconnues eificaees par MM. les Médecins, dans les maladies de poitrine, du
larinyx et de la peau.—L'usage des pectoraux et Mucilaglneux amuse les ma-
lades comme des eni'ans, au lieu de les guérir. (Bordeu.)—Les Eaux-Bonnes
modifient la disposition à devenir poitrinaire.—S'adresser directement au fer-
mier (CAZAUX aîné), rue Grenelle-Saint-Honoré, 44, et au passage des Panora-
mas, galerie Montmartre, to, la fraude ayant lieu au moyen d'une fausse cap
suie.—On trouve dans les mêmes maisons toutes les eaux minérales naturelles.
VINS DR CHATEAU HAUT-BRION.
M. J.-E. Larribtj, propriétaire du château haut-
bkion (l'un des quatre premiers grands crus de Bordeaux),
ayant été informé que des vins étrangers à sa propriété a-
vaient été vendus sous la dénomination de Château Haut-
Brion, prévient les consommateurs que le seul dépôt des
vin» de sa propriété est établi rue NEUVE-SAINT-AUGUSTIN, 59,fet que les
bouchons de «es bouteilles portent son nom et sont en outre revêtu» d'une
capsule en plomb sur laquelle ligure la même marque.
Le dépôt des vins en pièces est chez MM. J. Fonadeètcomp., port de Ber-
cy, 36.
se-A louer, plusieurs appartemens, rue
de Cliehy, 66.
Un rez-de-chaussée élevé, avec grand
jardin : 3,500 f.
Un autre appartement au premier é-
tage entre cour et jardin : 2,000 fr.
Un autre aux deuxième et troisième
étages, entre cour et j ardin. 1,800 fr.
Ecurie el remises.
Prix des Annonces :
60 censimes [la petite ligne.
k—ttMM^ejgmgaB 3-3=» «*
aladies g Secrètes.
G uérison prompte, radicale et peu coûteuse de ces Maladies par le
[traitement (iu DrCH. Midetl» de U Piwlti d« P»rli, mahra en ph»f
ètlo. fi-pluiMii.iden de* hàpttlax da U rille de Pwii, prefotM«r de médealft* et de botanique ,
•autk île >iiMalllei »t r>*coii!f>en..ea nationale*, etc., etc.
R.^MoilîOrgUeil; 21/ Consultations gratuites tous les jours.
Les fftiérisons nombreuaet et authentiques obtenues à l'aide de ce traitement sur
I ui»e loule de maladet abandonnés comme incurables, sont des preuves non équi-
1 vaille;) de sa supériorité sur tous les moyens employés jusqu'à ce jour.
Nutu C* traitement oit facile k mitre en tecret ou en voyage, et inni aucun dérangement.
TRAITEMENT PAR correspondance. (affranchir.)
Imprimerie LANGE LÉVYet O, rue du Croissant, 16.
£2*
ipit
te
Le numéro 421 du journal l'Office de publicité contient d'excellen! joué le plus grand rôle d
es sur l'industrie. Voici le sommaire des principaux : . . ,
PARIS? SI
|ombie nous l'avio
"jour se fait, l'év
binon de sa grav
"lest aujourd'hui bien
Que les armes tirées éi
(k, dits vulgairement co-
udre qu'à bout portai
Que le coupable a tiré i
qui dépasse de plus den-
te meilleurs pistolets, e'
slaquelle un bon tireur (
peine à atteindre le roï7
p fiefiïv a tiré des u
riser,
Que cet homme, absor
les chagrins domestiques
n'avait pas d'opinion pol
les conservateurs,
e donc à croii
(criminel a voulu tout si
«ment la vie du roi,
» capitale un moyen di
la cour des pairs est S£
««t heureuse de constat
*ge, ne devait poui
•«Heur, ni dans le far
H
u ■
a " :
0) ~-
. c _
a 3 D3 <y ^ u-«! v
u n t~) O G ■_
s m u oo3 « « 5
articles sur l'industrie. Voici le sommaire des principaux
Institution des assurances sua la vie (6e article).— Les maisons encon|
mandite, Michel, gérant industriel de la compagnie de mobilisation clriffl
—Les actîonoaires insurgés de l'entrepôt du Nord, du chemin de Dieppe'
de la société des desséchemens. — Chronique des chemins de fer: actioi
des chemins anglais ; commission des accidens; communauté de gare;chi
mins d'Orléans, de Vierzon, Fampoux, Saint-Etienne. — Adjudication il
travaux.—Paris à Caen.—Produits des mines en 1845.—Administration u
nicipale de Paris.—REVUK DE LA SEMAINE : Bruits de Bourse ; Compa
gnie d'éclairage minéral au capital de 2,600,000 fr., MM.de Lorgues,il
Boissy, etc. ; la Fortune, assurance sur la vie à 2,100,000 fr. de Gardu
Aigoin en expectative d'une ordonnance royale ; la Publicité gratuite de Jl
Lepage moyennant 500,000 f r.; Chemin de fer de Sceaux, sa convocaiij) victime
extraordinaire, plaintes contre son service; Citadines, fin de lasociétéJF"
quidation; Entrepôt du Nord, commandite avortée; le Neptune, YAceA
la Néréide, convoquant les actionnaires. — Bourse.—Faillites.—Faits jodl
ciaires : Papetei ie Brise trois fois incendiée.—Accident sur le chemin de fo
de Montpellier à Cette, condamnation. — Conseils des prudhommes.-I» PARIS
ventions , découvertes : moyens de maîtriser les chevaux ; révolution m
la cravate, le Prompt-Col.—Incendie de l'Hippodrome.—Faits divers: BU
pidation deRochefort; sinistre a Lisieux; journal le Commerce changent
de mains; bœuf mort du charbon! vente de viande corrompue.—Lettre
M. Richard.—Avis de M. Langlois.
(1) Organe officiel des compagnies et sociétés d'assurances de toute naa
re, renseignemens officieux sur toutes les entreprises industrielles, et pm
cipalement sur les tontines mixtes parisiennes. — On s'abonne boulevai
Montmartre, 9, où on reçoit des insertions à faire à toutes les feuilles pf1"1
quesdes différens pays.—17 fr. par an pour Paris, et 19 fr. pour les aeP8
temens et l'étranger.—C'est le seul journal qui s'occupe d'industrie
France, et qui soit admis en Sardaigne , en Italie, en Prusse, en Autriw ^
en Hollande, en Russie, etc.—On ne reçoit que les lettres affranchies.-"'1 jj j^. ■ .
bureau des insertions, on délivre la nomenclature du tarif des Annonce U |ji
toutes les feuilles publiques, de quelque nation qu'elles soient, accorap ll«pons~nous senior,
gnée du tableau de toutes les entreprises industrielles. j to fr^ , cuitmen
- - - ---- CTa a l'œuvre.
^SlelMarrondisser
i aedironsi
lus
.gS Approuvée» et reconnue» à Unanimité par l'ACADEMIE DE MpEONE^oraro^
S Sa %B nimeit supérieure» aux capmle» Mothe» et à ton» le^autres.remèdes qurfiJ^^d
S» <*Z powi» Prompte «ûre guériion de» maladie» secrète», éconlemenu réwntti ou
* Saee9uneur»WaDCbe*)etc: APjari»,raeMipion,n.ï,etdaMtonte»lesbonnespn»™
i pas que
aux nôtres-
I