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Le charivari — 16.1847

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Avril (No. 91-120)
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https://doi.org/10.11588/diglit.17761#0361
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tri et cMuedïcS;

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agricoles.

™apaiis,li„m,

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la Banque de *„

rront en être rét;^ *ft,'ft

SEIZIÈME ANNÉE. — N° 91.

Publiant chaque jour un nouveau dessin en lithographie

ou «HAVURKS, ET V1CVKTTES SUR dois.

JEUDI l«r AVRIL 1847.

Bureau de la rédaction et de l'administration, à Paris,

hhb du croissait, 16 (iiotki. cqi.bbrt).

AnwKrffiMiSKs. jX^^^wyBBM^l'^TVLimWatr, luiT^BSS^^Ir^^""^" '''U1IS' i":-i'ai;,e,,e'',s-

r,»iiis. i.i>Aini..jin»s. /-^^^^^^oBWKkw!/ JQ^^^^^^^^^aWBlifF''!.--:~ Trois mois................... 1* fr. 1» IV.

„ .... lit lr. 18 fr. <1Z^^7^'^ÊÊÊMmS«^'J, 1^0^ «■■■■L* Six- mois..................... .V) 58

Troie mois............ je s„ ^^^^^BjOM^rm---!!! • lj|'^^?rr " U.i .an....................... «o 72

.............. «o 72 -jf|r** .JûT^TTjMBHM •' -Y. . Un numéro................. ;>0 c.

Un1""'„ uo c. *S^^à^«â|«^p7b^ ■^^^^'^P"^^~W^*C^ff:r''''l-cs ahonncmeiis clalcul des l" cl 18 d'c clicjuc mois.

—@iS8S—

On reçoit en paiement des aliouriemrns , les m.iu,-

:'.,lionni! ■• à L> on, clic/. M">« Philippc-Ramliei , ^^^^^^«B S«ËÊffi?\fl&{^Wk WÊi?™ÊÊÊÈmL il il ' ' ,lals :l vl,c sl"' le Trésor 1:1 la ''oste, ''I lus cllcls

*! Vst-Pominique; à Bordeaux,chci M»e Dclpecli, ~èc^i^^^S^^^Smp 1ml<WKIf(m \ W\"Skk ^jP"i fc»; sur les maisons de Banque tic l'a ris. :..... .. qui

'" "'\ Marseille, chez M. Michcet l'ej nui cl chez ^^^^^^^^^^^^^^l^^^^^^^iW^^SM^^^R ' concerne l'administration du Journal doil clic adresse.

i-.. iiinii'':ro...................

^.ihonnemensdalcnl desl«cl lr, de chaque mot».

i

n

'raiiioin, lihr.; àllouen, chez Mme Walrc, 31 , rue < -t^^^■^£t^^^^=a=.^^(1^iBiSj^g[^^|jV^^ _ ' -■ (franco) au Directeur, rue du Croissaul, 18 ancien

I l'vicnx-I'alais; A Londres, chez W. Thomas, 21, Ca- :$L.=^c^Zr^^ " ' ' ■- —r-- -f hôtel Colbcrl).— Les lettres non affranchie* seronl

,., me tlrcel ; dans les hurcaux des Messageries roya- " "~■''-^~^3:-^^'-^-^-,m"--~ rigoureusement refusées.

! ijériéralrs, el chez Ions les libraires.

ann. et de plusieurs ordres to„„
JUDICIAIRE. H
: de la chambre des député,
le la Faculté de droit de Pari',,

cour royale.

i première instance.

>unal de commerce de Paris, chei,

LE CHARIVARI.

LE SALON DE 1847 ILLUSTRE PAR CHAM.

Si le public connaissait toutes les tribulations par

,„n„t a' -i, lesquelles passe nn infortuné rapin pour arriver à

ssant d une considérai on a- ■ ,

exposer, que dis-je! souvent a ne pas exposer un

îuvent dès à présent lui tableau clans la galerie du Louvre, il se montrerait

plus indulgent le jour de l'ouverture du Salon.

besoins, surtout en raisondesm Peindre un tableau ce n'est rien, le faire accrocher
ompagme ; les noms des personne , T ,

vr et haut ; l'opération par ». COnlre une des murailles du Louvre c est tout,
fin les garanties que nous ottroni . , . e -,

e. 'l % qui vous - parle, je couvrirais tacilement dix

ent Actionnaires pourront Être eu-
te entreprise.

SONT DEJA. OFFERTES A Ll
qui en est faite à l'Administration,
avec engagement par éuii

toiles avec vingt espèces de couleurs, mais je ne
parviendrais probablement pas à en exposer une
seule à l'admiration de mes contemporains.

C'est ce qui fait que je me prive de ce divertisse-
ment.

Un rapin qui vient de terminer un tableau a tout
à redouter, jusqu'aux timons des voitures.

Dieu sait le nombre de Spfints qui ont été marty-

El PROVENÇAL,

■t de la Madeleine, iOi, rue duSï
modèle, enté sur ta vieille loyautNeM

H. AYMÈS DE MARSEILLE, Cl OÙ SB t»

les Huiles d'Aix, sa spicùM, lits
Pruvence dans leur pureté natale,sia
; qui par le temps qui court offre w s
! tenir du prodige : 0 tempm! Omt
E. — C'est au foyer domestique, apilsi
s art et sans fard, cette saine noirnte
fruits réunis du Midi, et que riants
es el patriarcales. Elle oflreàleiijjs
i lui laisser attendre patiemment m
;ant: bien préférable à ce liquidcqu.
tant. Le vieillard, privé de ses dents,s
uvant tous les fruits qu'ils mangesfc
è obligé de renoncer, tant par la »•
elle est aussi le put de prédite» •
d'abstinence; el enfin elle aura m
lue chacun aime maintenant ce qn»

iS PILULES

LA UT

Le sui se est en butte aux supplications des rapins
en retard, mais il ne tire plus le cordon passé minuit.

Mu SEE ROYAL

D'autres arlistcs, plus infortunés encore, se met-
tent bien en mesure d'emporter leurs tableaux en

' J'ses, place du Palais-Royal, par des cochers impru-
dens ou myopes.

Présentez donc ensuite^u jury un saint Sébastien
"vec une pièce dans la poitrine; si encore c'était dans
'efiSié^eC£jf Ie dos, ça se verrait moins.

quiPdépendent du tempérai* Ine chose à remarquer, c'est que presque tous leà
,ie royale de Médecine, M. jg de Paris se distinguent par un grand manque

u'il avait rec?nnuil%« «e mémoire et d'almanach.
rçait la médecine, ûts a a

très ferrugineux, t '1 ^ iliaque année (es artistes oublient nue le mois de

it être mise eu DJ.id'iv . ( t.

l'Auteur et se- (A Vner n a <lue vingt-huit jours, et qu'à minuit de ce

Vlaud, 6son neveu., ph- Wf 1 vmgt-huitième jour les portes du Louvre sont impi-

:édee /oo1&a%entée»|l toyablement fennéos aux tableaux retardataires.

inl-Merry, lliPW|*&M °nt, t0rt de Se br0uiller ^ ^ fac-

!fée"d-n^"riè France et deW/1 ur'. car' s'us cela, ce fonctionnaire public leur of-
les villes ub j _____^Z^j

rstème de BACHESi rt ijj
S perfectionnés, JaV

.nrès la barr.de'

OU LEURS

un Cendrier, souvenir d'estime et d'amitié, et
cecalendrie. leur seMt frèg précieux.

nc Pas cela parce qu'il leur aurait coûté de

un franc à quarante sous.

Moyennant ce déboursé et cet almanach, les rapins
sauraient toujours où ils en sont de l'existence , et ils
ne commenceraient pas le 25 février un tableau qui
doit être terminé, verni, encadré et enlevé le 28 du
môme mois.

Régie générale, la moitié au moins des tableaux
qu'on expédie au Louvre sont vernis eu chemin sur
le dos du cimmissionnairc qui, à l'instar du Juif-
Errant, marche toujours sans s'occuper de ce qu'on
fait derrière lui;

Sauf quand oi. tombe sur un Auvergnat coquet
qui profite de la circonstance pour demander qu'on
lui vernisse ses botté..

A la première minute du premier jour de mars,
le loquet du Louvre est liré et alors les scènes les
plus déchirantes se passent à la porte du Musée.

temps utile, puis ils sont arrêtés au passage par un
portier barbare qui ne veut rien laisser sortir de la
maison sous prétexte que le rapin doit quatre ter-
mes au propriétaire,

Il faut alors qu'il se résigne à faire une exposition
à domicile.
Bildbeschreibung

Werk/Gegenstand/Objekt

Titel

Titel/Objekt
Le salon de 1847 illustré par Cham
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Grafik

Inschrift/Wasserzeichen

Aufbewahrung/Standort

Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Universitätsbibliothek Heidelberg
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES

Objektbeschreibung

Maß-/Formatangaben

Auflage/Druckzustand

Werktitel/Werkverzeichnis

Herstellung/Entstehung

Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Cham
Entstehungsdatum
um 1847
Entstehungsdatum (normiert)
1842 - 1852
Entstehungsort (GND)
Paris

Auftrag

Publikation

Fund/Ausgrabung

Provenienz

Restaurierung

Sammlung Eingang

Ausstellung

Bearbeitung/Umgestaltung

Thema/Bildinhalt

Thema/Bildinhalt (GND)
Satirische Zeitschrift
Karikatur
Salon <Kunstausstellung>

Literaturangabe

Rechte am Objekt

Aufnahmen/Reproduktionen

Künstler/Urheber (GND)
Universitätsbibliothek Heidelberg
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 16.1847, Avril (No. 91-120), S. 357
 
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