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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 1.1868

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https://doi.org/10.11588/diglit.3702#0057
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cœut'O « Une fois, je perdis ce meuble chéri, j'errai par les rues !»
(Notre auteur se lève et fait le tour de la table.) « Enfin, une affiche
« frappa mon rayon visuel ! » (U prend une affiche et la parcourt
des yeux.) « Il a été trouvé un parapluie rouge, on le remettra à
« la personne qui en désignera la couleur.,, sauvé, mon Dieu I
a j'avais retrouvé Théodore!... Théodore, c'est un nom d'amitié
« que je donne à mon pépin... » (A cet endroit Vauteur embrasse le
parapluie, puis reprenant la lecture de son œuvre.) « Il me semble
« avoir entendu marcher,., la nuit est venue... » (Le vaudevilliste
baisse religieusement le qûinquet de service.) « J'aperçois un homme
« dans la pénombre.... Ah! un revolver brille à son poing...
« pan!... (Aussitôt Ml Wbs henard prend de la main droite un pis-
tolet sur la tablé et fait feu ; de là main gauche il ouvre rapidement le
parapluie, s'en fait un bouclier, et tombe à genoux en criant : « Théo-
« dore ! Théodore ! je te dois la vie iît,. »

Inutile d'ajouter que, dans la chaleur de cette lecture en ac-
tion, l'eau sucrée se renversé, le verre se brise et la table dégrin-
gole dans l'orchestre ; mais 1 acteur chargé de jouer GrapiIJard a
tout de suite vu les effets de son rôle.

Si M. Renard n'a pas conservé le monopole de son procédé,
pourquoi n'en userait-on pas ? iQue de lectures y gagneraient?
Justin Langlois.
(A siïirre.)

M. ffill ARAGO ET LE THÉÂTRE-FRANÇAIS

Les hommes qui croient au progrès reprochent avec raison aux
Retours du Théâtre-Français leur obstination déplorable à rie
jotifêr que dos œuvres ëôiléàrdines, Layaques ou D'oucc tiques, t â
repousser invariablement les pièces originales des auteurs jeunes
et nerveux! Ils s'étonnent — et nous les approuvons fort — que
dés acteurs intelligents s'éternisent dans la tradition, raciriienne;
tl'invention pauvre, de forme terne, de tempérament chloro-
tiqiie. Ils croient — et nous le croyons aussi — qu'on pourrait
servir des mets plus substantiels et des cordiaux plus généreux
que les racines de guimauves, la moelle de sureau et l'eau pa-
née qui figurent a peu près exclusivement sûr là carte des comé-
diens de la rue Richelieu^. Mais, tout en formulant ces plaintes
légitimes, ils sont les premiers à rendre justice au talent conscien-
cieux, chercheur, savant et perpétuellement soucieux de l'art
immortel que déploient — malgré leurs attaches inébranlables à
la tradition — les pensionnaires du Théâtre-Français.

Gar ils savent bien, eux qui croient à l'avenir, et qui par con-
séquent espèrent, ils savent bien, ctis-je, que le jour où les doc-
tes artistes secoueront la chasse de plomb du passé et briseront
les menottes de la convention, c'est d'eux que nous viendront les
grandes créations sublimes qui conquerront nos esprits et nos
âmes; qu'aussitôt que la lumière se sera faite rue Richelieu sur
tout le rococo des formes du dix-septième siècle, et qu'on y aura
compris qu'à une génération nouvelle une langue nouvelle est
nécessaire, c'est la que nous irons chercher les émotions les plus
profondes et les plus chères révélations.

Aussi la singulière persécution qui frappe les acteurs du Théâ-
tre-Français nous a-t-cllc douloureusement surpris. Le ministère
des Beaux-Arts vient de leur défendre de jouer dans les salons et
sur les scènes particulières.

Le jugement a été rendu sur le réquisitoire de M, Etienne
Arago, critique patenté, comme chacun sait.

Oui, M. Etienne Arago !

Tout le monde le connaît. Son nom a été souvent prononcé
quand il s'est agi de liberté ; sa vie est une longue chaîne d'ac-
tions honorables et courageuses. Quelques enthousiastes, embra-
sés d'une admiration inconsidérée, — à mon sens, — ont même
dit qVil avait sauvé la République en 1848 : ce que je ne com-
prends pas fort bien, les niais attribuant d'ordinaire ce genre
d'honneur au Cygne à la Tirelire.

Et c'est après cette longue existence, longuement et magnani-
mement employée, que M. Etienne Arage commet cette étourde-
rie enfantine en contradictien flagrante avec son passé tout en-
tier", c'est du haut de VAvenir national, feuille libérale, démocra-
tique, progressive, sous les yeux de M. Peyrat, honnête homme,
ami de l'indépendance, qu'il conseille des tracasseries mesquines
et des despotismes lilliputiens, — qu'il vient proposer qu'on
empêche ces artistes cle faire leur œuvre et de vivre comme ils
le veulent.

Etourderie, je le répète, étourderic capricieuse, que le minis-
tère des Beaux-Arts a été beaucoup' trop prompt à satisfaire et
qui indique un manque de suite dans lès idées d'un homme ho-
norable.

M. Etienne Arago, que nous pensions' moins bien en cour, n'a
qu'un moyen de réparer sa faute, c'est d'attaquer le décret réac-
tionnaire jusqu'à es qu'on l'ait rapporté. Je ne doute pas que le
ministère des Beaux-Arts ne fasse droit aux réclamations de ce
critique influent qui tient en ses mains les destinées de nos
théâtres.

Eugène Vermesch.

Il»

LE PRINTEMPS & LA COMPAGNIE DES INDES

Pour toute personne connaissant le magasin privilégié cle la
rue de Grenelle-Saint-Gcnnain, n° 42 , notre titre n'aura rien
d'étonnant, car il est facile de croire à une gracieuse associa-
tion, entre la saison des fleurs et cette Gompagnie; c'est à qui
des deux rivalisera de grâces et de charmes, et toutes les bran-
ches de roses, d'œillets, de tulipes et de pâquerettes du prin-
temps ont l'air d'avoir été jetées ça et là, sur les étoffes de
aux nuances fraîches et multiples qui couvrent les comptoirs
de la Compagnie des Indes. Je parle avant tout des semis de fleurs,
parce que la saison est aux bouquets, mais combien je pourrais
vanter aussi les Foulards unis, et les Pékins de deux nuances,
qui font des costumes d'un goût adorable.

La chaleur extraordinaire arrivée tout d'un coup, et sans crier
gare, n'a pas surpris la Maison d'élite dont nous parlons : elle

est toujours prête à tout événement, et de tous les costumes de
coursés 'àî de bois qûî faisait libres dimanche dernier, elle à le
droit de revendiquer une bonne part, elle vient d'ailleurs de don-
ner une preuve do loyauté qui montrera aux plus envieux qu'elle
ne veut emprunter sa réputation et ses succès qu'à elle-même : au-
jourd'hui, toutes les robes sortant de la Maison doivent porter
aux extrémités de la pièce un 'cachet avec ces mots ; Compagnie
des Indes, 42, rue de G-renelîe-Saint-Germain.

Les costumes écrus sont très en faveur cette année, et je vous
dirai que, pour ma part, j'ai eu à choisir parmi neuf nuances
écrues, de différents tons ; tout est à l'avenant comme profusion
dans le magasin, et les étoffes aux mille nuances y suivent fine
véritable gamme, depuis la note la plus accentuée et la plus
grave, jusqu'à la plus pâle et la plus douce. Je n'ose pas dire
que cette Maison d'élite est arrivée au dernier mot de la per-
fection, car elle s'empresse de vous donner à ce sujet les dé-
mentis les plus hiiraculèux; mais je crois pouvoir affirmer que
jamais succès ne fût plus' grand et moins contestable.

Comtesse Jeanne,

GAZETTE A LA MAIN

C'est la semaine funèbre ! On a fermé les tabernacles, les clo-
ches viennent départir, l'image du Christ est voilée! LeGolgotha
étend son ombre sur la ville! Stàbat mater aolorosa! — Les ge'ns
qui font leur religion commandent qu'on attèle pour Longchamps
et que l'on touche aux Italiens, afin d'y retenir une loge de bal-
bon pour le concert spirituel du soir...

C'est la semaine où l'œil et la défit vOnt des œufs rouges de la
Halle aux nonnettes de la foire du Trône et des bouchées à la Veuil-
lot — truites et truffes combinées — cle la Pâtisserie-Orthodoxe aux
jambons de Lorraine, d'Yorlq de Wcstphaliej aux mortadelles, de
de Bologne et aux saucissons de Lyon du Congrès international de
la charcuterie ■— au bbûle'vard Bourdon...

Hier, j'ai rencontré une jeune et jolie comédienne qui passe
pour douée d'un grand fond do piété...

Elle sortait du cabaret et avait X... sous le bras, vous savez
bien, X..., le Vaudevilliste aux Camélias...

Pendant que ce loret célèbre entrait àchétc'f un cigare, j'ai in-
terpellé sa compagne : _

— Comment ! vous avec ce m...ohsîeur!... Et un Vendredi-
Saint encore,!...

La belle fille m'a répondu en souriant :

— Depuis quand le poisson n'est-ll plus ùrf plat mitigée ?

C'cèt là seriiaine bù. l'on peut voir, dans les avenues des
Champs-Elysées, de l'Impératrice et de la Muette, quelques cali-
cots secoués par des Rossinantes de manège et nombre de voitures
de marchands do mort-aux-rats et de marchands de mort-aux-
hommes...

L'insecticide-Vicat! L'inscctlcidc-Cdral

En vérité, je vous le dis : il n'y a plus que les modistes d'Epi-
nal, les couturières de Concarncau pour croire à ce défilé annuel
de Gaudissart, de Burnichon et de Mlle Keller!...

Donnons un renseignement précieux à ces Laure départemen-
tales, à ces Worth de la province :

Les femmes ont — décidément — remplacé les rubans longs et
étroits, qui leur voltigeaient dans le dos, par de larges ceintures
dont les bouts évasés flottent clés hanches sur le fétriur...

Le Suivez-moi, jeune homme! est mort...

Vive le Fincez-moi, jeune homme I

* *

C'est la semaine — enfin — où les artistes dramatiques profi-
tent du seul jour de congé dont ils jouissent dans l'année, pour
se livrer, dans la banlieue, à des ripailles désordonnées...

Le» Féeries de Castellano

En ce temps-là, Castcllano présidait une table de comédiens,
et, d'après une convention due à sa diligence, tout convive qui
des radis à la salade, était atteint et convaincu d'avoir causé
boutique, lisez théâtre, ou dit du mal d'un camarade, se voyait
frappé d'une amende dont le chiffre variait de dix sous à dix francs.

Au bout de six mois, la société avait en caisse une somme folle.

On décida que cette somme serait mangée le Vendredi-Saint.

Dès le matiiij les sociétaires se réunirent au Café de l'Am-
bigu.

Castcllano s'était institué l'ordonnateur de la petite fête et en-
gagé — sur l'honneur — à satisfaire à tous les désirs de ses ad-
ministrés,,.

*

* *

— Voyous, mes enfants, où allons-nous? demanda-t-il.

— Parbleu 1 à la campagne, lui fut-il répondu d'uno seule
voix.

— A la campagne, à la campagne, c'est bientôt dit, maugréa
Gil Pérès; mais comment irons-nous à la campagne? A pied, en
omnibus, en fiacre, en chemin de fer? Quelles rengaines!

— Tu voudrais peut-être y aller en break? lit quelqu'un.
■— Avec quatre chevaux I

— Deux postillons I

— Des fouets, des grelots, des rubans!

— Tiens, pourquoi pas? riposta Gil Pérès.

— Écoutez! dit Castcllano.

Des fouets claquaient, — des grelots tintaient, — des chevaux
piaffaient...

Chacun se précipita vers la porte...

Un superbe break attendait sur le boulevard. Ses quatre che-
vaux faisaient feu de tous fers. Leurs colliers carillonnaient avec
rage. Ils avaient de grosses touffes de rubans aux oreilles, et, sur
le dos, des postillons à la culotte de peau, aux bottes fortes, au
chapeau galonné et au fouet tapageur,..

On s'étagea — avec une clameur de surprise et de joie — dans
le confortable équipage,..

Un des postillons interrogea :

— Quelle route, nos bourgeois?

— Choisissez ! fit Castcllano.

— Toujours tout droit ! cria Gil Pérès.

Depuis une heure, les chevaux volaient hors de Paris. Le sable
du chemin étineelait, bruissait, tourbillonnait sous la morsure des
roues rapides. Les comédiens, emportés par l'ivresse de la cour-
se, battaient des mains et poussaient des hourras...

— Bah ! murmura Gil Pérès, ce serait bien plus amusant de
verser,

— Postillons, versez! commanda Castellano.
Patatra !

En un clin d'œil, voiture, botes et gens, tout s'étale dans la
poussière !...
On se relève, — on se tâte, — personne n'a de mal...
Mais une roue du break est brisée.

Voili nos compagnons à travers champs — à la recherche d'un
village, d'un charron, d'une auberge.
On marche, — on marche, —- on marche..!
Il fait faim, — il fait soif, — il fait soleil...
Jugez si Gil-Pérès est accablé de malédictions...

— Ah ! soupire le comique du Palais-Royalj c'ëëfc nioi qui vou-
drais bien tenir une ferme!...

Castellano étend le bras...

Un toit émerge d'un pli de terrain...

On s'efforce, on se bâtfe et l'on arrive à une bicoque d'un si
misérable extérieur. Qu'une grimace de désappointement con-
tracte toutes les figures...

-^ Eh bien, bourreau, es-tu cdntènt? demande Machanette à
Gill. j.

— Je le serais b'ien plusj réplique celui-ci, si j'avais de quoi
déjeûner.

Au même instant; un maître d'hôtel, — la serviette au poing,
— apparaît sûr le seuil de la bicoque :

— Ces messieurs sont servis.

, ,. A l'intérieur, en effet, une table est dressée, — couverte
d'argenterie, de cristaux, de flacons et de succulentes victuailles.

Gil-Pérès saute sur son couteau et se précipite vers un pâté...

— Tu n'as plus besoin de rien? questionne Castcllano impas-
sible.

■— Ma foi, non... Ah ! si fait I il y a mes bottes qui me font un
mal \'.'•'.

Ce disant, il décalotte le pâté, fourre impétueusement sa four-
chette dedans et en retire...

Quoi ?

SES PANTOUFLES.

Note du rédacteur. •
diens d'être d'accord.

■ J'ai toujours soupçonné les deux comé-

IVoe Ancêtre», à In Por-te-Saliit-USartln

Quand un poète s'embourbe — de gaîté de éœur — dans les
petites finasseries de la comédie contemporaine, il ne ressemble
pas mal à un aiglon qui se serait laissé choir au milieu d'un
marais...

Félicitons Amédée Roland d'avoir — enfin — repris son essor.

Son drame est le tableau des luttes soutenues par la paouregent
des villaiges et des mestiers contre les bulgraves-bandits et
sUzerains-cerviers du onzième siècle, — luttes désespérées, hé-
roïques, sublimes, qui, après moult chair saignante endoloryc et
déchieguetée, aboutirent à l'establissement de la Commune en France
et au triomphe — momentané — du Droit opprimé sur le Fait
oppresseur.

Louons — sans restriction — le poète de cette vaillante réhabi-
litation des aïeux! Louons-le de son patriotisme généreux, de son
talent viril, de son vers lumimineux, sonore et cornélien. Louons
davantage encore le directeur qui est revenu à de telles œuvres
et le public qui s'est remis à les comprendre..,

Mais louons surtout les artistes : Laray, Charly, Montai, An-
tonin...

La critique les avait jusqu'ici quelque peu traités comme des
serfri —tailiables et corvéables à merci...

Lcurjacquerieestiaitc.il faudra désormais que l'on compte
avec eux. Les Hélisand du journalisme ont été vaincus samedi par
ces Marcus-Fabcr de la Porte-Saint-Martin.

Llbi'Hlrle Internationale

M. Robert Hait a eu le rare bonheur d'accuser — dès le début
— sa personnalité littéraire.

Lacure du docteur Pontalais fut beaucoup lue, voire même un
tantinet discutée, — privilège des œuvres hardies et originales

Madame Frainex ne sera pas moins remarquée. Il y a là dedans
un intérêt puissant, une vérité impitoyable, une observation qui
ne s'arrête point à fleur de peau. M. Robert Hait est Un anato-
mistc autant qu'un peintre. Sa plume d'acier est faite d'une b-u
bc du scapel de Balzac,

Si vous aimez — maintenant — les aventures, le mouvement,
quelques belles horreurs, achetez la Confession du Gaucho, de Fé-
licien Maïlefille...

Vous y tronverez tout cela, rehaussé par cette préoccupation
constante du style, qui distingue l'auteur de tant de volumes
excellents, de tant de pièces applaudies.

Une jeune et charmante étourdie, très connue dans le monde
par une ingénuité qui n'est pas toujours sans malice, entre dans
un salon où se trouvait, entre autres, M. Crémieux. On parlait
des saisons; l'une préférait l'été, à cause du soleil, des eaux, de"
la campagne ; l'autre vantait l'hiver, ses bals ou ses soirées.

— Ah ! hiver ! fi l'hiver ! s'écrie la nouvelle venue , moi , je
l'exècre : il est si laid !

Puis avisant M. Ci'émieux, elle prend un petit air tout confus,
te ajoute :
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