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Göbel, Heinrich
Wandteppiche (I. Teil, Band 1): Die Niederlande — Leipzig, 1923

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https://doi.org/10.11588/diglit.12244#0662
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anderen flämischen Manufakturen; es erscheint ausgeschlossen, daß Brandt mit seinem
kleinen Atelier auch nur einen Bruchteil selbst erzeugt bzw. von seinem Vater über-
nommen hat Der letzte Oudenaarder Wirker beschäftigte sich vornehmlich mit dem
Tapisserie-Handel.

12) Peter de Brauere
Josse Walrave
Hubert Stalins
Gilles Mahieus
Arnold van den Kethele

Peter van Rakebosch. Von dem Meister stammt eine Verdüre im Besitze des Grafen

N. Brahe, Skokloster in Schweden.

Wilhelm van den Cappellen

Jan Pontseel

Jan Boogaert

Remi Cruppenn

Gilles Morrels

Martin van den Muelene

Peter Willemets (bereits 1542 erwähnt). Seine Marke findet sich auf dem Bildteppich:

St Georg den Drachen tötend, im Besitze des Sir Ponsonby Fane.

Matthias van Boereghem

Jakob van den Broucke

Jan de Bleeckere

Jan de Wagheuere

Anton van den Neste

Jan Talpaert

Arnold Cobbaut. Von ihm stammen die Folgen der Taten des Herkules und des Lebens

König Davids. Beide Serien befinden sich in der Wiener Staatssammlung.

Thomas Nokerman

Jan de Clynckere

Jan Dervael

Jacques Benne.

13) Du Frene de Franchville, Hist g£n. et partic. des finances, Bd. IL

14) «La fabrique d'Oudenaarde s'est autrefois rendue cölebre par ses verdures; eile a fait peu de per-
sonnages; cependant quelques tentures en sont sorties en differents temps, non pas avec la mßme
approbation que les verdures; ce qui en est cause, c'est que ces personnages sont, pour l'ordi-
naire, mal faconnös, d'un travail dur et confus et encore plus mal dessinez. Depuis, cette fabrique
s'est comme renfermöe ä travailler en petits personnages, et aurait surpassö en ce genre toutes
les plus celebres de l'Europe, si eile eüt des officiers de tßte et entendus dans leur art Les
peintres les plus habiles se trouvent souvent dans l'obligation d'en retoucher les traits par le peu
d'application qu'apportent ses ouvriers ä en suivre le goüt et l'ordonnance. Leurs verdures, tirees
sur les dessins de Fouquieres, ont ete autrefois assez estim^es, quoique Bruxelles s'en fut servi
auparavant; sa fabrique est facile ä connaitre, le travail en est doux, moelleux et d'un grain £gale;
leur coloris est toujours sur le meme, leur verd tend toujours sur le mßme teint et leurs couleurs
sont souvent fausses».

15) Hofhalts-Sachen, B 7a Meublements-Sachen, Conv. LXV, Gmunden.

16) Maurice Besnier, Les Tapisseries des Matignon ä Torigni-sur-Vire, in: Chronique des Arts 1907,
S. 2 ff.

17) Bulletin de l'Academie roy. d'arch. de Belgique 1913, S. 51 ff.

Jos. Casier, L'Art ancien dans les Flandres ä l'exposition universelle et nationale de Gand, in:
Revue de l'art chretien. 1914, Bd. I, S. 190ff.

18) Jules Guiffrey, Invenlaire gen^ral du mobilier de la Couronne sous Louis XIV, (1663—1715).
Paris 1885.

19) Inventaire general des richesses d'art de la France. Paris, Monuments civils, Bd. III. Paris 1902,
S. 80 ff. Manufacture nationale des Gobelins. Tapisseries flamandes.

20) Dr. Ernst Ritter von Birk, Inventar der im Besitze des allerhöchsten Kaiserhauses befindlichen
Niederländer Tapeten und Gobelins, in: Jahrbuch der kunsthistorischen Sammlungen des a. K.,
1883, Serie 87. Leben Davids, sieben Behänge; Serie 101, Taten des Herakles, neun Teppiche.

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