LA PEINTURE ÉTRANGÈRE A L’EXPOSITION DÉCENNALE 485
voilées sous leurs larges abat-jour, dont la lumière paisible éclaire
si doucement tous les êtres vivants et les témoins inanimés, une
douzaine de personnages assemblés dans un salon en deux ou trois
groupes causent avec une familiarité aimable et toute communica-
tive en prenant le thé du soir.
DANS LA CII AM BUE A COUCHE U, P AK Al. JULIUS 1 AUlSE.i
Là, sous la clarté qui tombe de la suspension, autour de la table
desservie de la salle à manger, Les enfants à leur travail sont
réunis dans l’élaboration plus ou moins pénible des devoirs du soir.
Tantôt, c’est un jour fin, discret, amical, qui éclaire avec
sympathie la scène de U Anniversaire de grandimère, celle-ci cou-
chée dans son lit, la tête et le menton encapuchonnés dans un
bonnet étroit, qui ouvre ses lunettes pour recevoir quatre bambins
aux physionomies expressives, solennelles, espiègles ou embar-
voilées sous leurs larges abat-jour, dont la lumière paisible éclaire
si doucement tous les êtres vivants et les témoins inanimés, une
douzaine de personnages assemblés dans un salon en deux ou trois
groupes causent avec une familiarité aimable et toute communica-
tive en prenant le thé du soir.
DANS LA CII AM BUE A COUCHE U, P AK Al. JULIUS 1 AUlSE.i
Là, sous la clarté qui tombe de la suspension, autour de la table
desservie de la salle à manger, Les enfants à leur travail sont
réunis dans l’élaboration plus ou moins pénible des devoirs du soir.
Tantôt, c’est un jour fin, discret, amical, qui éclaire avec
sympathie la scène de U Anniversaire de grandimère, celle-ci cou-
chée dans son lit, la tête et le menton encapuchonnés dans un
bonnet étroit, qui ouvre ses lunettes pour recevoir quatre bambins
aux physionomies expressives, solennelles, espiègles ou embar-