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Le charivari — 16.1847

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Juin (No. 152-181)
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https://doi.org/10.11588/diglit.17761#0600
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1res.

Au moment où une foule de Parisiens songent à | Londi
partir pour Bade, pour Hombourg ou pour les Pyré- Les découvertes qui ont pour objet de pourvoir à
néjs, nous leur rappelons que, n'importe la route I un besoin réel sont toujours adoptées avec empresse-
ment, dès que l'expérience en a constaté l'efficacité.
C'est ce qui explique le succès croissant qu'obtient le
Vinaigre de toilette de la Société hygiénique, rue
Jean-Jacques Rousseau, n° S. La toilette réclamait
depuis long-temps un produit qui eût les avantages
de l'eau de Cologne, et qui en même temps fût exempt
de l'action siccative et brûlante de cette eau spiri-
tueuse et de toutes celles qui, comme elle, ont pour
base l'esprit de vin ou l'eau-de-vie. Le Vinaigre de
toilette de. la Société hygiénique n'a pas ces graves
inconvéniens, et à lui seul il possède réunies les
qualités qu'on cherchait en vain dans un grand nom-
bre de ces préparations ; nous ne saurions donc trop
en recommander l'usage aux personnes jalouses de
conserver leur fraîcheur et leur santé.

Depuis que la chaleur excessive rend les salles de
spectacles presque semblables à des étuves, une heu-
reuse spéculation a été tentée à la Porte-Saint-Mar-
tin où la foule se porte chaque soir, Duvelleroy fait
vendre de charmans petits éventails sur lesquels sont
lithographiées les principales scènes du Chiffonnier,
le tout au prix de 25 centimes !

Il va sans dire que, dans son magasin du passage
des Panoramas, Duvelleroy continue à avoir la plus
riche collection d'éventails que puisse désirer les
plus élégantes marquises.

Nous devons mentionner aussi les magasins de la
Ville de Lyon, 2, rue de la Yrillière, où les dames

qu'ils se proposent de prendre, ils doivent préalable
ment passer par la rue des Fossés-Montmartre, pour
s'arrêter au n° k, dans les magasins de MM. Rat-
tier et Guibal. Les touristes trouveront là le choix
le plus réellement complet de tous les articles indis-
pensables en voyage.

Manteaux imperméables, coussins à air, bonnets
de bain, bouteilles de chasse, ceintures de natation.
— Bref, chez MM. Rattier et Guibal, le caout-chouc
a bien prouvé qu'il était parfaitement élastique, car
il y a pris toutes les formes.

Je ne saurais vous dire en quel ustensile, en quel
appareil il ne s'est pas métamorphosé !

Il est cependant un objet que les touristes ne trou-
veront pas rue des Fossés-Montmartre, c'est un né-
cessaire de voyage. En revanche, ils seront servis à
souhait rue de la Paix, chez Tahan, qui, en ce genre,
a de quoi satisfaire les Anglais les plus difficiles, et
ça n'est pas peu dire.

Bon nombre de Parisiens ont encore le préjugé de
croire que Londres a la spécialité des nécessaires de
voyage les plus confortables; cela nous prouve que
les Français n'ont jamais visité le magasin de Tahun,
sans quoi ils auraient reconnu que le célèbre fabri-
cant fait au moins aussi bien que les Anglais. — En
outre, ses nécessaires de toilette, ainsi que tous ses
petits meubles de luxe, ont l'avantage d'être d'un
prix inférieur à tous les objets analogues achetés à

LE CHARIVARI.___MERCREDI !

trouveront en ce moment les étoffes les plus fraîches ,, ,. ,

et les plus jolies à des prix vraiment fabuleux ; nous \0 ^ '3

ne citerons pour exemple que la grenadine que l'on »«E DB c,l0ISSAXT'

trouve à la Ville de Lyon, au prix de 12 fr. 50 c. ]a U

robe ; il en est de même de plusieurs autres étoffes ATOSïES
qui n'en sont pas moins fort belles, quoiqu'à bon

marché. Irc,s mois................

Le joli'journal des dames, les Modes parisiennes, f

obtient un fort grand succès avec sa prime de 1847. jj numéro...............

Cette prime a peur titre l'Encyclopédie des Dames. Labonnemens datent m
C'est un recueil de tout ce qui peut occuper, intéres- ~&'
ser, renseigner et guider une maîtresse de maison On s'abonne : à ^y0^
dans les travaux d'aiguille et dans toutes les petites fcïîSè^ez j
sciences de l'économie domestique. Il était impossi- UCamoin; libr.; à. Roue
ble de concevoir et d'offrir une prime plus agréable [ï£!?dkî.ÏÏS
et plus utile, aussi a-t-elle été accueillie avec une met générales, et chezi t<
faveur particulière.

Le Gérant: léopold pannier.

LES MODES PARISIENNES, ÏÏ^SÏ

pagine. Un riume<o tous les dimanches ; 6"2 magnifiques gra-
vures coloriées dans l'année; 60 patruns de grandeur natu-
relle.—Point de politiq- e ; — beaucoup d'élégance. Essayez S
mois d'jibonuement, 7 fr. Chez Aubert, fondateur du Chari-
vari et de l'ancienne Caricature politique, place de la Bourse.

GLOBULES DE SANTE ^ist

s*ng. ils donnent de l'appétit, facilitent la digestion, dissipent LA fMST

les glaires et font cesser la constipation. La boite de 100 glo-
bules, 3 fr. Pharmacie boulevard S;iint-Den's. 36.

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llitljjlll J.l/11 lemen-, flueurs blanches, bien préférable
au copah j. Faubourg Saint-Denis, 9.

Imprimerie lange lévy et ce; rue du Croissant, 16.

Associations mutuelles pour toute la France.— Capital social ; UN MILLION,

LA MATERNELLE

o^g-ait:g^.tioxt. spécialité.

Cette Compagnie dispose encore, pour quelques arrondissemens, d'emplois honorables et
et lucratifs rapportant chacun annuellement :

Appointemens fixes.......... 1,200 francs.

Remises proportionnelles pouvant s'élever à . . 4,000

Huit primes variant de 2 à 15,000 fr., seront accordées aux huit représentai qui auront
fait le plus d'affaires relativement â la populaiion de leur circonscription. De cette manière, le
représentant qui aura mérité la première prime aura gagné plus de 20,000 f-. dans l'année, et
cslui qui n'au> a obtenu que la dernière n'en aura pas moins gagné plus de 7,00 > fr.

La Compagnie, indépendamment de son administration centrale dont le siège est à Paris,
doit être représentée, dan» chaque arrondissement, par un directeur particulier et un notaire
cho;si parmi les plus haut placés de la localité. Elle compte déjà deux, cents arrondisse-
mens constitués sur ces bases, et un grand nombre d'autres en voie d'organisation.

Chaque Arrondissement doit avoir un Comité
local de patronage. Dans les deux cents Arron-
dissemens déjà organisés, les membres de ce
Comité ont été pris parmi MM.
Les sous-préfets, maires;
Membres des conseils généraux, d'arrondisse-

mens et municipaux ;
Magistrats de cours royales, de tribunaux ci-
vils et consulaires;
Officiers généraux ;
Vicaires-généraux et Curés ;
Supérieurs de séminaires ;
Proviseurs et principaux de collèges ;
Juges de paix ;

Keceveurs-généraux et particuliers des finances;
Ingénieurs ;

Consuls, banquiers, négocians.

Le Comité supérieur de surveillance,
à Paris, se compose de :
MM. M.-F-W. comte de LAROCHEFOUCAULD.
Le duc de RIARIO-SFORZA, colonel, O,

chevali r de plusieurs ordres.
Comte de VaUREAL, O, officier supé-
rieur, chevalier de plusieurs ordres.
Baron de MAUROY, O, colonel d'infante-
rie, chevalier de plusieurs ordres.
J.-C. DUVERGER, ancien sous-directeur

de la marine royale.
VINET, O, officier supérieur, chevalier
de l'ordre des Deux-Siciles.

Cette Compagnie s'abstient de faire le remplacement ; elle se borne à appliquer, sur la plus
vaste échelle, aux assurances militaires, le principe vital et fécond de l'association mutuelle,
combiné avec les avantages de la prime fixe. Comme elle étend ses opérations sur toute la
France, et embrasse dans une même solidarité tous les arrondissemens, elle est en mesure
d'équilibrer les chances du tirage au sort. C'est ainsi qu'elle a pu, en toute sécurité, faire
descendre au minimum le taux de ses annuités, et, par conséquent, faire participer aux bien-
laits reconnus des assurances toutes les familles, même celles qui ne vivent que de leur tra-
vail, et cela au moyen de lentes et imperceptib'es économies. Pour atteindre ce but vraiment ip x •
social, elle a établi rois séries d'associations mutuelles entre tous les enfans que leurs parens Lelegtme constltut
veulent atfranch r du service militaire. Les pères de famille peuvent faire entrer leurs fils dlimonde- nourvu au
dans une de ces trois séries d'associations, depuis l'époque de la naissance jusqu'à celle du » . ', "
tirage au sort, moyennant une prime annuelle qui varie suivant l'âge de la suré; ils teçoi- les tours d'une autre
vent, si ce dernier tombe au suit, uue indemnité plus que suffisante pour pourvoir àsoorem- rapport il p t " t ?
placement. En voici approximativement la proportion : vv > 1 esl sujet a (

Première série. Enfin va pour le n

Celui qui a payé, depuissa naissance, une annuité de 10 fr., reçoit, après le tirage,une in- ten'pst^ i
demnitéae 1,000 à i ,200 fr. CM Pas encore le

Dito depuis l'âge de 10 ans, 10 annuités de 31 fr. > — 1,000 à 1,200 fr. que pourra voyager à

Deuxième série. En aft A t " v

» depuis sa naissance une annuité de 20 fr., — 2,000 à 2 400 fr. "'tendant, aie:

» depuis l'âge de 10 ans, 10 annuités de 62 fr., — 2,000 à 2,400 fr. aence à chauffer sa 1

Troisième série. 'herbier.

» depuis sa naissance, une annuité de 40 fr., — 4.000 à 4,80" fr. | ûleltot sur la V0

» depuis l'âge de tO ins. 10 annuités de 124 fr., — 4,000 à 4,800 fr. m% n'aurions iamais

La prime varie, comme on voit, suivant l'âge de l'assuré, et l'indemnité reste toujours dans ^ . J
les mêmes limites. ; MllUtion prussienn

Les primes se versent entre les mains du notaire de la Société, chargé d'en opérer le place- ft.0n_ j.
ment sur bonnes hypothèques. . . ' un taux nez

Elles ne passent jamais, même momentanément, par les mains de l'Administration. s'es Italiens n'ou

En cas de décès d'un assuré, avant le tirage, les sommes versées sur sa téte sont restituées ^ ,
aux souscripteurs, accrues de leuts intérêts. j lx et ils sont de

'fldrejiRer nour demandes d'emploi et pour tous renseignemens généraux, à M. le directeur gérant de la MATERNELLE, 171, rue Montmartre, à Paris, et pour les propositions d'assurances, peu.

, y rdans (foaque arrondissement, à M. le directeur particulier. — (Toute lettre non affranchie sera rigoureusement refusée.)_ Quoi qu'il en goit '

-----^là-dessuTav!

roideSardaigne, se

;era^ànnstardes

nc(* sardes, florent
e cette nouvelle soi
peut-être ut
J;;8 Orales ne se fo
fusse qui est res,

GARDE NATIONALE DE FRANCE.

A 35

PANTAIONS D'UNIFORME A15 FRANCS.—IIABILLEMENS CONFECTIONNÉS P0DÎ1 HOMMES ET ENFANS. '^ZZ^l

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