CATALOGUE
DES MANUSCRITS LATINS
DU
FONDS BARROIS.
GXLIII. Latin 685. (Barrois, 65.)
Commepîtaire sür l’Apocalypse attribué à Richard
de Saint-Yictor.
Fol. 1. « Incipit prologus sententiarum super Apocalipsim.
Accipe, karissime srater, et hoc sententiarum munus quas tibi
de verbis Apocalypsis beati Johannis apostoli et evangeliste fieri
postulasti... » — Fol. 113 v°. <t ... Ut exipsa scilicet benivolentia
provocet ad meliora (vacat : hanc autem visionem iccirco modo
non recapitulamus, quia in sequenti capitulo in generali recapi-
tulatione omnium visionum recapitulandum reservamus). »
Volume en parchemin. 1 13 feuillets. 240 millimètres sur 150.
Écriture à longues lignes, du xn e siècle. — Reliure aux armes
et aux marques de Henri II. La bande supérieure du premier
plat a été restaurée pour faire disparaitre le n° LVIII que le
relieur y avait doré, comme nous l’apprenons d’une note de
Boivin. Voyez l’article VI des Observations sur l’origine de plu-
sieurs manuscrits du fonds Barrois sles Manuscrits du comte
d’Ashburnham, p. 67 et 68). — Sur la dernière page, on a cru
pouvoir cacher les traces de l’ancienne estampille en y traçant
à l’encre un médaillon qui contient deux DCI entrelacés et ados-
sés, comme il y en a sur les plats de la reliure.
DES MANUSCRITS LATINS
DU
FONDS BARROIS.
GXLIII. Latin 685. (Barrois, 65.)
Commepîtaire sür l’Apocalypse attribué à Richard
de Saint-Yictor.
Fol. 1. « Incipit prologus sententiarum super Apocalipsim.
Accipe, karissime srater, et hoc sententiarum munus quas tibi
de verbis Apocalypsis beati Johannis apostoli et evangeliste fieri
postulasti... » — Fol. 113 v°. <t ... Ut exipsa scilicet benivolentia
provocet ad meliora (vacat : hanc autem visionem iccirco modo
non recapitulamus, quia in sequenti capitulo in generali recapi-
tulatione omnium visionum recapitulandum reservamus). »
Volume en parchemin. 1 13 feuillets. 240 millimètres sur 150.
Écriture à longues lignes, du xn e siècle. — Reliure aux armes
et aux marques de Henri II. La bande supérieure du premier
plat a été restaurée pour faire disparaitre le n° LVIII que le
relieur y avait doré, comme nous l’apprenons d’une note de
Boivin. Voyez l’article VI des Observations sur l’origine de plu-
sieurs manuscrits du fonds Barrois sles Manuscrits du comte
d’Ashburnham, p. 67 et 68). — Sur la dernière page, on a cru
pouvoir cacher les traces de l’ancienne estampille en y traçant
à l’encre un médaillon qui contient deux DCI entrelacés et ados-
sés, comme il y en a sur les plats de la reliure.