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Gazette ou Journal universel de littérature — 1778

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[No. 11 - No. 20]
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https://doi.org/10.11588/diglit.25799#0092
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SS

comme tes (avans qui dans te XVtlIhécte,
ont rendu à l'humanité tes (ervices tes ptus
etîen.icts : sur tout (i , comme on te (Lup-
poline j & comme on a de (i forte raisotis
de s'en douter , ( ékéhicitë mieux connue
devient sune des branches tes ptus sùres
& tes p!us fto istantes de ta Medeeine. S'il
arrive, comme it c(l très postibte, que tes
ettais d.s Phisiciens & des médecins , tes
conduiscnt à des découvertes, non-seulement
sur tes moyens de guérir certaines matadies,
mais encore retativement au grand (ecret de
protonger ta durée de ta vie, on en sera rc-
devabte à t'éteélricté. Or it n'y a rien dans
tout eeta d'absoiumciit impotlibie. Les jeunes
éiéves qui se (ont ditiingués dans cet exer-
cice, au Coitége de Ctémonc, ont suivi toutes
tes découvertes qui ont dé faites jusqu a
ce jour, retativement au pticnomene de t'é-
ieéfrii.ë, & ce programe fait i'étogede
teurs tatens, 5C du rare mérite des profes-
(eurs (bus tcsqueis iis (e sont formés.
Sygo^/7y prg.xcM Mcaû'r<2, &c. c'cti-a dire,
g7 Asétéccrnc prgs/^gc ; rsivr/ë tra
a pg.-ci'cy, /g re pré/ditu;:; gg coup g'tsr/ g'cy
glg/gg'iry , & /s iz rg^éçgggr IM
rgz/'A'cgry rcgu7cy , uvee Mtr com.wnrgr'cc pzr-
pdi/e/ & gg perd crg/cé dey gébgcgs &' de
Vu ù'c. Tr^dast dg ErggyoD, de M.
Joseph Lieutaud 5cc. A Padoue 1777 a. tom.
in 4'. I.e mérite de ce grand ouvrage ed
connu. On t'avoit déjà traduit en Latte, où
ii en a été pubtié ptusiems éditions. Ceite-ci
t'emporte (ans contredit, non seuicmcnt pat
ta beauté de {exécution typographique ,
mais ansti par tes savantes notes & tes bon-
nes observat ons dont ette e(l enrichie. On
tira sur-tout avec un étonnement méte
d'horreur ta ie. parue ; cette qui preserite
un coup d'oùt rapide & eiirayant de toutes
te: diverses maladies qui assxiitent l'huma-
nité. Rcprésentez-vons Adam transportë par
l'Arme exterminareut sur !a cime de cette
momapne, où Mitten le supp.-se, g: tatous
les individus des generations futuics ras-
sembtés sous tes yeux du pere commun des
hommes, & tous gémiilam, tourmentes, cha-
cun par une différente matadie. Le speélacte
de cette le. partie esf ptus cuet encore, car
aux douleurs que (buffrent tes matades , n
joignent encore te dégoût & l'horreur quins-
pirent tes remedes, & puis les raitons ac-
cablantes des Médecins , puis les opéra-

tions des chirurgiens ! Scc. &c. Ce qui con-
(ote un peu , c'cit ta cerrirude qu'on donne
dans ia ze. partie de t'cÆcacitë des remè-
des ; certitude dont nous n'avons g.irde de
douter, quoique nous ayons matheureuse-
ment eu ptus d'une occation de nous mé-
tier de cette divine eSicacité.
Orgr.'o ég^gée &c. c'c(l-à-dire , Dé/-
cogry progogeé gg gzcD 7e Jgr7/et g'crgrzr,
pgr M. Atoysìus Cremare , Pro/zj/cgr eg
gbo/t rrbg.vtz/ , g C occgyipg 7g Docîfccgr covpé
à Madame Marie Amoretti,. 7gnr /e Co/Ayg
Royai. A Cavie, 1777. Le sujet de ce dis-
cours ed singutier & très intéredaut , i'O-
rateur y fait i'ëioge mérité de ta jeune ,
aimabte. & très (avante Madame Amo-
retti , qui (outint pubiiquement des Theses
dans cette Univcrsité , sur ie droit civii 5c
le droit canonique, y dibit un rigoureux
examen , & répondit à tous ceux qui étoient
entrés en tyce , de la maniere ia ptus (a-
tisfaisante.
FRANCE.
L'orégigs 7cs Grgcyy , ;7gr 7rsg7<rgzo//zV!:
D. . . . A PgrD, 1777. M S". Avec six bet-
tes gravures de MM. Saint Aubin, Simoner,
Née , Masqueiier, de Launay 5c Monet, sut
tes dciiins de M. Cochin.
Des tabteaux riants, des images Tarises,
ptu: de (entimens que de pcnsêes , ptus de
déticatesle que dcsprit; tettes sont tes qua-
tités qui dominent dans ce po'c.me en proie,
divisé en cinq chants. On 'dit que ['Auteur
eti une jeune perdu,ne égatement favorisée
partes Graces 5c par tes Muscs. Sieticsne
tui ctir pas toujours inspiré des idées neu-
ves, ettes ont dumoins veitté sur te choix
de cedes que tes Pcëtcs de ['antiquité tui ont
fournies. Voici te pian de ce poëme.
Venus occupée des ptaisirs que!!: vient
de goûter dans tide de Cyrhere, est con-
duire par tes cygnes dans un Tatou déiieieu:
de t t(!e de Nicee ; ette y rencontre un Ber-
ger qui apres avoir été ëtevë pat tes Mutes ,
a etc choid par Apoiion, pout être te Pcc.e
de (bn tempte. La Décdc (eduite par ses
chants 5c par tes sous que sa iyre rend sous
ses doigts, te comb'e de ses faveurs.
Charite, c'ett tenoni du Berger, ptus
beau, ptus chéri de ta Déede que ne te fut
jamais te bet Adonis, l'invite à adider à lî
 
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