(3)
a m: le comte de Leicester
PRESIDENT DE LA SOCIETfe DES ANTIQUAIRES DE LONDRES
Naples lc i, Septembrc 1794.
MYLORD
A
JLJLTant pris la liberie de dedier le premier volume
de cet Outrage , imparfait comme il ejt , a la Societe
des *d?itiquaires de Londres ', ay ant, par voire canal,
vous qui etes Jon digne PrSsident, communique a cette
/Socifot , & au Public, les motifs, qui ni ont engage a
entreprendre cette publication, je vous demande la per-
miff on, My lord, de ni adreffer a vous, en mettant au jour
ce fecond volume.
Pous aur&s obferve ,par la date de ma lettre placee
a la tete du premier volume, que f avois eu le deffein
de le publier plutot, qu" il ne sa dt£. Jse me suis trou-
v£ dans la nbceffite de /aire un voyage en ^ingleterre,
r ouvrage a He sufpendu ntceffairement jusqu" a mon
re tour ; depuis, s etat des assaires publiques m" a em-
pecbe *s y apporler toute la diligence , que f aurois
voulu.
On vient d^etre convaincu, par Vexperience, combien
ces vafes font import ants pour rendre intelligibles les
pajsages difficiles des anciens uduteurs Grecs', & comme,
pour la plupart, les peintures, qrf Us oss rent, reprefen-
tent
a m: le comte de Leicester
PRESIDENT DE LA SOCIETfe DES ANTIQUAIRES DE LONDRES
Naples lc i, Septembrc 1794.
MYLORD
A
JLJLTant pris la liberie de dedier le premier volume
de cet Outrage , imparfait comme il ejt , a la Societe
des *d?itiquaires de Londres ', ay ant, par voire canal,
vous qui etes Jon digne PrSsident, communique a cette
/Socifot , & au Public, les motifs, qui ni ont engage a
entreprendre cette publication, je vous demande la per-
miff on, My lord, de ni adreffer a vous, en mettant au jour
ce fecond volume.
Pous aur&s obferve ,par la date de ma lettre placee
a la tete du premier volume, que f avois eu le deffein
de le publier plutot, qu" il ne sa dt£. Jse me suis trou-
v£ dans la nbceffite de /aire un voyage en ^ingleterre,
r ouvrage a He sufpendu ntceffairement jusqu" a mon
re tour ; depuis, s etat des assaires publiques m" a em-
pecbe *s y apporler toute la diligence , que f aurois
voulu.
On vient d^etre convaincu, par Vexperience, combien
ces vafes font import ants pour rendre intelligibles les
pajsages difficiles des anciens uduteurs Grecs', & comme,
pour la plupart, les peintures, qrf Us oss rent, reprefen-
tent