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https://doi.org/10.11588/diglit.32875#0100
XCVI
PRÉFACE.
Je termine ici cette trop longue préface. II m’a fallu v
exposer avec quelques détails les dilapidations dont nos
bibliothèques publiques ont jadis été victimes, et la façon,
encore bien insuffisante, dont le malheur a été réparé. Puisse
l’expérience empêcher le retour de pareilles calamités, qui
seraient la honte du pays ! Puisse-t-elle montrer à toutes
les administrations l’absolue nécessité de confier nos dépôts
de Paris et des départements à des conservateurs compé-
tents et exercés ! En même temps que j’exprime ce vœu et
cette espérance, je remplis un dernier devoir en remerciant
cordialement tous les bibliothécaires, bibliographes et biblio-
philes de la France et de l’étranger dont le sympathique
concours a puissamment aidé à faire reconnaître un prin-
cipe qui est et restera la meilleure sauvegarde des biblio-
thèques, des musées et des archives publiques.
PRÉFACE.
Je termine ici cette trop longue préface. II m’a fallu v
exposer avec quelques détails les dilapidations dont nos
bibliothèques publiques ont jadis été victimes, et la façon,
encore bien insuffisante, dont le malheur a été réparé. Puisse
l’expérience empêcher le retour de pareilles calamités, qui
seraient la honte du pays ! Puisse-t-elle montrer à toutes
les administrations l’absolue nécessité de confier nos dépôts
de Paris et des départements à des conservateurs compé-
tents et exercés ! En même temps que j’exprime ce vœu et
cette espérance, je remplis un dernier devoir en remerciant
cordialement tous les bibliothécaires, bibliographes et biblio-
philes de la France et de l’étranger dont le sympathique
concours a puissamment aidé à faire reconnaître un prin-
cipe qui est et restera la meilleure sauvegarde des biblio-
thèques, des musées et des archives publiques.