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Gazette ou Journal universel de littérature — 1778

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[No. 41 - No. 50]
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https://doi.org/10.11588/diglit.25799#0405
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g^r-ZEITJE Os /OCTREE JDE Z/rrsR^rt/RE. 4iy

sa traduction , ce que M. l'Abbé de Rey-
rac en avoit emprunté. Dans le premier
chant M. l'Abbé de R- rappelle les
fêtes, les vertus qu'il a célébrées ; c'eA
une Dite de tableaux, dans lesquels
le Poète s'eA ménagé des opposions
qui font mieux reilortir les peintures :
nous ne rapporterons que les deux Di-
vans.
<c J ai célébré Dulement les fêtes bruyan-
tes & inlenlees des Corybantes inAitu-
teurs de Jupiter. J'ai repréièpté l'ivreAe
pétulante & les fureurs des prêtredes
du vainqueur de Finde ; les Bacchantes
edrénées, la tête échevelée, l'œil ar-
dent, égaré, la bouche écumante &
toute en feu, le thyrD en main, frap-
pant du pied la terre , D heurtant avec
violence, courant ça & là dans les bois,
Dr les rochers & les montagnes, dont
les concavités retentislent de leurs cris
Duvages, & animent leurs orgies tur-
bulentes par le Dn des cymbales & par
des hurlemens affreux.» Voici la tra-
duction.
Qzzi pgvczc yovezzz di<Aei mozzziz M gzzZzo
7dg<?s7zzz.z zp/ggoz cozyAggZM,pcPgyzzcyicvzg
Nozzidg dc7iciiz cccigi, pgrizczyzzc yi^regzcz
Æ%/'M PAyzyo vqiigig PgccAgz;
CzigiAgz inco7zzpri.i', zgzi7ggz vgjg 7nzgigg ^a77zm.z,
Crg voz/zz/zzz zyzz^j^pzuTzz^Kt; zgz?zczzziAzzzg7AcgZ,
ycrrg gzgvi pcde pzzT/gzzzz, cAozizygc zqzz7zgzp
^gxg per & zzzozzzcz , per /jdvgz zzzzdiyzzc zgggno
Tzzzpczc conczzrzzzgz y zgeiez c7gyzzozz'7zzz Æc7zo
Æzzzg7gzc/pozz/gzi Aczccy/zzAig cy'7zzAg7g cizczzzg
Algzzzzzzzc zczziFco yzzgzicgzcz , ozjig PgccAi
PxZÌzzzg7gzzZcyëro cc7cAzggz yd7czzzzzz'g cgzzzzz.
Ce morceau eA Alivi du tableau tou-
chant de la mort d'Orphée par les bac-
chantes. Nous ne rapportons point le
texte qu'on peut voir dans l'ouvrage de
M. de Reyrac.
PzoA do7oz7 Tddzzc/co rç/êregz , wi/czgAiz'iz Or-
spAezz 7
Qzzid zzzodô K /zzgjzzo $zzidiz gspo77izzc gg/cz ?

<2"7d dz.'7ccz zepzo gzodg7ggZczzz pedine cgzzzzzy
7œggzzgzpcgcZzg/7cdogzozi Qgidcgrmigc A7gzzdo
F/yzyzzz'zzgyrzezzgvy/Tè cizo 7gAcgzig czzzyizi
Qz/id zgAidgz zzzg7/zyè typzcz,yà:vozyzzc 7cogcz
î /eßere 1 Qgid PAodopcz ggzizzzz dzzeeze ygczczzz ?
7 ygi/czgzzz Æzzryeizceyyz po/?ygg/g zzAz ydzg zzz-
ierzzzzZ
Zrzvidg, zzee ziAi /zzzzz Pczzcriz conzzgAig czzzzs y
PgccAggzgm, izz/c7ix, cgdiz, Aezzj cgdiz ip/è
^zzreyzZzz/g
Pzzcdg Zyjzcz vc/zzzi /zcgdcnZcz yyzzzry7zzzre, vo7-
vzzgz,
F/gz7Z7yzg7zzej occg7oz, zgpiggzdFcczpZgyzzc/gzè
AAzzzAzg per gzvg zrgAzzzzz ^ cgpgz à cervice re-
vgT/zzzzz
F7gi7i7gzgZZogiziz porZazz^ zcaprzzzj AeArzze
Czzyyz rzzzZ pgzidiccg Zzza vox & 7z'zzpzzgg
^d/z/ cgzgzzzpgridiccg, gyzzyyza F^iezzZe vocgAgZ".
pgridirczz zozo re/êreAazzz F^zzzizze ripez,
Cozzzez & îVoaveiiez. Far M. Willernaitt
d'Abancourt. Avec cette Epigraphe :
&zzzZ verAg & voces, przEZcreo^zze zziAi7,
A Pgriz 1778.
Cette Epigraphe eA aiTurément bien
modeAe. Il y auroit trop de ievérité à
la prendre tout à Dit à la lettre ; quel-
ques-unes de ces nouvelles D Dnt lire
avec plaiAr ; mais en générai le coloris
en eA foible , & l'intérêt médiocre.
Celles où l'Auteur a voulu attendrir Ds
leéleurs, ne les conduisent point juD
qu'à i'attendrîAément ; & celles où il a
prétendu les égayer , n'ont pas Duvent
un Dccès plus heureux. Le Ayle de M,
d'Abancourt ne manque pas de clarté
& d'une certaine Dcilité; mais il n'a ni
force, ni élégance Dutenue, & l'on y
voit à chaque inAant des disparates D-
tigantes. On trouve dans un Djet paF
toral ?g y?"f^izc & 7g AgrAgric yzzi g^tyc/izzz-
ri^ezzz 7czzr yogp odiegx /zzr 7c zzzc/zdc czzyc'vc7z
dggz 7cz rczzcArcr de 7°ipgorggcc. Et une jeune
Bergere qui Ayspend par 7g zzzc'7odic & /c^-
gccordz, les travaux champêtres jtp-
zzi/Zzcz /zéies A éc'/i-z. Cette dentiere idée*
 
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