Histoire de l'esprit humain ou mémoires secrets et universels de la république des lettres (8.1767)

ρο Η I S T Ο I R E
felicite pasiee les tourmenteroit assez, auili
bien gue l’image de leurs crimes. Crcefiis:
N’as-tu point de honte de nous venir often-
ser, jusqu’en la prelence dePluton? Menipe:
C’est vous qui en devriez avoir de vous etre
fait adorer comme des Dieux, sans consid£-
rer que vous £tiez homnies & mortels com-
me les autres , & que toure votre f£licit£
devoit pasier comme un songe ; c’est donc
avec raison que vous pleurez maintenant ce
que vous croyiez ne jamais perdre. Midas:
Ha, mestresors! Croefiis: Ha, mes grandeurs!
SardaMapale: Ha, mesd^ices! : Cou¬
rage, voil'ä une agreable musique pour un
philosophe: mais afin de rendre plus com-
pletfe l’harmonie, je vous repeterai souvent
ce

-8 ’n Κοξίννχ, ως /xiv x örew jjy o tvofci-
ζις, το γυνχΐχοί ycdt&ca ϊκ ποοξ^ίνα, /Λΐ^α,^ηκας
μίτο, /ύ&ζαΧΙ8 ωζΛΙ» yiVCyUSVi}, /ΑΊΛΊ ÖS TO
·2Γξ»το’/ {Αί&τωμα xifUtrapoiW)) s| ής οξ^ομ αυτίχα. ωνη-
tropai tr(A. ΚΟΡ. pawdyov. Έ,χ,ίτω y.cii ·ψ*ί·
τωοίς πυξαυγί?;, βίος ό φιλοιίνΜς ίς-tv. ΚΡΟΒ.
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χ,ζή 7rou7f, χκ< όπως τοίς ocdfycicriv. Α>λη
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