LA PEINTURE FRANÇAISE A L’EXPOSITION CENTENNALE 303
scrupule infini, l’inquiétude et le tourment religieux de son obser-
vation, où le sentiment de la beauté des formes individuelles, le
respect de la vérité physionomique des « êtres qui ne pensent pas,
mais qui nous donnent à penser », se synthétisaient dans la « grande
LE MANOIR DE BEAU NE -LA-ROLANDE, PAR COROT
(Collection Sarlin.)
harmonie » des modes lumineux. C’est par eux que le paysage semble
s’éclairer ou se voiler de nos propres pensées, s’égayer tour à tour
et s’attrister, et que se dégage de l’impassible architecture naturelle
cette « composition » qu’il définissait d’un mot admirable : « ce qui
est en nous entrant dans la réalité extérieure des choses. » On y
peut voir aussi comment, sans rien sacrifier de ce que lui avait
scrupule infini, l’inquiétude et le tourment religieux de son obser-
vation, où le sentiment de la beauté des formes individuelles, le
respect de la vérité physionomique des « êtres qui ne pensent pas,
mais qui nous donnent à penser », se synthétisaient dans la « grande
LE MANOIR DE BEAU NE -LA-ROLANDE, PAR COROT
(Collection Sarlin.)
harmonie » des modes lumineux. C’est par eux que le paysage semble
s’éclairer ou se voiler de nos propres pensées, s’égayer tour à tour
et s’attrister, et que se dégage de l’impassible architecture naturelle
cette « composition » qu’il définissait d’un mot admirable : « ce qui
est en nous entrant dans la réalité extérieure des choses. » On y
peut voir aussi comment, sans rien sacrifier de ce que lui avait