Gazette des beaux-arts: la doyenne des revues d'art — 3. Pér. 15.1896
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https://doi.org/10.11588/diglit.24681#0332
DOI issue:
Nr. 4
DOI article:Tourneux, Maurice: Jean-Baptiste Perronneau, 3
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JEAN-BAPTISTE PERRONNEAU
315
Coudrail m’afflige beaucoup; j'espère qu’il s'en tirera. A Dieu, monsieur et
vraie amy, je ne veut point vous importuné; je dessenderay vis-à-vis
Sainte-Croix, l’auberge ou demeurait M. Huquier, et j'aurai aussitôt le
plaisir de vous assuré du respect de la reconnaissance constante avec
LE MARQUIS DE PUEXTE-FUERTE, PAR PERR ONNE A U
(Appartenant à M. Paul Sohège)
la quelle je suis, monsieur et amy, votre très humble et très obéissant
serviteur.
A Paris, ce vendredi.
(1772)
J.-B. PERRONNEAU.
Une nouvelle lettre, écrite quelques jours plus tard, confirme
315
Coudrail m’afflige beaucoup; j'espère qu’il s'en tirera. A Dieu, monsieur et
vraie amy, je ne veut point vous importuné; je dessenderay vis-à-vis
Sainte-Croix, l’auberge ou demeurait M. Huquier, et j'aurai aussitôt le
plaisir de vous assuré du respect de la reconnaissance constante avec
LE MARQUIS DE PUEXTE-FUERTE, PAR PERR ONNE A U
(Appartenant à M. Paul Sohège)
la quelle je suis, monsieur et amy, votre très humble et très obéissant
serviteur.
A Paris, ce vendredi.
(1772)
J.-B. PERRONNEAU.
Une nouvelle lettre, écrite quelques jours plus tard, confirme