REYNOLDS ET SES DOCTRINES
SUR LA PEINTURE
Le nom de Reynolds est aujourd’hui plus que
jamais connu en France. Depuis l’époque où fleurit ce
grand peintre il n’a jamais cessé de l’être ; mais le
grand succès qu’obtiennent aujourd’hui ses ouvrages
et tous les tableaux de l’école Anglaise en général, est
cause que plus personne ne l’ignore aujourd’hui.
Ce qu’on sait moins communément, c’est que Rey-
nolds n’a pas été seulement un peintre de grand mérite,
et que ses écrits sur l’art sont aussi dignes d’éloge
que ses peintures. La collection des discours prononcés
pendant vingt ans par ce maître illustre à ΓAcadémie
de Peinture de Londres, compte au nombre des ouvrages
les plus intéressants et les plus profonds qui aient paru
sur la matière.
Chez beaucoup de ses confrères du xvme siècle (que
cette comparaison ne doit pas rabaisser), on trouve
Conférence donnée à la Société de psychologie, 1908.
Les écrits de Reynolds ont été publiés complets par Malone,
3 vol. in-8° Londres, 1809; en traduction française par Jansen,
bibliothécaire de Talleyrand, 2 vol. in-8°, Paris 1806. Des inédits
ont été donnés par Cotton : Reynolds and his ivorks, in-8°, Londres
1856, et Notes and observations on piciures of the Venetian school,
in-8°, Londres 1859. D’autres parties de manuscrits figurent dans
la préface de Malone à l’édition de 1809 et dans Supplément aux
Mémoires sur Reynolds, régulièrement joint à ces mémoires publiés
par Northcote, in-4°, Londres, 1813. J’ai donné une traduction
nouvelle : Discours sur la peinture et Voyages pittoresques, in-8°,
Paris, Laurens, 1909, et traduit un inédit : De la direction des talents,
Mercure de France. 1912.
SUR LA PEINTURE
Le nom de Reynolds est aujourd’hui plus que
jamais connu en France. Depuis l’époque où fleurit ce
grand peintre il n’a jamais cessé de l’être ; mais le
grand succès qu’obtiennent aujourd’hui ses ouvrages
et tous les tableaux de l’école Anglaise en général, est
cause que plus personne ne l’ignore aujourd’hui.
Ce qu’on sait moins communément, c’est que Rey-
nolds n’a pas été seulement un peintre de grand mérite,
et que ses écrits sur l’art sont aussi dignes d’éloge
que ses peintures. La collection des discours prononcés
pendant vingt ans par ce maître illustre à ΓAcadémie
de Peinture de Londres, compte au nombre des ouvrages
les plus intéressants et les plus profonds qui aient paru
sur la matière.
Chez beaucoup de ses confrères du xvme siècle (que
cette comparaison ne doit pas rabaisser), on trouve
Conférence donnée à la Société de psychologie, 1908.
Les écrits de Reynolds ont été publiés complets par Malone,
3 vol. in-8° Londres, 1809; en traduction française par Jansen,
bibliothécaire de Talleyrand, 2 vol. in-8°, Paris 1806. Des inédits
ont été donnés par Cotton : Reynolds and his ivorks, in-8°, Londres
1856, et Notes and observations on piciures of the Venetian school,
in-8°, Londres 1859. D’autres parties de manuscrits figurent dans
la préface de Malone à l’édition de 1809 et dans Supplément aux
Mémoires sur Reynolds, régulièrement joint à ces mémoires publiés
par Northcote, in-4°, Londres, 1813. J’ai donné une traduction
nouvelle : Discours sur la peinture et Voyages pittoresques, in-8°,
Paris, Laurens, 1909, et traduit un inédit : De la direction des talents,
Mercure de France. 1912.